(Minghui.org) Je serais morte de nombreuses fois si je n'étais pas devenue une pratiquante de Falun Dafa et s'il n'y avait pas eu le Maître. En raison de la cultivation et pratique, j'ai compris le sens de la vie, le but de mon existence, pourquoi certaines choses m'arrivent et comment les gérer quand elles font surface.
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Bonjour Maître compatissant ! Bonjour compagnons de pratique du monde entier !
Je suis une ancienne pratiquante et je suis revenue à Dafa en 2008. J'aimerais rapporter au Maître ainsi qu'aux compagnons de pratique mon expérience de cultivation.
1. Élever le Xinxing, élever le niveau dans Dafa
Le Maître a parlé de « Cent épreuves tombent en même temps, » dans « Faire souffrir le cœur et la volonté » de Hong Yin. Je les ai personnellement expérimentées.
Mon beau-père est décédé il y a plusieurs années, et ma belle-mère est tombée malade peu de temps après. Mon enfant avait seulement deux ans, mais j'ai sincèrement pris soin de ma belle-mère pendant ses trente jours d'hospitalisation. Cet effort aurait été impossible pour moi si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa.
Ma belle-mère m'a détestée dès la toute première fois où nous nous sommes rencontrées. Elle surveillait les lettres que j'écrivais à mon mari ainsi que nos conversations téléphoniques quand il m'appelait à la maison. Elle écoutait même quand j'appelais mon frère. Après avoir accouché et être retournée chez moi, mon mari a fait un voyage d'affaires. Après son départ, elle est venue dans ma chambre et m'a insultée. Alors qu'elle achetait du lait et toutes sortes de boissons pour mon neveu, mon enfant ne recevait rien. Quand mon enfant a été malade, j'ai pris soin de mon enfant pendant quatre jours et quatre nuits d'affilée et quand finalement je me suis endormie, j'ai dormi profondément. Lorsque je me suis réveillée, le bébé avait souillé son lit, alors je lui ai demandé de m'aider à le nettoyer. Elle m'a aidée, mais elle m'a encore insultée. Je ne me souviens pas qu'elle m'ait jamais souri, et je ne peux pas me rappeler combien de fois elle m'a insultée. Quand mon beau-père est décédé, elle a dit à tout le monde dans la famille que c'était de ma faute. Les membres du côté de sa famille m'ont également maltraitée en raison de son influence.
Il m'était déjà difficile de gérer ma belle-mère, mais mon mari a rendu les choses encore plus compliquées. Quand notre enfant avait quatre mois, il a eu une liaison qui a continué jusqu'à ce que ma belle-mère soit hospitalisée. Il a ensuite commencé à abuser de moi verbalement et par la suite physiquement.
Le Maître nous a dit :
« Bien sûr, comme nous cultivons et pratiquons dans la société humaine ordinaire, nous devons respecter nos parents, éduquer nos enfants; en toutes circonstances, nous devons être bons avec les autres, traiter les gens avec bienveillance; à plus forte raison vous devez le faire pour les membres de votre famille. » (Sixième leçon, Zhuan Falun)
J'ai suivi les principes de Dafa, j'ai essayé de mon mieux de prendre soin de ma belle-mère et je me suis appuyée sur le Fa du Maître étape par étape. J'ai récité :
« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième leçon, Zhuan Falun)
Plus tard, j'ai découvert mes nombreux attachements, y compris le ressentiment, la mentalité belligérante, la jalousie, et l'insatisfaction, et je les ai éliminés. Le milieu familial s'est progressivement rectifié.
Une fois, mon mari m'a de nouveau gravement battue et je ne pouvais pas comprendre pourquoi. Qu'est-ce que j'avais fait de mal ? Le Maître m'a éclairée à l'époque :
« La première, c’est que vous avez peut-être maltraité les autres dans une existence antérieure. » (Quatrième leçon, Zhuan Falun)
Avec des larmes coulant sur mon visage, je me sentais coupable de ce que je lui avais fait dans une vie antérieure. Plus tard, il m'a de nouveau battue et cette fois c'était encore pire. Il semblait qu'il avait vraiment envie de me tuer. J'étais couchée dans mon lit, je pleurais réfléchissant encore, qu'est-ce que j'ai fait cette fois ? Le Maître m'a de nouveau éclairée. Lorsque la persécution du Falun Dafa a commencé, j'avais un attachement aux sentiments, de sorte que les forces anciennes ont manipulé mon petit ami (maintenant mon mari), et il m'a demandé de choisir entre lui ou Dafa. Je l'ai choisi et les forces anciennes ont ensuite profité de mon attachement et ont fait que mon mari commette un péché contre Dafa – et quel péché ! C'était de ma faute, et je savais maintenant pourquoi. Depuis ce jour, il ne m'a plus jamais battue.
En ce qui concerne l'élimination des attachements, il n'y a aucune marge de négociation. Un jour ma belle-mère a recommencé à me critiquer. Bien que je l'ai endurée, je n'ai pas cherché à l'intérieur et elle a continué de plus en plus fort. Je ne pouvais plus le supporter et je lui ai répondu. Elle s'est levée et a commencé à m'insulter avec quelque chose de complètement hors contexte. J'ai tout de suite compris, en me rappelant les paroles du Maître :
«... un pratiquant doit parvenir à ne pas rendre les coups quand on le frappe, à ne pas rétorquer quand on l’insulte, il doit exiger beaucoup de lui-même selon un critère élevé. » (Quatrième leçon, Zhuan Falun)
Je n'ai pas passé le test, pensant que je n'étais pas ce genre de personne, comment pourrais-tu... puis j'ai soudainement compris. Le Maître nous enseigne :
« Mais normalement, quand un conflit surgit, si le cœur humain n’est pas piqué au vif, ça ne compte pas, ça n’a pas d’effet et on ne peut pas en recevoir d’élévation. » (Quatrième leçon, Zhuan Falun)
Avec cette pensée, j'ai soudain senti une vibration à l'intérieur de mon corps et je savais que je m'étais améliorée. La substance qui m'avait rendue mal à l'aise avait disparu. Plus tard quand son commentaire « C'est elle qui a causé la mort de son beau-père » s'est propagé, j'ai pensé : « Pourquoi est-ce que cela éclate de nouveau ? » J'ai pensé pendant un moment, puis soudain j'ai réalisé que j'étais à la recherche d'une bonne renommée, espérant avoir une bonne réputation, mais je ne pouvais pas le supporter quand quelque chose affectait ma réputation. Plus j'étais attachée à ma réputation, plus cela endommageait ma réputation. À ce moment-là, mon cœur s'est senti plus léger, et je savais qu'un autre attachement avait disparu.
Il était souvent très difficile d'éliminer l'attachement. Un jour, je ne me souvenais pas de quelque chose qui c'était passé, mais vers la fin ma belle-mère a appelé son fils devant moi et elle a dit : « Rappelle-toi comment ton père est mort. » Je ne pouvais pas le supporter plus longtemps et j'ai senti que j'avais atteint la limite de mon endurance. Cependant, une voix continuait à me rappeler : « Cherche à l'intérieur, tu pratiques », mais j'ai aussi entendu une autre voix : « Pourquoi devrais-je, je n'ai rien fait de mal. Pourquoi ? » J'ai couvert ma bouche et j'ai pleuré en silence en écoutant les deux voix, puis je me suis souvenue des paroles du Maître :
« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième leçon, Zhuan Falun)
J'ai continué à réciter au milieu des larmes : « C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » La matière a ensuite disparu.
Je serais morte de nombreuses fois si je n'étais pas devenue une pratiquante de Falun Dafa et s'il n'y avait pas eu le Maître. En raison de la cultivation et pratique, j'ai compris le sens de la vie, le but de mon existence, pourquoi certaines choses m'arrivent et comment les gérer quand elles font surface.
Puis l'environnement familial a commencé à changer. Mon mari a changé, il est passé de me maltraiter à peu à peu prendre soin de moi, et de ne pas reconnaître Dafa à guider sa mère pour qu'elle s'informe sur le Falun Dafa. Il a dit qu'il voulait que tous ceux qu'il connaissait soient au courant de Dafa. Il est passé de ne pas laisser notre enfant pratiquer, à lui lire le Zhuan Falun. Quand je lui ai dit qu'il y aurait des pratiquants qui viendraient au groupe étude du Fa, il a dit : « Bienvenue, plus on est, mieux c'est ! » Depuis qu'il soutient Dafa, il a également reçu des bénédictions. Une fois, son patron l'a récompensé avec 10 000 yuans pour son bon travail. Je savais bien que ce n'était pas dû à combien j'ai bien fait. C'est parce que « Falun Dafa est bon ! ».
2. Une solide amélioration en faisant bien les trois choses
Quand je me suis aventurée à l'extérieur pour valider le Fa la première fois, j'avais très peur. Au début, j'ai fait seulement deux pas pour placer le premier DVD dans la boîte aux lettres de mon voisin, mais j'avais tellement peur que je pensais que mon cœur allait arrêter de battre. En raison de ma peur, j'ai parfois eu envie de baisser les bras. Lorsque les compagnons de pratique m'ont apporté pile sur pile des documents de clarification de la vérité, j'ai regretté mon comportement et j'ai pleuré. Je savais que c'était mon côté qui comprend qui me disait : « C'est ta mission. » Plus tard, j'ai commencé à distribuer des documents et installer des banderoles. Parfois, j'avais tellement peur que je devenais essoufflée et je transpirais à grosses gouttes. Dans ces moments, je ralentissais et je récitais le Fa du Maître :
« Vivre sans désirs, Mourir sans regrets,
Balayer les pensées illusoires,
Cultiver pour devenir Bouddha n'est pas difficile. »
(« Rien ne reste » de Hong Yin)
et
« Clarifier la vérité et sauver les êtres, les forces anciennes n'osent pas s’y opposer, l’important est que l'état d'esprit au moment de faire des choses ne leur permette pas de pénétrer par une faille. » (Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Boston en 2002)
Je comptais sur le Fa du Maître pour intensifier mes pensées droites et par la suite, ma peur s'est peu à peu dissipée.
Je me suis souvenue d'un article paru dans Minghui Weekly, qui mentionnait des agents secrets – qu'ils pouvaient être assis dans une voiture, mais pas nécessairement une voiture de police. Ils pouvaient être en civil dans la rue, ils pouvaient peut-être même engager des personnes âgées, des enfants ou des femmes pour surveiller les pratiquants. Après avoir lu cet article, peu importe qui je voyais, ils avaient tous l'air d'être des agents secrets. Même à la maison, j'ai senti que la perversité utilisait le moniteur dans le bâtiment voisin pour me surveiller. J'avais peur quand je parlais, quand je dînais, quand je marchais ou quand j'allais aux toilettes, j'avais l'impression que la perversité allait venir à tout instant pour me prendre. La seule chose que je pouvais faire était de lire le Fa mais même en tenant le livre, je sentais toujours que chaque cellule de mon corps tremblait. Après avoir lu « ...le fait que vous soyez assis là ne veut pas dire que vous êtes un pratiquant. » (Première leçon, Zhuan Falun), j'ai soudain réalisé que prendre le livre et lire le Fa pour nier la persécution des forces anciennes n'était pas suffisant. Il faut devenir un véritable pratiquant, et seulement alors vous pouvez nier la persécution à un niveau fondamental.
Le Maître nous a demandé de bien faire les trois choses, et j'ai senti mon élévation et une amélioration en les faisant. Un jour, j'ai écrit une lettre afin de clarifier la vérité aux policiers et j'ai pensé : « Eh bien, vous voulez persécuter les pratiquants de Dafa, nous allons donc tous écrire des lettres de clarification de la vérité pour vous dénoncer et vous éliminer ! » Comme la lettre progressait, j'ai réalisé que ce n'était pas une pensée juste, que je suis venue ici pour sauver les gens, pas pour me battre avec eux. Ma compassion a vu le jour.
Quand je me suis aventurée à l'extérieur pour distribuer des documents clarifiant la vérité, j'ai récité le Fa du Maître afin d'intensifier mes pensées droites. Plus tard, chaque fois que j'avais une pensée comme « Quelqu'un va te signaler », je la niais. Je n'ai absolument pas permis à des êtres de commettre des péchés contre Dafa.
Quand j'ai fait des appels téléphoniques pour clarifier la vérité, des pensées bizarres ont fait surface comme : « Le policier me suit et il va bientôt toucher mon épaule et me dire : “ Je vous ai attrapé ! ”. Je me retournais alors rapidement et je partais quand j'arrivais à un poste de police. Plus tard, j'ai pensé que cela était dû à mon karma de pensée, et je me suis mise à réciter le Fa du Maître :
« ... dans la religion bouddhiste, on dit que tous les phénomènes de la société humaine sont des illusions, qu’ils n’ont pas de réalité. » (Deuxième leçon, Zhuan Falun)
Plus tard, j'ai pensé que la police était là pour arrêter les mauvaises personnes, et non pas des pratiquants de Dafa. Lorsque je me suis approchée d'un poste de police, j'ai émis la pensée droite pour éliminer tous les facteurs pervers qui persécutaient les pratiquants et interféraient avec le salut des policiers qui ne connaissaient pas la vérité sur le Falun Gong.
Un jour, je clarifiais la vérité à l'un des parents de mon mari, quand elle m'a repoussée. J'ai commencé à chercher à l'intérieur. Je n'avais pas fait d'erreur et mon attitude était juste aussi. Pourquoi n'avait-elle pas accepté la vérité ? Je me suis souvenue que mon mari dormait encore quand je me suis levée ce matin-là et j'avais pensé : « Je travaille dur tous les jours pour prendre soin de toi et de ta famille. Aujourd'hui, c'est ton jour de congé, alors tu dois te lever et prendre soin d'elle. » J'ai réalisé que ce n'était pas sur la base de Fa – pas étonnant qu'elle m'ait rejetée.
À une autre occasion, un compagnon de pratique a mentionné qu'un certain centre d'impression de documents de Dafa manquait de financement. Je voulais donner de l'argent, et quand je lui en ai offert, il a refusé avec froideur. Je savais que cela devait être de ma faute, sinon pourquoi m'aurait-il traitée de cette façon ? J'ai cherché à l'intérieur rapidement, et j'ai réalisé que mon cœur n'était pas pur. Ce pratiquant avait mentionné dans le passé que lorsque les pratiquants ayant des difficultés financières donnaient un coup de main aux centres d'impression de documents, le Maître les aidait par d'autres moyens. Je pensais que ma situation financière était très serrée, donc si je donnais, le Maître me compenserait par d'autres moyens. Avec cette pensée incorrecte, bien sûr, le compagnon de pratique m'a traitée comme il l'a fait.
Le Maître a affirmé l'effet de sauver les êtres en écrivant des informations de clarification de la vérité sur les billets de banque. Je voulais aussi le faire. Tout d'abord, les autres m'ont donné des billets de banque avec des informations de clarification de la vérité déjà écrites dessus, mais plus tard, je l'ai fait moi-même. Après avoir vu des messages de clarification de la vérité sur le site Minghui, j'ai ajouté de nouvelles informations telles que « tous les êtres reconnaissent la nature du Parti pervers ». Je les ai incorporés dans le texte d'imprimante, j'ai bien mélangé les couleurs et j'ai imprimé des messages sur les billets de banque. Je les ai ajustés à de nombreuses reprises et de plusieurs manières afin de leur donner un aspect parfait. J'ai imprimé le même message sur des billets de cinq valeurs différentes. Afin d'aider les êtres à mieux comprendre la vérité à propos de Dafa et l'importance des « trois démissions » du Parti communiste chinois (PCC), j'ai créé un système pour imprimer cent billets à la fois, avec des messages différents. De cette façon, si je distribuais trois billets, ils contiendraient trois différentes séries d'informations. J'ai fait de la clarification de la vérité sur les nouveaux et les anciens billets de banque. Je sentais que ce n'était pas fortuit si j'avais obtenu cet argent.
Plus tard, j'ai senti que pour augmenter le temps de circulation du billet de banque, les vieux billets n'étaient pas appropriés, alors j'ai cessé d'utiliser les vieux billets. Je n'ai jamais rencontré aucun problème après avoir eu cette idée de ne pas imprimer sur les vieux billets de banque et d'abîmer l'imprimante. Parfois, lorsque le papier était coincé dans l'imprimante, je l'enlevais sans problèmes. Une fois j'ai commencé à faire trop de choses et j'ai développé le cœur de juste faire des choses. Je n'ai pas continué d'étudier le Fa et quand je n'ai pas bien réussi un test de xinxing, mon imprimante m'a donné des problèmes. Je savais que c'était de ma faute, alors j'ai changé la tête d'impression, et j'ai avoué le problème aux compagnons de pratique, comment le vieux billet de banque bloquait la machine. J'ai donné tous les vieux billets de banque aux compagnons de pratique. Un pratiquant m'a dit que cela lui a pris beaucoup de temps pour dépenser de l'argent parce que personne ne voulait des vieux billets. Je savais que c'était encore ma faute, que j'étais égoïste en donnant de vieux billets aux autres. À partir de ce moment-là, j'ai recommencé à imprimer sur les vieux billets de banque.
Imprimer des informations de clarification de la vérité sur les billets de banque était un processus d'élévation. Les compagnons de pratique ont suggéré que l'information devait être ni trop ni pas assez. Certains ont suggéré d'imprimer sur les endroits vides, d'autres ont suggéré d'imprimer dans un endroit où les mots se fondent facilement. Comme les pratiquants voulaient aussi clarifier la vérité avec leurs suggestions, je ne savais plus qui écouter avec autant de suggestions. Chaque fois que j'étais bloquée, je commençais à étudier le Fa et le Maître m'éclairait immédiatement :
« Dans ce monde, les épreuves dues au démon auxquelles Maître fait face, de même que la pression qui les accompagne, arrivent chaque jour en plus grand nombre que par dizaines de milliers, toutefois aucune d’entre elles n’est parvenue à me faire vaciller et cela ne peut pas être fait. » (Enseignement de la Loi à la conférence de New York, 2008)
J'ai laissé mon cœur se calmer et les autres pratiquants ont arrêté leurs suggestions.
Quand j'ai distribué l'argent de clarification de la vérité aux autres pratiquants, ils voulaient tous des petites coupures. Chaque fois que j'allais vers eux, ils répétaient cette demande, et après tant de demandes, j'ai développé un ressentiment. Puisque les petites coupures sont rares, je leur ai demandé de me les garder afin que je puisse imprimer les informations sur la vérité dessus. J'ai pensé pourquoi ils ne garderaient pas les petites coupures et ne les échangeraient pas avec moi quand nous nous rencontrons. Chaque fois, ils n'arrêtaient pas de demander mais ils n'en offraient jamais. Le Maître a vu que je n'étais pas éveillée à cela et il a utilisé un compagnon de pratique pour me rappeler : « J'ai remarqué que les pratiquants de notre région ne coopèrent pas les uns avec les autres. Tout le monde fonctionne par eux-mêmes. » J'ai senti que c'était tellement vrai. Cependant, un autre pratiquant a dit : « C'est évidemment regarder à l'extérieur. Qu'est-ce que la coopération ? C'est quand quelque chose arrive, nous l'accommodons. Doit-on appeler cela la non-coopération quand les autres ne nous aident pas ni ne nous soutiennent ? » Ouah, j'ai réalisé que je m'étais prise trop au sérieux. Je devrais lâcher l'attachement de savoir si les autres me soutiennent ou pas. Je devrais juste essayer de faire tout de mon mieux. Par la suite, aucun conflit supplémentaire n'a fait surface. Le billet de banque sur lequel j'ai imprimé la clarification de la vérité était très délicat et beau, et les pratiquants l'ont beaucoup aimé. Un jour, je suis tombée sur quelque chose qui a complètement changé mon esprit. Quand j'ai acheté un billet d'autobus, le conducteur m'a rendu un billet d'un yuan – qui était de l'argent de clarification de la vérité. Le billet était très vieux et c'était quelque chose que je ne voulais pas utiliser. Le slogan était « Le Ciel élimine le PCC, Quittez le PCC pour protéger votre avenir. » L'encre était bleu-noir, et le message semblait flotter au-dessus du papier. Une non-pratiquante dans l'autobus a voulu m'échanger ce yuan. Elle a pris mon « vieux et indélicat » billet, elle l'a plié soigneusement, puis l'a mis dans son sac à main. J'ai compris ce que le Maître a dit :
« Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour clarifier la vérité, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour apporter le salut aux gens de ce monde, cela est justement pour un Éveillé d'établir sa Vertu majestueuse. » (« Rationalité » dans Points essentiels pour un avancement diligent II)
Tant que je sauvais les êtres sans réserve, ils le savaient. Si mon cœur n'y était pas, alors les êtres ne le reconnaissaient pas – peu importe combien ce que j'avais fait était beau et délicat.
3. La tendre protection du Maître à chaque moment le long du chemin de cultivation
Ma vision céleste n'était pas ouverte dans le passé. Avant la persécution, je ne pouvais voir que vaguement le fashen du Maître. Après que je sois retournée à Dafa, j'ai eu deux épisodes de karma de maladie. La première fois, le Maître m'a éveillée sous la forme d'un rêve, et plus tard, il a ouvert mon œil céleste afin d'intensifier ma pensée droite.
La première fois, j'ai eu une une forte fièvre, et je ne pouvais même pas lire le Fa. La première nuit, j'ai vu le Maître dans un rêve – sa taille était énorme. Je ne pouvais pas voir le corps entier du Maître à l'exception des deux mains. Quelques pratiquants, qui avaient aussi eu des tests qu'ils n'avaient pas bien passés, étaient avec moi, et nous étions debout sur la main du Maître. Quand je me suis réveillée le lendemain, j'ai réalisé que le Maître essayait de nous faire savoir qu'il était avec nous à chaque instant et qu'il nous protégeait. La nuit suivante, j'ai rêvé que deux petits démons tentaient de me traîner en enfer. Je me suis soudain souvenue de ce que le Maître a mentionné – quand nous nous heurtons à la difficulté, on peut l'appeler à l'aide. J'ai tout de suite crié : « Maître ! Aidez-moi ! » La main du Maître est apparue et avec juste un doigt, les deux démons sont tombés dans l'enfer.
Une autre fois, j'avais un attachement aux sentiments. J'ai développé du karma de maladie et j'ai dû être opérée. Lorsque j'étais couchée dans la salle d'opération avant la chirurgie, j'ai soudain vu le Maître qui me regardait et qui pleurait. J'ai aussi commencé à pleurer, et je savais que j'avais tort. Ensuite, le Maître a ouvert mon œil céleste pendant une de mes séances d'émission de la pensée droite. J'ai vu un chemin étroit argenté dans le ciel. De temps en temps, on voyait un petit carrefour, d'un côté du chemin argent, et l'autre côté était d'où nous sommes venus. Le chemin s'élevait et descendait. Quand il a atteint la fin, il est monté dans le ciel et on pouvait voir le chemin toucher le ciel. Je ne voyais pas la destination finale. J'ai réalisé que le Maître m'éclairait : le chemin de la cultivation est très étroit et on doit marcher sur un chemin droit pour réussir. Lors de notre cultivation et pratique, nous allons naturellement avoir des hauts et des bas. Notre état de cultivation sera bon ou mauvais, ce qui est normal, et les tests sont comme ces petits carrefours. On doit être en accord avec le Fa afin d'atteindre le chemin final – et alors, vraiment retourner à son monde céleste.
Chaque véritable pratiquant de Dafa a connu la protection du Maître au cours de sa cultivation et pratique. Nous n'avons rien à rembourser au Maître. Nous ne pouvons que cultiver diligemment, bien faire les trois choses, sauver davantage d'êtres, et ne pas décevoir le Maître.
4. Le pouvoir de Dafa
J'avais les cassettes des conférences du Maître à Jinan avant la persécution. Une bande semblait coincée et elle se répétait toutes les trois à quatre minutes. Comment allais-je pouvoir l'écouter à nouveau ? Un jour, je tenais beaucoup à écouter le Fa, alors j'ai continué à écouter. Après que la bande se soit répétée sept fois, elle est revenue à la normale et a joué au complet. Une autre fois, je voulais imprimer les écrits du Maître après le début de la persécution, alors j'ai emprunté un ordinateur et une imprimante, puis j'ai commencé à imprimer. Après avoir fini, j'ai remarqué que j'avais oublié un livre, donc j'ai de nouveau configuré l'imprimante. Toutefois, l'ordinateur a indiqué qu'il n'y avait pas d'encre et l'imprimante a montré une erreur, mais j'ai continué de cliquer sur « impression », et au bout de quatre fois, elle a commencé à imprimer ! Après avoir fini, le papier avait l'air parfait et il ne restait qu'une goutte d'encre dans la cartouche. C'était incroyable qu'une imprimante sans encre puisse imprimer un livre !
Une autre fois, mon imprimante fonctionnait mal, donc j'étais très inquiète et je ne pouvais pas dormir cette nuit-là, pensant à ce qu'il fallait faire. Je me suis souvenue qu'il y avait des informations de base sur les centres de production de documents sur le site Minghui, j'ai donc consulté le site Internet. Les tout premiers renseignements que j'ai vus étaient exactement ce dont j'avais besoin. J'ai suivi les instructions et j'ai préparé mon imprimante. Le lendemain, j'ai cherché à nouveau les informations, mais l'information que j'avais eue la veille n'était pas là. J'ai réalisé que le Maître m'avait aidée la veille.
Écrire un partage d'expérience est également un processus d'amélioration. Je pensais que j'avais bien passé quelques tests, mais quand j'ai écrit à leur sujet, j'ai pu encore reconnaître mon cœur humain et mes attachements. Je suis très heureuse de participer à la conférence de Fa par Internet. J'ai beaucoup appris à travers le partage d'expériences.
Merci Maître, pour cette occasion de partage d'expériences via Internet pour les pratiquants de Dafa du continent. Merci aux compagnons de pratique qui partagent leurs expériences avec nous.
Veuillez me signaler mes lacunes.
Merci Maître, pour votre salut compatissant !
Heshi
(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)
Traduit de l'anglais au Canada
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