Mes affaires vont de mieux en mieux depuis que j'ai commencé à suivre les principes du Falun Dafa

(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en avril 1997. Un jour, alors que je rendais visite à ma sœur aînée, elle m’a dit : « Va pratiquer le Falun Gong. » Elle a dit : « Si tu fais ça, tu auras le Fashen du Maître qui te protégera des accidents et des problèmes. »

Je pensais alors que Falun Dafa était un qigong ordinaire, mais j’ai été très intéressé par les mots « Fashen ». Quand je suis arrivée chez moi ce soir-là je me suis dit : « Si c'est vraiment comme ça, je pratiquerai si j'obtiens une réponse après que j’aie appelé à voix haute trois fois. »

J’ai appelé le nom du Maître (Je suis désolé de n’avoir pas été respectueux envers le Maître. Je me sers également de cet article pour dire au Maître : « Je vous remercie de ne pas m’avoir abandonné ! »). La deuxième fois que j’ai appelé le nom du Maître à voix haute, j’ai senti une main qui touchait ma tête de l’arrière à l’avant puis vers l’arrière. Je n’ai pas de mots pour décrire le choc que j’ai ressenti. Ce qigong était vrai ! Je n’avais aucun doute à ce sujet. J’ai commencé ma cultivation dans Dafa et je n’ai jamais vacillé dans ma croyance.

I. Le Maître a purifié mon corps

Le soir même où j’ai décidé de pratiquer le Falun Dafa, j’ai commencé à avoir la diarrhée, sept à huit fois en une seule nuit. Toutefois bizarrement, je ne me suis pas senti fatigué du tout. Les employés de mon magasin ont également pensé que ça tenait du miracle. Ce n’est que plus tard en lisant le livre que j’ai appris que le Maître ajustait mon corps. Le Maître dit :

« Quand la nature de bouddha surgit chez quelqu’un, le Monde des Dix Directions en est ébranlé. » Celui qui voit cela viendra l’aider et l’aidera inconditionnellement. Dans l’école de Bouddha, on ne pose aucune condition préalable, on ne demande rien en échange pour sauver quelqu’un, on peut l’aider inconditionnellement, c’est pourquoi nous pouvons accomplir beaucoup pour les élèves. Mais pour une personne ordinaire qui veut simplement rester une personne ordinaire, qui veut guérir de ses maladies, cela ne marchera pas. Il y a des gens qui se disent en eux-mêmes : « Si je suis guéri, je commencerai à cultiver et pratiquer. » La cultivation et la pratique ne nécessitent aucune condition préalable – si vous voulez cultiver et pratiquer, alors cultivez et pratiquez. Cependant, certains ont un corps malade, d’autres portent des messages chaotiques en eux, d’autres n’ont jamais fait des exercices de qigong, d’autres encore les ont faits pendant plusieurs décennies, mais ils en sont restés au niveau du qi, ils ne se sont toujours pas élevés dans la cultivation. »

« Que devons-nous donc faire ? Nous devons purifier leur corps pour les rendre capables d’atteindre les niveaux supérieurs en cultivant et en pratiquant. » (Zhuan Falun)

À partir de là, mon problème de calculs rénaux, ainsi que l’hyper-ostéogénie vertébrale lombaire et cervicale, qui m'avaient incommodé pendant plus d'une décennie ont tous disparus sans laisser de trace. Avant de pratiquer le Falun Dafa, j'avais souvent du sang dans mes urines et je devais me traîner pour accomplir mon travail. J'étais épuisé. À cette époque, le soir je buvais toujours du vin pour oublier mes problèmes et passer le temps. Je consommais au moins une bouteille chaque fois. J’étais toujours de mauvaise humeur et j'avais facilement des accès de colère à cause de petits problèmes qui me perturbaient. Depuis que je me suis engagé sur la voie de la cultivation dans Dafa, j'ai complètement changé, je suis devenu une autre personne. J'ai également abandonné les cigarettes et la boisson.

II. Les ouvriers de mon usine n’attrapent jamais froid

Mon entreprise est dans l'industrie de transformation des aliments. Pour ce genre d'affaires, la norme est d’avoir des travailleurs temporaires qui ne s’engagent pas à rester à long terme. Toutefois, dans mon usine, certains travaillent pour moi depuis plus d'une décennie. Il y a aussi un autre phénomène dans mon usine, personne n'a jamais attrapé un rhume en travaillant pour moi. Les travailleurs attribuent cela aux bénédictions de Dafa. Par exemple, il y a une employée qui vomissait souvent, alors je lui ai dit de réciter « Falun Dafa Hao (Falun Dafa est bon) ». Elle a vomi encore une seule fois après cela. Plusieurs années ont passé depuis sans que le problème revienne.

III. Je n’ai pas été blessé dans un accident de voiture

Un jour de mai 2005, lors d'une livraison, mon camion s’est renversé, puis s'est écrasé sur un grand arbre près de la chaussée, causant une grande brèche dans la cabine du conducteur. C'était la saison des semailles, et les agriculteurs des deux côtés de la route ont été choqués, pensant que j'étais certainement mort. Ils ont couru vers le camion. Quand ils m'ont sorti de la cabine, ma tête était couverte de morceaux de verres brisés, mais il n'y avait pas une seule coupure sur mon corps. Quelqu'un a dit : « Le camion est fracassé à un tel degré, mais vous n'êtes pas blessé du tout. Avez-vous des divinités ou des bouddhas qui vous protègent ? » Je leur ai dit que j'étais un pratiquant de Falun Dafa, et que c'était mon Maître qui m'avait protégé. Le Maître a dit :

« Du moment que vous cultivez et pratiquez vraiment dans une voie juste, personne n’osera facilement s’en prendre à vous, d’ailleurs vous serez sous la protection de mes Corps de Loi et vous ne courrez aucun danger. » (Zhuan Falun)

IV. Mon affaire va de mieux en mieux au fil du temps

Il est d'usage dans mon entreprise de sécher à l'air les produits périmés retournés par les clients et de les retraiter. Avant de cultiver le Falun Dafa, j'étais une personne aimant la bagarre ; mon attachement à la compétition était vraiment fort. Afin d’avoir et de conserver les clients, j'utilisais toutes sortes de méthodes et d’astuces. Cependant, depuis que je suis devenu un pratiquant de Falun Dafa, je traite les choses selon les exigences du Fa. Dans la leçon 4 du Zhuan Falun, le Maître dit :

« Dans les relations sociales, on peut rencontrer toutes sortes de conflits. Pour ceux qui cultivent et pratiquent parmi les gens ordinaires, peu importe votre richesse ou votre position hiérarchique, peu importe que vous soyez à votre compte, que vous ayez une entreprise, ou que vous meniez n’importe quelle affaire, tout cela est sans importance : ayez toujours des échanges équitables et gardez un esprit droit. Chaque métier dans la société humaine a sa raison d’être ; le problème est que l’esprit des gens est sans droiture, cela n’a rien à voir avec le métier qu’on fait. Autrefois, on avait coutume de dire : « Sur dix marchands, neuf sont des filous. » Ce n’est qu’un adage des gens ordinaires, pour moi il s’agit du problème du cœur de l’homme. Du moment que vous gardez l’esprit droit et que vos affaires sont équitables, si vous faites plus d’efforts, il est naturel de gagner plus d’argent ; vous obtenez cela par les efforts que vous avez faits parmi les gens ordinaires – sans perte, pas de gain – c’est la récompense des efforts. Dans n’importe quelle couche sociale on peut être quelqu’un de bien, dans des milieux différents existent des conflits différents. Les classes supérieures ont les conflits des classes supérieures, il est possible de les régler correctement ; partout, quel que soit le niveau social il est possible d’être quelqu’un de bien et de prendre avec légèreté toutes sortes de désirs et d’attachements. Dans toutes les couches sociales, on peut se comporter en bonne personne, chacun peut cultiver et pratiquer dans son propre milieu. »

Ainsi, au lieu de retraiter la nourriture, j’ai nourri les porcs avec tous les produits retournés. Au début, c’était vraiment difficile de voir la nourriture qui remplissait un camion, donnée à manger aux cochons. Je suppose que c'était pour me permettre de renoncer à l’attachement au gain. Mais quand j'ai arrêté de mélanger les produits périmés dans mes marchandises, il y a eu de moins en moins de produits retournés. Maintenant, il n'y a quasiment plus de produits retournés.

Avant, je me mettais en colère chaque fois que je voyais un de mes clients qui vendait le même produit acheté chez d’autres. Surtout quand je faisais ma livraison après avoir bu, je me laissais submerger par la colère. Je préférais ne pas faire de profit que de perdre un client. Après avoir commencé la cultivation et pratique, je garde toujours en mémoire ces paroles du Maître :

« En tant que pratiquants, nous devons encore moins nous conduire ainsi. Nous, les pratiquants, nous disons qu’il faut laisser les choses se faire naturellement ; ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas et ce qui n’est pas à vous, vous ne l’aurez pas, même si vous luttez pour l’avoir. » (Zhuan Falun)

Quand je trouve mes clients en train de vendre les produits des autres, je me rappelle simplement que tout le monde doit gagner sa vie, et aussitôt mon cœur se calme. Cependant, quand je rentre à la maison, en général il y a de nouveaux clients qui sont venus. C'est particulièrement vrai aujourd'hui, et mes anciens clients reviennent. Ils disent qu'à cause de ma croyance spirituelle, ils ont confiance dans mes produits. C'est comme le Maître nous a dit :

« Ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas et ce qui n’est pas à vous, vous ne l’aurez pas, même si vous luttez pour l’avoir. » (Zhuan Falun)

Ce sont quelques unes des bonnes choses que j’ai reçues grâce à la cultivation du Falun Dafa. Le Fa de Bouddha est vraiment sans limites !

Traduit de l'anglais en Europe