Recevoir aide et protection au cours de nos voyages pour clarifier la vérité

(Minghui.org) Le peuple chinois a été trompé par la propagande du gouvernement depuis le début de la persécution du Falun Gong en 1999, laquelle propagande a diffamé cette méthode de pratique spirituelle en utilisant les médias dirigés par l’état. Dans le but de clarifier la vérité à propos du Falun Gong, nos pratiquants locaux, ainsi que des millions d’autres à travers la Chine, n’ont cessé de voyager dans les régions, provinces, et villages avoisinants pour distribuer des documents de clarification. Nous avons constamment expérimenté la guidance et la protection du Maître tout au long de nos voyages. Voici quelques exemples des miracles qui ont eu lieu pour nous protéger du danger.

Un bus spécialement pour nous

Un jour d’été en 2005, nous sommes allés avec plusieurs pratiquants à un village éloigné pour distribuer des documents d'information. Étant donné que nous ne connaissions pas les routes là-bas, il était déjà 20h passées lorsque nous avons fini notre distribution. Le dernier bus de la journée était passé depuis un moment, et il n’y avait pas de taxis dans cette région éloignée. Rentrer à pieds nous prendrait au moins une heure et demie. Mais ayant marché tout l’après-midi, nous étions épuisés, et espérions voir apparaître un véhicule, quoique sachant que c’était fort peu probable.

Soudain, nous avons vu de loin un bus se diriger vers nous. Nous avons eu du mal à en croire nos yeux, mais avons quand-même tenté notre chance en faisant des signes de main au conducteur. Et à notre surprise le conducteur a arrêté le bus juste devant nous et nous a invités à monter. Ce bus était justement ce dont nous avions besoin pour pouvoir rentrer chez nous. Nous sommes montés en remerciant le conducteur et en lui demandant comment il se faisait qu'il passait par là après l’heure du dernier bus. Il nous a dit qu’après avoir effectué le dernier trajet, il avait, en fait, une affaire à régler sur cette même route, et quand il nous a vus faire des signes de la main, il avait décidé de nous prendre. Finalement il nous a déposés à un arrêt près de chez nous.

Nous n'avons eu aucun doute que c’était un bus spécial envoyé pour nous par notre Maître.

Un guide dans un champ de maïs

Un jour de juillet 2007, nous étions sur le chemin du retour après avoir distribué du matériel dans plusieurs villages. Quand nous sommes arrivés au bord d’un champ de maïs d’environ 4 km de superficie, nous avons décidé de le traverser, ce qui nous ferait gagner beaucoup de temps, au lieu de le contourner. Mais quand nous sommes entrés dans le champ, celui-ci s’est transformé en véritable labyrinthe, surtout que les tiges de maïs dépassaient nos têtes, et nous avons complètement perdu la direction. Une demi-heure plus tard, nous ne pouvions même pas retrouver l’endroit où nous étions entrés.

C’était à peu près l’heure du dîner, et nous n'avions rencontré personne dans les parages à qui demander la direction à suivre. En désespoir de cause, nous avons imploré l’aide du Maître.

Après cinq à six minutes, nous avons vu un gamin de douze ans, roulant à bicyclette dans notre direction. Quand nous avons demandé où se trouvait la sortie, le garçon nous a simplement dit de le suivre. C'est ainsi que nous avons émergé du labyrinthe en moins de quinze minutes.

Nous avons remercié le garçon de son aide, il a simplement dit « bye-bye » et a continué à rouler en direction du village voisin.

Aide financière

La persécution des pratiquants était plus sévère entre 1999 et 2002. Mon épouse, qui est aussi une pratiquante, est allée trois fois à Pékin pour faire appel, et elle a été détenue cinq fois suite à cela. En ce qui me concerne, non seulement j'ai été renvoyé de mon travail, mais aussi surveillé par un agent spécial. J’ai été arrêté plusieurs fois à cause de mon appel à Pékin. En outre, nos établissements de travail avaient rogné sur nos salaires sans raison légitime et sans en avoir discuté avec nous. Par exemple on nous a « volé » -à mon épouse et moi- plus que 4 OOO yuans la seule année 2001.

Cette persécution financière a aggravé notre situation familiale déjà difficile. Cependant, pendant ces années-là j’ai été élu « correspondant exceptionnel » par un journal populaire dans lequel j'écrivais en tant que journaliste amateur, et ma récompense a été de 2 000 yuans par an. C’était surprenant, non seulement parce que je n'étais qu'un auteur amateur, mais aussi parce que je ne fournissais guère plus d’une dizaine d’articles au journal chaque année, ce qui n’était pas énorme pour un grand journal.

Je suis convaincu que c’est le Maître qui a arrangé cette aide financière pour moi durant cette période où j’étais persécuté.

Un étranger offre de nous emmener

Un jour d’octobre 2007, plusieurs pratiquants et moi-même sommes allés dans un village montagneux pour distribuer des documents d'information. Sur le chemin du retour, nous avons pris un chemin différent et nous nous sommes trouvés face à une rivière large de dix mètres environ. Elle avait une profondeur d’à peu près un mètre, et il y avait des pierres au fond. L’eau était très froide vu qu’on était en fin d’automne. Comme nous devions marcher encore longtemps une fois la rivière traversée, nos pantalons seraient trempés si nous la traversions, nous étions donc bloqués. Encore une fois, nous avons pensé au Maître.

Pas plus de dix minutes plus tard, un grand tracteur venant de nulle part est apparu devant nous. Nous nous sommes avancés et nous avons demandé au chauffeur de nous conduire de l’autre côté de la rivière. Le fermier - d'une quarantaine d'années- était content de pouvoir nous aider. Après avoir traversé la rivière, il a continué à rouler, et nous a demandé où nous allions. Nous lui avons dit que nous pouvions y aller à pied, mais il a insisté : « C’est sur ma route, je pourrais vous conduire jusqu’à la station. » Alors il a traversé encore deux villages et quatre kilomètres de plus sur la route principale, pour nous déposer enfin à la station. Nous ne trouvions pas les mots pour le remercier, mais l’avons prié de ne jamais oublier que « Falun Dafa est bon » et que « ceux qui traitent Dafa avec bonté seront bénis. »

Éloigner un lynx avec une ombrelle

En août 2008 nous avons entrepris de nous rendre dans un village pour distribuer les documents de clarification de la vérité. Sur le chemin du retour, mon épouse et moi devions marcher le long d'un chemin envahi par les herbes à travers un grand verger fruitier. Je marchais devant ; pour une raison ou une autre ma femme traînait un peu trop loin derrière.

Tout à coup, un animal ressemblant à un chat a bondi de l'herbe haute et m’a attaqué. N’ayant pas le temps de réfléchir, j’ai utilisé une petite ombrelle pliante pour me protéger. Rapide et mauvais, le lynx essayait de me blesser avec ses dents et ses griffes acérées. Il bondissait et m'attaquait sans relâche. Je n'avais que la petite ombrelle en plastique pour me protéger. Finalement l’animal s’est arrêté un peu pour reprendre son souffle, et j’ai couru à un endroit sur le côté de la route, lui rendant les attaques difficiles. J’ai commencé à émettre des pensées droites pour l’éloigner.

Après qu’il soit parti, j’ai ramassé mon ombrelle et vu qu’elle était brisée et lacérée. Mais je n’étais pas blessé et mon tee-shirt à manches courtes et mon pantalon léger n’étaient pas endommagés du tout. C'était vraiment surprenant qu’une fragile ombrelle ait pu me protéger contre l’attaque d’un animal sauvage.

Je pense qu’aucune force du mal ne peut empêcher les pratiquants du Falun Dafa de propager la vérité du Falun Gong et de la persécution. Désormais persuadés de la droiture des pratiquants de Falun Dafa grâce à leur clarification constante de la vérité, les gens veulent à présent les soutenir et les protéger.

Traduit de l'anglais en Europe