(Minghui.org) Quand j'ai clarifié la vérité au gérant d'un petit supermarché, il est devenu très en colère contre moi et m'a dit des choses qui non seulement diffamaient Dafa et le Maître, mais aussi blessaient mes sentiments. Même sa famille essayait de m'éviter. Cependant, je n'étais pas en colère. Je savais qu'ils avaient été empoisonnés par les mensonges et la propagande. J'ai toujours essayé de les approcher et avec le temps, toute sa famille a démissionné du Parti communiste chinois. Le directeur était particulièrement heureux de démissionner et maintenant ne dit que des bonnes choses à propos du Falun Gong. Il est très heureux d'accepter de l'argent avec des phrases de clarification de la vérité écrites sur les billets. Il a dit : « Je voudrais échanger ces billets avec vous, peu importe la quantité que vous avez. » Sa femme m'a dit : « Nous les passons beaucoup plus vite que vous. »


--- L'auteur

Bonjour, Maître grandiose ! Bonjour, compagnons de pratique !

J'ai été détenue pendant de nombreuses années en prison et je voudrais partager certaines de mes expériences sur la clarification de la vérité et le salut des êtres après avoir été libérée et aussi en faire rapport au Maître.

Désintégrer activement la perversité et clarifier la vérité pour sauver les policiers

Après ma libération, je suis restée à la maison et j'ai lu le Fa pendant un certain temps. J'ai alors décidé de clarifier la vérité aux policiers qui m'avaient persécutée.

Je suis d'abord allée à mon poste de police local et j'ai trouvé celui qui m'avait arrêtée. Je lui ai demandé avec les pensées droites : « Me reconnaissez-vous ? Avec votre assistance, j'ai été en prison pendant des années. » Ce policier a expliqué que même s'il m'avait arrêtée, ce n'était pas sa faute et qu'il ne faisait que suivre les ordres. Il a dit que le Parti communiste chinois l'avait payé, donc il fallait le faire. J'ai dit : « Vos salaires proviennent du grand public, de même que l'argent pour le Parti communiste. Si le PCC vous demandait de tuer quelqu'un, le tueriez-vous ? Si l'on vous demandait d'allumer un feu, le feriez-vous ? Pouvez-vous trouver des gens qui sont meilleurs que les pratiquants de Falun Gong ? Connaissez-vous les conséquences de suivre le PCC ? Savez-vous combien de personnes ont été punies par le ciel pour avoir persécuté des pratiquants de Falun Gong ? » Ce policier n'avait rien à dire. J'ai poursuivi : « Si quelqu'un me dit que vous arrêtez toujours des pratiquants de Falun Gong, je ne vais pas vous laisser filer. » Il a répondu : « Merci, merci. Je ne vais plus arrêter les pratiquants de Falun Gong. » Je n'ai pas entendu qu'il avait arrêté des pratiquants depuis lors.

Je suis ensuite allée directement à mon Bureau 610 local. Le personnel du bureau m'a dit que la personne en charge n'était pas là. J'ai commencé à leur clarifier les faits en attendant la personne en charge. Un membre du personnel voulait se débarrasser de moi, mais je ne voulais pas partir. Le directeur général est finalement apparu et je lui ai demandé : « Quelle loi ai-je violée qui a fait que je suis restée en prison pendant des années ? Ma mère est décédée pendant ce temps et ma fille souffrait d'insomnie. Ai-je tué quelqu'un ? Ai-je commis un incendie criminel ? Ai-je volé quelque chose ? Je voudrais payer ou présenter des excuses à la personne si vous pouviez trouver quelqu'un que j'aurais blessé. Vous devez arrêter de faire de mauvaises actions. Regardez combien de catastrophes ont eu lieu. Elles sont causées par le manque de vertu des êtres humains. »

J'ai vu des mots calomniant Dafa sur un poteau électrique et j'ai utilisé un chiffon pour les effacer. J'ai vu que certains mots étaient encore visibles, j'ai donc essayé de faire disparaître le reste. Quelqu'un me regardait. Une moto m'avait suivie partout où j'allais, mais je n'avais pas peur. J'étais désolée pour ces gens, parce qu'ils étaient trompés par les mensonges. J'ai essayé d'approcher la personne, mais dès que je l'ai fait, elle s'est enfuie. Plus tard, une voiture aux vitres teintées me suivait tout le temps. Je ne pouvais pas voir qui était à l'intérieur, mais j'ai noté le numéro de la plaque. La voiture qu'ils utilisaient pour me suivre changeait fréquemment. Je sais que la perversité ne peut pas m'empêcher de sauver les êtres. Je vais écouter le Maître et faire ce que le Maître nous demande de faire, y compris lire davantage le Fa, émettre la pensée droite et sauver les êtres. J'ai clarifié la vérité à plus de 700 personnes au cours de ces deux mois. Partout où j'allais, il y avait toujours une voiture qui me suivait. J'ai regardé la voiture et j'ai souri aux gens à l'intérieur. Leur comportement ridicule m'a fait rire.

Une autre fois, j'ai réalisé que j'étais suivie par deux policiers en civil alors que je distribuais des documents dans une autre ville. Mes craintes sont apparues quand je suis rentrée chez moi. Je ne pouvais pas lire ou émettre la pensée droite correctement. Mes pensées étaient remplies d'idées où cacher mes livres et documents de Falun Gong. Ces sortes de pensées sont restées dans ma tête jusqu'au lendemain matin quand je faisais les exercices. Quand j'ai fait le deuxième exercice de tenir la roue, je me suis soudainement souvenue qu'il y avait une photo du canular de l'auto-immolation de la place Tiananmen dans les documents d'information et la police pourrait être sauvée si elle les lisait. En peu de temps, je suis devenue plus heureuse. J'ai réalisé que le Maître avait enlevé mon attachement à la peur et à l'inquiétude, comme si rien ne s'était passé. J'ai alors décidé de signaler à la police que quelqu'un me suivait.

Je suis d'abord allée au poste de police situé au nord de la ville. Un jeune policier a demandé s'il pouvait m'aider et je lui ai répondu : « J'ai été suivie par des gens méchants. » Il a dit : « Rien ne vous est arrivé encore, mais vous venez le rapporter. Je ne peux pas être avec vous et vous protéger toute la journée. » J'ai dit : « Ne sera-t-il pas trop tard pour le signaler après qu'il me soit arrivé quelque chose ? Vous êtes incapable d'attraper les méchants, mais vous arrêtez les pratiquants de Falun Gong, n'est-ce pas ? » Le policier a essayé de m'arrêter en disant : « Ne mentionnez pas le Falun Gong ici, je ne crois en rien. » J'ai dit : « Je pratique le Falun Gong et cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il est impossible de ne pas mentionner le Falun Gong. » Il a dit : « Les gens qui pratiquent le bouddhisme et les religions chrétiennes ne sont pas comme les pratiquants de Falun Gong, vous essayez de montrer aux gens que le Falun Dafa est bon. Si les gens ne le croient pas, vous les suivez et clarifiez la vérité. » J'ai ri et j'ai répondu : « Il semble que vous avez une affinité prédestinée avec le Falun Gong et que quelqu'un vous a dit la vérité à ce sujet. » Il a dit : « Que l'auto-immolation de la place Tiananmen ait été mise en scène n'est pas une rumeur sans fondement. Il doit y avoir une raison derrière pour que le gouvernement réprime le Falun Gong. » J'ai répondu : « Selon votre logique, que les fonctionnaires de haut rang aient été supprimés pendant la Révolution culturelle n'est pas non plus une rumeur sans fondement et il doit y avoir une raison derrière pour que le Parti communiste ait massacré les étudiants qui protestaient contre la corruption le 4 Juin 1989. » Il est resté silencieux. J'ai continué : « En dehors de ce que vous voyez à la télévision, avez-vous déjà entendu parler d'autres pratiquants de Falun Gong qui avaient commis l'auto-immolation ? » Quand il a dit non, j'ai continué : « Ai-je l'air d'une personne qui commettrait l'auto-immolation ? » Il a souri et j'ai continué : « Pour faire pression sur moi pour que je renonce à ma croyance, le PCC a utilisé plus de 20 méthodes atroces pour me torturer, mais aucune d'entre elles n'a fonctionné. Ils m'ont suspendue par les menottes, m'ont injecté des drogues toxiques, ont attaché une corde serrée autour de mon cou, m'ont frappée, m'ont battue, ont enlevé tous mes vêtements pour m'humilier, etc. » Il a été choqué d'entendre tout cela. J'ai continué : « Même les Japonais n'ont jamais utilisé de telles tactiques quand ils ont envahi la Chine pendant la Seconde Guerre mondiale, mais le PCC les utilise sur ces bonnes personnes. Combien de crimes le PCC a-t-il commis ? Comment le ciel peut-il leur pardonner ? Êtes-vous un membre du Parti communiste chinois ? » Il hocha la tête. J'ai dit : « Dépêchez-vous et démissionnez pour sauver votre vie. Ne les suivez pas pour faire de mauvaises actions. » Il hocha la tête à nouveau.

Je suis allée à un autre poste de police situé dans la partie sud de la ville. J'ai clarifié la vérité à l'agent et l'ai aidé à démissionner du PCC aussi. En fin de compte, la voiture qui m'avait surveillée a disparu.

J'ai découvert qu'un policier en civil me surveillait quand je suis sortie pour acheter mon petit déjeuner, le 20 juillet 2012. Il prétendait qu'il faisait des exercices. Je lui ai demandé : « Où travaillez-vous ? » « Dans la vente de voitures d'occasion », a-t-il répondu. « Mais vous ne ressemblez pas à une personne qui aurait un tel travail. Quel est votre nom ? », ai-je demandé. Il a répondu : « Je ne peux pas vous le dire. » J'ai poursuivi : « Les gens qui ont peur de dire leurs noms sont des espions. Parce qu'ils font des choses honteuses, ils n'osent pas dire aux gens leurs noms. Ne faites pas le sale boulot pour un petit profit. Regardez combien de catastrophes ont eu lieu juste parce que les gens ne se soucient pas de la vertu. » Après mes questions soutenues, il est allé à l'hôtel de l'autre côté de la rue. J'ai couru après lui dans l'hôtel, mais je n'ai pas pu trouver l'endroit où il se cachait. Le policier n'est jamais réapparu.

Un jour, j'ai écrit sur un poteau électrique : « Le Parti communiste chinois est mauvais et a tué 80 millions de Chinois. » À ce moment, j'ai remarqué une voiture noire garée en face de moi. Un homme m'a crié de la voiture : « Qu'est-ce que vous écrivez ? » J'ai dit calmement : « Rien. D'où venez-vous ? » Il a répondu violemment : « Du département de police. Montez dans la voiture. » Je me suis dirigée vers sa voiture et j'ai dit : « Ne soyez pas si méfiant, continuez à avancer. » Il est parti tranquillement.

Clarifier la vérité au juge en chef de la Cour pénale

Plusieurs pratiquants locaux étaient détenus dans un centre de détention pour être jugés. Les compagnons de pratique et moi avons décidé de clarifier la vérité au juge en chef de la Cour pénale. Je n'avais pas la moindre idée comment faire cela, car je ne savais pas à quel point le juge avait été empoisonné ou combien étaient efficaces les lettres de clarification de la vérité que les pratiquants avaient envoyées. Je suis impatiente, j'ai donc décidé de travailler avec des pratiquants calmes afin que nous puissions nous compléter mutuellement.

Nous avons ciblé les points importants lorsque nous l'avons rencontré. Nous avons clarifié la vérité du point de vue de la corruption du PCC, des catastrophes naturelles qui ont eu lieu ; de la tyrannie du PCC, aux campagnes politiques de l'histoire qui ont tué 80 millions de Chinois ; et de la persécution des pratiquants de Falun Gong, au Falun Gong s'étant répandu partout dans le monde. Le juge écoutait avec attention et nous a seulement interrompu quand il a rempli nos tasses. Il a dit : « Le Falun Gong est politique. » J'ai dit : « Le PCC déclare que quiconque s'oppose au Parti aujourd'hui va vouloir prendre le pouvoir demain. À quel parti Confucius s'opposait-il il y a 2000 ans ? Dans quels enjeux politiques était-il impliqué ? Mais le PCC le critiquait toujours dans les années 1970. » Le juge a ri et a hoché la tête : « Oui, oui. » Nous lui avons demandé de libérer les pratiquants de Falun Gong innocents. Nous lui avons dit qu'ils cultivaient la bouddhéité et que c'est un grand péché de persécuter les pratiquants. Le juge était confus au sujet de la situation et a dit : « Tout le monde sait que si nos supérieurs ne faisaient pas pression sur nous, nous ne serions pas impliqués dans la persécution. Je n'ai pas le dernier mot, et il y en a d'autres qui sont impliqués dans ce problème. » « Au moins, ne prenez pas part activement à la persécution et n'aidez pas le tyran à faire le mal et ce sera bon pour vous », lui a-je dit. Le juge a alors hoché la tête. Il a finalement accepté de quitter le PCC et a aussi accepté que le Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Avant de partir, je lui ai donné quelques brochures et des DVD, et il a dit en plaisantant : « Regardez-les, ce sont tous vos soi-disant 'preuves criminelles'. » Il a pointé l'un d'eux et a dit : « J'ai lu cela. » J'ai dit : « C'est une question différente – veuillez le lire. » Il a hoché la tête.

Quatre choses qui ont changé complètement la famille d'un directeur de supermarché

Quand j'ai clarifié la vérité au gérant d'un petit supermarché, il est devenu très en colère contre moi et m'a dit certaines choses qui non seulement diffamaient Dafa et le Maître, mais aussi blessaient mes sentiments. Même sa famille essayait de m'éviter. Cependant, je n'étais pas en colère. Je savais qu'ils avaient été empoisonnés par les mensonges et la propagande. J'avais toujours essayé de les approcher et après que les quatre choses suivantes ont eu lieu, toute la famille a quitté le Parti communiste chinois.

1. Mon beau-père aime le tofu. Je dois me lever tôt chaque matin pour aller en acheter pour lui. Mon beau-père a ensuite déménagé pour aller vivre à la campagne, mais je lui rendais visite toujours tous les trois ou cinq jours avec un contenant sous vide de tofu. Mon mari et moi devions voyager des dizaines de kilomètres pour s'y rendre. La femme du gérant du supermarché me complimentait pour être une bonne belle-fille.

  1. Une fois, j'étais en retard pour acheter le tofu et il en restait seulement un petit peu quand je suis arrivée. L'épouse du gérant a utilisé une main pour déplacer le gros flacon sous vide et l'autre pour ramasser le tofu. Je pensais à quelque chose et j'ai oublié de lui venir en aide. Le tofu est tombé sur le sol quand elle a voulu le ramasser. J'ai pensé que si je l'avais aidée, il ne serait pas tombé sur le sol. Je me suis excusée et j'ai insisté pour rembourser pour la perte. Mais elle ne voulait pas prendre de l'argent et a dit que c'était de sa faute.

3. Je suis allée au même supermarché pour acheter des nouilles instantanées. J'ai acheté deux paquets. Un coûtait 2 yuan et l'autre coûtait 2,5 yuan. L'épouse du directeur ne m'a facturé que 4 yuan, alors je lui ai demandé de re-calculer le prix. Elle a dit : « Seuls les pratiquants de Falun Gong sont honnêtes. Si cela arrive à d'autres personnes, ils prennent tranquillement les nouilles. » À ce moment, certains responsables de l'Office de gestion de la ville passaient par là, et l'épouse du directeur a laissé échapper : « Êtes-vous membres du Parti communiste ? Dépêchez-vous et démissionnez. Le Falun Gong est très bon. »

4. J'ai trouvé un chemisier sur le sol avec un emballage exquis du supermarché de l'autre côté de la rue. J'ai attendu pendant un certain temps, mais je n'ai vu personne revenir le chercher. Je l'ai donné à la femme du gérant et lui ai demandé de regarder dehors si quelqu'un le cherchait de l'autre côté de la rue. L'épouse du directeur m'a dit : « Vous êtes véritablement une bonne personne. » Plus tard l'épouse du gérant m'a dit que la propriétaire lui avait demandé si elle avait trouvé un chemisier cher. Elle l'a ensuite donné à la propriétaire. La propriétaire était très reconnaissante et l'a remerciée, mais elle a dit : « Ne me remerciez pas, il a été trouvé par une pratiquante de Falun Gong et elle l'a laissé ici. »

Tous les membres de la famille du gérant ont depuis quitté le PCC. Le directeur était particulièrement heureux de quitter et maintenant il dit seulement des bonnes paroles au sujet du Falun Gong. Il est très heureux d'accepter de l'argent avec des phrases de clarification de la vérité écrites sur les billets. Il a dit : « Je voudrais échanger des billets avec vous, tout ce que vous avez. » Sa femme m'a aussi dit : « Nous les dépensons beaucoup plus rapidement que vous. »

À une autre occasion, j'avais oublié de prendre de l'argent avec moi quand je suis allée à leur magasin. La fille du gérant nous a dit : « Apportez l'argent la prochaine fois. » Cependant, je suis rentrée chez moi tout de suite et je suis retournée avec l'argent. Le beau-fils du gérant ne l'a pas compté et a mis l'argent dans le tiroir. J'ai dit : « Pourquoi ne le comptez-vous pas ? » La fille du gérant et le beau-fils ont dit : « Nous l'aurions compté si quelqu'un d'autre nous l'avait donné, mais nous n'avons pas besoin de compter votre argent du tout. »

Mon talisman est miraculeusement revenu 45 jours après un accident de voiture

J'ai été impliquée dans un accident de voiture vers 14 h le 18 mars 2012. Une voiture noire m'a foncé dessus alors que je clarifiais la vérité à un jeune homme. J'ai mis mes mains sur mon ventre, qui était terriblement douloureux, et j'ai demandé l'aide du Maître. En quelques secondes, la douleur a disparu. J'ai été projetée à environ cinq ou six mètres de la voiture. Le conducteur, qui sentait fortement l'alcool, est venu vers moi et m'a dit : « Je vais prendre l'entière responsabilité de l'accident. Permettez-moi de vous emmener à l'hôpital. » J'ai vu qu'il était effrayé et je lui ai dit avec un sourire : « Je vais bien. Je suis une pratiquante de Falun Gong et mon Maître me protège. » Le chauffeur a demandé : « Pouvez-vous vous lever ? Essayez de marcher et laissez-moi voir. » « Pouvez-vous m'aider à ramasser mes chaussures ? », lui ai-je demandé. Le chauffeur a ensuite marché quelques mètres pour prendre mes chaussures. J'ai utilisé ce temps pour prendre tranquillement ma montre cassée sur le sol (je l'ai moi-même fait réparer). J'ai fait quelques pas et j'ai dit au chauffeur : « Avez-vous vu le miracle du Falun Gong ? » Le conducteur était enthousiaste et a dit : « Vous n'avez pas besoin de dire quoi que ce soit, je comprends maintenant. Cependant, je dois vous donner un peu d'argent. » Il a mis sa main dans sa poche pendant qu'il parlait. Je l'ai arrêté : « Je n'accepterai pas votre argent. Mon Maître nous apprend à être de bonnes personnes. Si une personne pratique vraiment le Falun Gong, elle fera exactement ce que notre Maître conseille. Vous avez de la chance aujourd'hui. Si vous aviez frappé quelqu'un d'autre, vous auriez eu beaucoup d'ennuis. Et d'ailleurs, pourquoi conduisez-vous si vous avez bu ? » Il a poursuivi : « Vous êtes vraiment magnanime ! Pouvez-vous me donner votre numéro de téléphone ? Je voudrais être votre ami. » Je lui ai répondu : « Je ne veux rien de vous, je demande seulement que vous disiez quelque chose de juste, parce que le PCC est toujours en train d'arrêter ces bonnes personnes, et il viole les principes du ciel ». Le conducteur a dit qu'il comprenait. J'ai poursuivi : « Vous pouvez y aller maintenant. Je dois rentrer chez moi et changer de vêtements. » Il a immédiatement dit : « Permettez-moi de vous raccompagner à la maison. »

Il a alors vu que son pare-choc avait été brisé et que la plaque était toujours là. Il y avait aussi une bosse dans la voiture. Un homme âgé avec une canne qui se tenait à proximité a pointé vers moi et a dit au chauffeur : « Elle est une très bonne personne ! » J'ai dit au chauffeur : « Vous allez devoir dépenser un peu d'argent pour faire réparer votre voiture. » Plus tard il m'a dit qu'il était très méchant quand il était à l'école, alors son professeur ne l'avait pas laissé se joindre à la Ligue de la Jeunesse. Je lui ai donné un talisman avec les mots « Falun Dafa est bon » et j'ai dit : « Vous n'aurez pas de problèmes plus tard si vous le portez. » Il a pris le talisman et m'a remerciée encore et encore.

Quand je suis rentrée, j'ai remarqué que mon talisman avait disparu, et il y avait seulement la chaîne autour de mon cou. Ça m'a attristée. J'ai appelé mes parents et leur ai dit que le Maître m'avait protégée. À ma grande surprise, ils accusaient tous le conducteur et voulaient une compensation de sa part, sinon ils voulaient l'emmener au tribunal. Ma sœur cadette a dit : « Quelqu'un dans mon entreprise a eu un accident de voiture. Il n'y avait rien à ce moment, mais la personne est décédée le lendemain parce que ses organes ont flanché. » Elle a également suggéré que j'aille à l'hôpital et me fasse examiner. Quand mon mari en a entendu parler, il était très inquiet pour moi et a dit : « Si quelque chose devait t'arriver, comment vais-je vivre ? » J'ai dit : « Je suis différente d'eux. J'ai le Maître pour me protéger et mon Maître ne protège que les bonnes personnes. Il ne protège pas une mauvaise personne. Si je ne me conformais pas aux exigences d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance, le Maître ne voudrait pas me protéger et vous auriez alors vraiment de la difficulté. » Mon mari a murmuré : « Ce gars-là a vraiment rencontré une bonne personne. »

Le 3 mai, j'allais déménager dans une plus petite chambre après que ma fille soit retournée à l'école après les vacances. Quand j'ai pris un oreiller, j'ai vu mon talisman vert, transparent avec les mots « Falun Dafa est bon » sous l'oreiller. Je l'ai pris et les larmes coulaient. Le Maître a vu mon cœur et m'a aidée à le retrouver.

J'ai beaucoup d'histoires au sujet de la clarification de la vérité et de la validation du Fa, mais je ne peux pas toutes les détailler ici. Cependant, je vais lire le Fa davantage, bien me cultiver et sauver davantage d'êtres. Soyons dignes des attentes du Maître et des attentes des êtres.

(Neuvième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de la Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada