(Minghui.org) Bonjour Maître bienveillant et grandiose ! Bonjour compagnons de pratique !

Avant que je commence à pratiquer, mon mari était déjà un pratiquant de Dafa et je l'aidais souvent dans les activités de rectification de Fa. Cependant, je n'avais jamais pensé à cultiver et pratiquer. Un jour, alors que je terminais d'emballer des documents de clarification de la vérité, j'ai commencé à les lire. En lisant, j'ai tout à coup réalisé que le Falun Gong cultive et pratique le Fa de Bouddha. C'est ainsi que j'ai commencé à pratiquer dans Dafa.

Je suis pratiquante depuis près de 6 ans. Sur mon parcours de cultivation et pratique, j'ai fait l'expérience de nombreux moments de joie et de souffrance, et j'ai également été témoin de miracles de Dafa se manifestant dans notre monde humain. J'aimerais partager ci-dessous mes expériences de cultivation et pratique des 6 dernières années.

Surmonter les obstacles avec les jeunes pratiquants

Avant que je commence à pratiquer, ma jeune fille et moi avions toutes les deux de nombreuses maladies. Je souffrais de rhumatisme, d'une maladie cardiaque, de pharyngite et sinusite chroniques et j'avais également une hernie discale et une élongation à un muscle. Deux mois après que j'aie commencé à pratiquer, tous mes problèmes de santé ont disparu.

Le Maître a dit :

« avec une seule personne qui pratique, la famille entière en bénéficie » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa en Australie »)

Ma fille était en mauvaise santé depuis sa naissance et nécessitait toutes sortes d'injections et de médicaments chaque mois. Après avoir commencé à pratiquer, je me suis mise à la guider à respecter aussi les critères du Fa. Lorsque mon mari et moi étudions le Fa, ma fille nous écoutait lire. Rapidement, comme pour moi, ma fille n'a plus eu besoin de médicament. Aux moments où elle surmontait le karma de maladie, j'ai cru fermement dans le Maître et le Fa. J'ai cru dans le Maître, qu'il s'occupait d'elle et qu'elle irait bien.

Un soir quelques mois après que j'aie commencé à pratiquer, ma fille (qui avait environ 20 mois à l'époque) a tout à coup eu une forte fièvre et criait que son estomac lui faisait mal. Mon mari n'était pas chez nous. Je n'avais pas assez de pensée droite et j'ai emmené mon enfant chez un autre pratiquant où j'ai demandé à ce pratiquant de nous aider à émettre la pensée droite.

Le pratiquant a partagé avec moi la compréhension que ce qui arrivait était dû à mon attachement sentimental envers l'enfant et que les choses iraient mieux si j'abandonnais mon attachement. J'ai ramené ma fille chez moi, mais elle continuait de pleurer et j'ai commencé à pleurer aussi. J'ai dit au Maître : « Maître, si c'est le karma de maladie de mon enfant, alors elle doit l'endurer, mais si ça ne l'est pas, je vais l'éliminer complètement. » Ma fille n'avait jamais eu aussi mal auparavant. Le meilleur choix était d'avoir confiance dans le Maître et de laisser ma fille entre ses mains. Sur ce, j'ai émis la pensée droite, mais elle continuait de pleurer et d'avoir mal. Alors que sa fièvre continuait après minuit, j'ai également commencé à avoir une forte fièvre et mon corps a commencé à faire si mal que je devais serrer les dents. Quand je pouvais m'asseoir, j'émettais la pensée droite et quand j'avais un peu de force, je faisais les exercices. Quand j'étais fatiguée, je me couchais par terre pour me reposer et après cela j'allais au lit pour m'allonger. La couverture était extrêmement pesante et lorsque je touchais ma peau, il semblait y avoir des milliers d'aiguilles. J'ai continué d'émettre la pensée droite, de faire les exercices et de me reposer jusqu'au lendemain matin. Dans la matinée, ma fille a cessé de pleurer, sa fièvre était partie et elle est tombée dans un profond sommeil.

Le Fa est la vérité et personne ne peut me faire croire le contraire

Un matin, un an après que j'aie commencé à pratiquer, j'étudiais le Fa avec deux pratiquants âgés lorsque ma fille s'est soudain plainte qu'elle avait des démangeaisons partout. Lorsque je me suis retournée pour regarder, j'ai vu d'immenses marques sur tout son visage et son corps. Les deux autres pratiquants et moi avons cessé d'étudier et nous avons commencé à émettre la pensée droite. Cependant, les marques continuaient de s'agrandir, jusqu'à ce que chaque centimètre de la peau de ma fille – y compris ses paupières – soit enflé. Les démangeaisons étaient si graves qu'il y avait des marques d'éraflure en sang sur son visage et son corps et du sang sous ses ongles. Elle ne cessait de pleurer et de dire : « Maman, je me sens vraiment mal ! » À ce moment-là, les autres pratiquants ont dit : « Tu ferais mieux de l'amener à l'hôpital, elle a l'air vraiment mal. En plus, elle n'est pas une pratiquante et elle est si jeune, elle ne peut tout simplement pas supporter cela par elle-même. »

Au moment où je ne savais que faire, deux citations des enseignements du Maître m'ont traversé l'esprit :


« La difficulté est de perdre en toute connaissance et toute conscience les avantages des gens ordinaires ; face à vos intérêts vitaux, êtes-vous affecté intérieurement ? Dans les conflits et les intrigues entre les gens, êtes-vous affecté intérieurement ? Quand vos amis et vos parents sont dans la souffrance, êtes-vous affecté intérieurement ? » (« Huitième leçon », Zhuan Falun)

« Notre corps éprouvera subitement des malaises, c’est parce qu’on liquide du karma, cela peut se manifester sous de nombreux aspects. À une certaine étape, on vous amènera à ne plus savoir ce qui est vrai ou ce qui est faux, on vous fera douter de l’existence du gong, de la possibilité de cultiver, de votre capacité à vous élever par la cultivation et la pratique, de l’existence des bouddhas et de l’authenticité de tout cela. À l’avenir, ce genre de situation pourra se produire, cela créera en vous de fausses impressions qui vous feront douter de l’existence de tout cela, qui vous feront croire que tout est faux, c’est pour voir si vous pouvez tenir bon. Si vous vous dites que vous devez être résolu et inébranlable, avec un tel esprit, vous pourrez à ce moment-là rester vraiment inébranlable et agir naturellement bien parce que votre xinxing se sera déjà élevé. Mais pour l’instant, vous êtes tellement instable que si cette épreuve due aux démons apparaissait, vous ne pourriez absolument pas la comprendre avec votre sens de l’éveil et vous ne pourriez plus du tout continuer votre cultivation. Des épreuves dues aux démons pourront se présenter dans tous les domaines. » (« Sixième leçon », Zhuan Falun)

Quand je me suis rappelée les enseignements du Maître, ma pensée droite s'est renforcée. Je savais que le Fa était la vérité et que personne ne pouvait me faire penser le contraire. J'ai émis une puissante pensée droite pour éliminer les êtres et les facteurs qui interféraient avec nos activités de rectification de Fa et empêchaient les êtres d'être sauvés.

À ce moment-là, je me suis souvenue d'un moment l'été dernier. J'avais acheté trop de riz et j'avais donc écrit : « Joignez-moi dans l'assimilation de la Grande Loi de Bouddha de ' Authenticité-Bienveillance-Tolérance ' de l'univers » sur le sac de riz. En conséquence, aucun grain de riz n'avait de charançon, mais le riz qui séchait au soleil est devenu infesté de charançons. En y pensant, j'ai immédiatement pris un stylo et j'ai commencé à écrire « Fa zheng qian kun ; xie e quan mie » (Points essentiels pour un avancement diligent II – « Les deux positions de main pour émettre la pensée droite ») sur les marques du corps de ma fille. Dans mon cœur, je souhaitais que chaque centimètre de peau de ma fille s'assimile avec la grande Loi d'« Authenticité-Bienveillance-Tolérance » de l'univers. Lorsque j'ai eu couvert son corps d'écriture, elle a cessé de pleurer et de se gratter. Les marques ont commencé à disparaître et tandis qu'elles disparaissaient, ma fille s'est endormie. Le tout a duré environ une demi-heure.

Les autres pratiquants et moi avons été témoin d'un des miracles de Dafa. Ma fille et moi avons été capables de surmonter ce test, parce que nous croyons fermement dans le Maître et le Fa et le test ne nous a pas perturbées. Le Maître a immédiatement éliminé la tribulation de ma fille et nous étions reconnaissantes de la protection compatissante du Maître. Si au lieu de cela nous avions fait ce qu'une personne ordinaire ferait, le résultat aurait été inimaginable.

À un autre moment, pendant l'été 2010, ma fille a soudainement eu de nouveau une forte fièvre. J'ai émis la pensée droite et j'ai étudié le Fa avec elle, mais la fièvre ne disparaissait pas. J'ai ensuite mené ma fille à chercher à l'intérieur : avait-elle intimidé quelqu'un ? Avait-elle menti à qui que ce soit ? Avait-elle fait quoi que ce soit qui n'était pas en accord avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance ? Ma fille a hoché la tête et a répondu par la négative à tout. Il y avait une séance de partage pour les pratiquants ce soir-là, alors j'ai emmené ma fille avec moi. J'ai également cherché en moi, mais je ne pouvais rien trouver. J'ai réfléchi en moi-même : « Il y a tant de pratiquants présents, mais la fièvre de ma fille empire ; quelque chose ne va pas. » J'ai donc demandé à un pratiquant de m'aider à transporter ma fille et nous nous sommes dirigés vers chez moi.

En chemin, ce pratiquant et moi cherchions en nous-mêmes et le pratiquant m'a rappelé : « Tu as raconté un mensonge et ta fille supporte le karma pour toi. » J'ai répondu : « Mais je n'ai pas menti. » Le pratiquant a dit : « Il y a quelques jours, tu m'as demandé de te rejoindre à l'entrée du parc à 11 h 30, mais tu étais en retard d'une demi-heure. Manquer à ta parole n'est pas cultiver l'authenticité et c'est également une forme de mensonge. » J'ai réalisé soudainement : il y avait des moments où je ne maintenais pas mes promesses, mais je n'avais jamais senti que c'était mentir ou être malhonnête. Je dois tout faire en conformité avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance ; sinon quelle sorte de pratiquante suis-je ? Le Fa a des critères pour ses pratiquants et je ne peux pas faire ce que je veux comme une personne ordinaire.

Lorsque nous sommes retournés chez moi, j'ai étendu ma fille sur le lit. Lorsque j'ai touché son front, j'ai réalisé que sa fièvre était partie. Cette fièvre faisait rage depuis plusieurs jours, mais dès que j'ai découvert mon attachement, la fièvre a disparu en un instant. Dafa est vraiment miraculeux. À partir de cela, je me suis éveillée au fait que chaque pensée et action d'un pratiquant doit respecter de près les critères du Fa.

L'été 2007, seulement deux mois après que j'aie commencé à pratiquer dans Dafa, mon fils a commencé à lire le Fa et à faire les exercices avec nous. Un jour, une moto l'a heurté alors qu'il partait de l'école. Un morceau de chair était déchiré sur son mollet et une immense enflure couverte de bleu s'était formée sur la partie inférieure de sa jambe. Mon fils a boité jusque chez nous tout seul.

Lorsque j'ai vu à quel point il était blessé, je me sentais très mal. Cette nuit-là, alors que nous nous préparions pour aller à l'étude du Fa, mon fils était étendu dans son lit et ne voulait pas venir. Je savais qu'il avait très mal, alors je me suis assise à ses côté et j'ai dit : « Tu sais que dans nos vies antérieures, nous avons peut-être tué d'autres personnes. Quand cette moto t'a heurté, si le Maître ne t'avait pas protégé pendant cette tribulation, serais-tu encore en vie ? Le Maître supporte la souffrance pour toi et pourtant tu imposes ces conditions pour étudier le Fa. Est-ce correct ? » Mon fils s'est immédiatement levé et a dit : « Maman, je veux aller à l'étude du Fa. » Sans avoir recours aux méthodes des gens ordinaires, le morceau de chair sur la jambe de mon fils s'est reformé en quelques semaines et l'enflure pleines de bleus sur sa jambe a disparu en l'espace d'un an.

Ce qui est arrivé à mes enfants et à moi, ce sont des miracles qui surgissent à cause de notre foi dans le Maître et le Fa et de la protection compatissante du Maître. Tant que nous cultivons réellement, il n'y a rien que Dafa ne puisse faire. C'est seulement en ayant foi dans le Maître et le Fa que nous pouvons traverser les tribulations rapidement et résoudre nos mauvaises dettes karmiques.

Un passant au centre-ville s'écrie : « Falun Dafa est bon ! »

Je gagne ma vie en faisant des petits boulots ou en m'occupant de petits commerces. À un certain moment, je m'occupais d'un petit kiosque de vente de nouilles froides. Un soir, alors que je me préparais tout juste à fermer pour la journée, deux hommes dans la vingtaine sont apparus et ont dit : « Donnez-nous deux assiettes de nouilles froides avec extra de piment fort. » J'ai reconnu les hommes, car je leur avais auparavant parlé de la démission du Parti communiste chinois. J'ai dit : « La sauce au piment fort est très épicée. Si j'en mets trop, vous ne pourrez pas la manger. » L'un d'eux a dit : « Ce n'est pas un problème, nous nous sentons plutôt mal en raison d'un rhume. » J'ai dit : « J'aimerais partager avec vous une manière de vous sentir mieux, mais je ne suis pas certaine que vous allez me croire. » Les deux hommes m'ont regardée d'un air ahuri.

J'ai continué : « Cette méthode ne nécessite de prendre aucun médicament, ni de se faire faire aucune injection ni de dépenser de l'argent. Ça marche seulement si vous y croyez réellement et ça fonctionne tout autant que vous y croyez. » « Qu'est-ce que c'est ? », ont-ils demandé. J'ai continué : « Croyez-vous en l'existence des divinités et des bouddhas ? » Ils ont fait un signe de tête. J'ai dit : « Alors répétez après moi ' Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon '. Récitez cela plus souvent lorsque vous arrivez chez vous ou que vous ne pouvez pas dormir. Plus vous croyez dans le Fa de Bouddha, plus les divinités et les bouddhas pourront vous aider. Vous devez réellement y croire et c'est seulement alors que des miracles se produiront autour de vous. J'espère que vous vous sentirez tous les deux mieux rapidement. » Les deux hommes ont continué de faire un signe de tête sans dire un mot. Prenant leurs nouilles froides, ils ont disparu dans la foule.

Une semaine plus tard, j'étais occupée à faire frire des nouilles, lorsque j'ai entendu quelqu'un crier : « Falun Dafa est bon ! Falun Dafa est bon ! » La voix était forte et claire et a résonné jusqu'aux cieux. C'était incroyable que quelqu'un ose crier « Falun Dafa est bon » dans un endroit bondé du centre-ville. J'étais vraiment ravie et je me sentais comme si le monde s'était réveillé. Lorsque j'ai regardé dans la direction des cris, j'ai vu qu'il s'agissait des deux jeunes hommes qui avaient eu un rhume quelques jours auparavant. Ils se sont approchés de moi et m'ont demandé deux assiettes de nouilles froides. J'ai demandé : « La méthode que je vous ai enseignée fonctionne-t-elle ? » Ils ont fait un signe de tête et ont dit : « Ça marche, merci beaucoup ! »

En la regardant de loin, je me suis mise à pleurer

L'année dernière, ma belle-sœur de Changchun a eu une opération. Comme il n'y avait personne là-bas pour s'occuper d'elle, j'ai pris des vacances pour lui rendre visite et je me suis occupée d'elle. Je me suis comportée strictement en conformité avec les critères d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance et je me suis bien occupée d'elle, affichant la conduite d'une pratiquante de toutes les façons possibles. Les autres patients à l'étage de l'hôpital pensaient que j'étais en fait sa sœur de naissance. J'ai saisis l'occasion de leur clarifier la vérité. Quand je suis partie, ils ont dit qu'une personne qui a la foi est beaucoup plus forte qu'une personne qui ne l'a pas.

En m'occupant de ma belle-sœur, j'ai rencontré la directrice du Département de l'éducation. Elle avait 59 ans et souffrait d'un cancer du sein. Elle avait déjà eu une opération et devait maintenant retourner à l'hôpital tous les jours pour de la chimiothérapie. Comme les médicaments étaient très forts, ils avaient asséché la muqueuse de sa bouche, la laissant rêche et ulcérée. Elle ne pouvait rien manger, avait des écoulements salivaires en continu et devait souvent utiliser de l'eau salée pour se rincer la bouche. Il était clair qu'elle souffrait. Je lui ai clarifié la vérité et je lui ai parlé de la persécution du Falun Gong par le PCC pervers et que les auto-immolations de la place Tiananmen étaient une mise en scène. Je lui ai également parlé des prélèvements forcés d'organes sur des pratiquants pour du profit, que le Falun Gong s'est maintenant propagé dans plus de 100 pays à travers le monde et des miracles que j'ai vécus grâce à la pratique. Je lui ai ensuite parlé des démissions du PCC et elle a rapidement accepté de démissionner du parti et de ses organisations affiliées.

Quatre jours plus tard, je peignais les cheveux de ma belle-sœur lorsque j'ai de nouveau vu cette femme. Elle m'a fait signe de m'approcher. Je suis allée la voir et je lui ai demandé ce qui était arrivé. Elle a levé le pouce avec enthousiasme et a dit : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-beauté est bon ». Je l'ai corrigée : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle a fait un signe de tête et a dit : « Le premier jour lorsque je suis revenue chez moi, je me suis dit que j'avais assez d'argent pour payer des traitements médicaux et je ne croyais pas à ce que vous aviez dit. Mais le lendemain, je me sentais vraiment mal et je n'avais pas été capable de manger au cours des derniers jours. Je me suis alors rappelé ce que vous aviez dit, j'ai donc décidé d'essayer et de voir si un miracle se produirait pour moi. J'ai donc commencé à réciter ' Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-beauté est bon '. En l'espace d'un jour, mon écoulement salivaire excessif avait cessé et l'intérieur de ma bouche ne me faisait plus mal. Le troisième jour, les ulcères dans ma bouche ont commencé à guérir. Je suis venue vous voir aujourd'hui pour vous demander si vous avez quoi que ce soit que je puisse porter sur moi. » Je lui ai donné un porte-bonheur pour clarifier la vérité sur Dafa. Elle m'en a demandé un autre pour son fils et ensuite un autre. Tenant les trois porte-bonheurs et souriant, elle est partie et a continué à me remercier même si elle était assez loin. Je lui ai dit de ne pas me remercier, mais de remercier mon Maître.

Alors que je la regardais de loin, je me suis mise à pleurer. Même si cette dame n'avait pas récité les mots correctement, le Maître s'était tout de même occupé d'elle et l'avait aidée en supportant beaucoup de son karma. À ce moment-là, je me suis remémorée ces phrases d'un poème du Maître :

« Enseignant le Fa du Ciel pour sauver le firmament

Seul à supporter les dettes karmiques de tous les êtres

Le karma incommensurable a formé d’immenses tribulations

Les cheveux noirs devenus gris, le corps humain endommagé »

(Hong Yin III, « Vers l'état originel »)

La compassion du Maître m'a poussée à devenir encore plus diligente, car c'est la seule façon de le rembourser.

Une récolte potentiellement ruinée devient une récolte de milliers de kilos en excès

L'année dernière, je suis retournée dans mon village natal pour célébrer le Nouvel An chinois. Alors que j'y étais, ma sœur aînée m'a dit qu'un miracle s'était produit chez elle. Ma sœur croit que Dafa est bon, mais elle est analphabète. Ainsi, elle garde souvent les mots « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » sur son cœur et elle demande à ses enfants de lui lire les brochures de clarification de la vérité.

Tôt l'automne dernier, sa région a été frappée par une tornade qui a rasé leur champ de maïs entier jusqu'au sol. Ma sœur a pleuré lorsqu'elle a vu le champ. Elle savait que c'était fichu ; non seulement n'allaient-ils pas avoir de récolte pour l'année, mais sa famille entière dépendait de cette récolte pour subvenir à leurs besoins. De plus, ils venaient tout juste de construire une maison et devait encore payer le prêt. Sans aucun champ à récolter, ils n'auraient rien pour vivre. À ce moment-là, elle s'est tout à coup rappelée ce que je lui avais déjà dit : il n'y a rien que le Maître et Dafa ne puissent faire. Elle s'est également rappelé les nombreux exemples que je lui avais donnés sur les miracles de Dafa.

Elle a commencé à marcher dans le champ et à pleurer : « Maître Li, sauvez ma famille, nous croyons que le Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle allait au champ et récitait les mots tous les jours. En conséquence, lorsque la période de récolte de l'automne est arrivée, les autres familles avaient des récoltes plus petites qu'à l'habitude, mais elle est arrivée à faire pousser plus de 6 000 à 7 000 kg de maïs que sa récolte habituelle. Alors que ma sœur me racontait joyeusement son histoire, elle a dit qu'aucun mot ne pouvait exprimer à quel point elle était reconnaissance envers le Maître.

Pour chacun de nous qui cultive et pratique réellement, qui peut dire qu'il n'a jamais fait l'expérience de quelque chose de miraculeux ? Ces miracles sont des exemples de la protection compatissante du Maître et sont des rappels pour nous en tant que disciples de Dafa. Cette disciple peut seulement écouter les mots du Maître, sauver davantage d'êtres et bien se cultiver, afin d'entraîner moins d'ennuis et de travail pour le Maître.

Traduit de l'anglais au Canada