Narré par une pratiquante en Chine, transcrit et édité par un compagnon de pratique
(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa âgée de plus de soixante-dix ans qui cultive et pratique le Falun Dafa depuis plus de dix ans. Dafa est devenu ma vie et je marche sur le chemin pour valider Dafa dans le monde. Je voudrais partager une histoire qui s'est produite il y a quelques années.
Le 9 février 2009, mon mari m'a demandé d'assister à un spectacle dans un village traditionnel dans la soirée. En quittant la maison, j'ai pris un sac plein de dépliants du Falun Gong ainsi que des journaux.
Nous nous sommes assis pour regarder le spectacle et comme je m’ennuyais, j'ai quitté le village traditionnel aux alentours de 21h et j’ai commencé à mettre des dépliants du Falun Gong sur les vélos dans le parking.
Un agent de sécurité est venu et m’a demandé : « Qu'est-ce que vous distribuez ? » Je lui ai répondu calmement : « Ce sont des dépliants expliquant ce qu'est le Falun Gong. Celui qui les lit comprendra la vérité. » Il m'a traîné au bureau de la sécurité. Je me suis assise sur un canapé et j’ai commencé à émettre la pensée droite. Le gardien de sécurité a commencé à appeler plusieurs ministères.
Peu de temps après, plusieurs personnes sont venues de la section de lavage de cerveau, du Bureau 610 et du poste de police. Ils sont restés à l’extérieur afin de discuter de ce qu’il devait faire de moi.
J'ai continué à émettre la pensée droite. J'étais une pratiquante de Dafa à cet endroit en train de sauver les gens. Personne ne peut persécuter une pratiquante de Dafa. Je distribuais les faits sur le Falun Gong et c'est une action noble et très juste. Je ne voulais pas laisser les forces anciennes utiliser la police pour me persécuter ni pour persécuter les êtres.
J'ai émis la pensée droite attentivement. Les gardiens et les policiers semblaient discuter de quelque chose et personne ne me prêtait attention.
Le temps a passé. Un capitaine de police s'est tenu le ventre et m’a dit : « Émettez-vous des pensées ? Mon estomac me fait mal ! » Il est sorti. Après un certain temps, il est revenu et a lu les documents que j'avais apportés. J'ai continué à émettre la pensée droite. Il a crié : « Émettez-vous à nouveau ? Ma tête me fait mal. » Cependant, il ne m'a pas empêchée d'émettre la pensée droite.
J'ai continué à émettre la pensée droite. Deux heures ont passé. J'étais entourée par un fort champ d'énergie. Je n'avais pas peur du tout et je sentais que Maître Li était avec moi. En attendant, la police a continué à s’occuper et personne ne m'a dérangée.
Les policiers ont déployé les documents partout sur le sol et ont pris des photos. Je pensais avec droiture qu'ils ne pouvaient pas prendre de photos. Les documents étaient dans une autre dimension et l'appareil photo n'a pas fonctionné.
Je leur ai dit tout ce qui me venait à l'esprit à propos du Falun Gong, comme le Falun Dafa est bon et combien de personnes pratiquent le Falun Gong et en ont bénéficié. L'auto-immolation de Tiananmen était un canular. Le Falun Gong s'est propagé dans plus de 100 pays, la Chine est le seul pays qui interdit le Falun Gong et Jiang Zemin persécute le Falun Gong par jalousie.
Un policier m’a demandé : « Pourquoi ne pratiquez-vous pas d'autres qigong puisque le Falun Gong est interdit ? » J'ai répondu : « Les autres qigong ne sont pas aussi puissants que le Falun Gong. Mes maladies ont été guéries tout de suite après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong. Je connais beaucoup de personnes qui ont bénéficié du Falun Gong, tout comme moi. Combien de frais médicaux avons-nous sauvé pour le pays ! Pourquoi le Falun Gong est-il bien accueilli dans tous les pays sauf la Chine ? N'est-ce pas une persécution irrationnelle ? » Un des policiers a essayé de m'arrêter en me disant de me taire et j'ai dit :« Je dois vous dire la vérité. » Je leur ai dit de réciter « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et qu'ils seront sauvés lorsque des calamités se produiront. Je leur ai dit de réciter cela tout le temps. J'ai continué à leur dire la vérité et je n'avais pas peur du tout.
Il était presque minuit. Les gardiens m'ont envoyée dans un poste de police et je parlais à tout le monde que je rencontrais au sujet du Falun Gong. La police a voulu prendre ma photo, mais j'ai refusé. Ils m'ont forcée à prendre la photo. J'ai pensé : « L'appareil ne fonctionnera pas. Même si la photo est prise, ce ne sera pas moi sur la photo. »
Il était près de minuit et j'ai commencé à émettre la pensée droite. La policière qui me surveillait a dit : « N’est-ce pas le temps d’émettre la pensée droite ? » J'ai demandé : « Comment êtes-vous au courant de l’émission de la pensée droite ? » Je lui ai demandé si quelqu’un dans sa famille pratiquait le Falun Gong ? Elle a répondu :« Ce n’est pas vos affaires. » Après avoir terminé son dossier, elle n'a pas demandé ma signature et j'ai continué à lui clarifier la vérité.
Après minuit, elle a dit : « Vous pouvez rentrer chez vous. » J'ai dit : « D’accord. » Elle a dit : « Attendez, je vais chercher quelqu'un pour vous ramener. »
J'ai dit : « Merci, mais je vais prendre un bus. » Elle a dit : « Il est trop tard pour prendre un bus. Je sais que vous ne prendrez pas un taxi. »
Bientôt une voiture blanche banalisée est arrivée. Je suis montée dans la voiture et un policier et une policière m’ont ramené à la maison. Je leur ai dit que l'auto-immolation était un canular et qu’ils devraient démissionner du Parti communiste pour assurer leur sécurité. La policière a dit : « Le policier a déjà quitté le Parti. » J'ai dit : « Bon. Mais votre travail n'est pas bon. Il a beaucoup à voir avec la persécution de bonnes personnes. » Il a dit :« J'ai pensé à changer de travail ! » J'ai dit :« C'est bien. »
Vers 2h du matin, j’étais en sécurité chez moi.
Cela avait été une bataille de cinq heures avec les anciennes forces perverses et le bien l'a emporté sur la perversité.
Par la suite, je me suis examinée. J'avais fait preuve de diligence pour rectifier Fa à ce moment-là. C'est pourquoi j'ai eu un esprit pur, sans distractions pendant les tentatives de la police pour me persécuter. Maître Li Hongzhi nous a enseigné dans « Utiliser la pensée droite pour mettre fin aux actes criminels » :
« c’est que vous devez être dans un état où vous n’avez aucune peur, aucun attachement humain, aucune crainte ni haine. Aussitôt que la pensée surgit, l’effet est immédiat. »
« Les disciples de Dafa prennent pour l’objectif essentiel de sauver les gens et de faire du bien aux gens, cette pensée droite a pour but de mettre fin aux actes criminels des malfaiteurs, également d’avertir les autres malfaiteurs, par la même occasion faire que les gens de ce monde n’aillent pas commettre de crimes, finalement c’est toujours dans l’objectif de donner le salut aux êtres. »
J'avais de pensées droites pures, aucune crainte et aucun attachement humain à ce moment. J'ai émis la pensée droite de manière ouverte et digne et j’expliquais aux gens la vérité sans arrière-pensée. J'étais complètement désintéressée. Comme ma nature a atteint le critère d'un certain niveau, Maître Li a empêché les forces perverses de me persécuter.
En 2001, lorsque j’ai été persécutée, je n’ai pas fait aussi bien.
C’est comme Maître Li l’enseigne dans : « Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times »
« L’état d’esprit humain a bloqué votre propre chemin, c’est pour cela que le chemin traversé a été sans cesse accidenté, avec constamment des soucis. C’est parce que les attachements humains sont trop nombreux, lorsque les problèmes surgissent on se protège soi-même au lieu de défendre la Loi. »
C'est absolument vrai. Nous devons vraiment nous cultiver, car il n'y a pas de raccourci dans la cultivation et pratique.
Traduit de l’anglais au Canada
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