(Minghui.org) L’année dernière, j’ai reçu un appel téléphonique inattendu d’un de mes camarades de lycée que je n’avais pas vu depuis 26 ans. Apparemment, je n’avais jamais discuté avec lui, même au lycée.
Il a mentionné son nom et espérait me voir. J’ai pensé que cela pouvait être l’arrangement du Maître que des personnes ayant l'affinité prédestinée avec Dafa viennent à moi et apprennent la vérité. Afin de ne pas manquer cette opportunité, j’ai préparé un CD des Neuf commentaires sur le Parti communiste et plusieurs brochures de clarification des faits pour notre rencontre.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, je ne l’ai pas reconnu, notre dernière rencontre remontant à vingt ans en arrière. Il m’a salué en disant : « Tu as toujours ton air de bonté et tu n’as pas beaucoup changé. » J’ai eu l’impression qu’il n’était pas comme la plupart des gens dans la société. Nous avons trouvé un petit restaurant pour discuter.
Il m’a dit qu’il était bouddhiste laïque et suivait cette voie depuis des années. Il demanda : « Tu dégages une aura de bonté, pratiques-tu le bouddhisme ? » Je lui ai répondu sans hésitation que je pratiquais le Falun Dafa et cultivais depuis 13 ans. Il était surpris, l’impression qu’il avait de moi étant si radicalement différente de la façon dont les pratiquants de Dafa étaient décrits par les médias de l’État. Il était impatient de savoir comment j’avais débuté la pratique.
J’ai d’abord commencé à parler de la façon dont ma mère avait retrouvé une bonne santé après avoir commencé la pratique du Falun Dafa, puis de ma propre expérience stupéfiante avant que le Parti communiste chinois (PCC) ne lance la persécution, en 1999. Je lui ai dit que j’avais traversé une période de profonde réflexion de six mois après le début de la persécution. En lisant tous les livres de Dafa, je n’ai pu trouver un seul mot correspondant à ce qui était dit dans la propagande calomnieuse à la télévision, et ceci avait renforcé ma détermination à continuer à cultiver.
Mon camarade de classe pouvait voir que j’avais une bonne éducation, mon esprit était clair et rationnel, et je comprenais exactement tout ce que comprenait l’idée de cultiver la vertu.
Il a posé des questions au sujet de « l’auto-immolation de Tiananmen » et de la rumeur selon laquelle les pratiquants n’étaient soi-disant pas autorisés à prendre des médicaments. J’ai répondu en pointant les incohérences découvertes dans l’incident de « l’auto-immolation de Tiananmen », qui prouvaient qu’il s’agissait d’une mise en scène par le PCC pour cibler le Falun Dafa. Comme il était bouddhiste laïque, la question de « pas de médicaments » était aisée à expliquer, puisqu’il comprenait la relation entre maladie et karma.
Je lui ai montré une brochure de clarification des faits et l’ai aidé à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Il m’a expliqué qu’il avait été obligé de rejoindre la Ligue de la Jeunesse communiste alors qu’il était à l’école. Il a exprimé des regrets d’avoir rapporté des points de vue négatifs sur Dafa à trois personnes et m’a dit qu’il les rechercherait et leur expliquerait la vérité. Il a continué : « Je pourrais aller en enfer si j’ai dit de mauvaises choses sur Dafa parce que je ne connaissais pas la vérité. Ce serait terrible. »
Il m’a aussi parlé de son expérience dans le bouddhisme. Il avait posé des questions à son professeur, comme « Jusqu’où une personne peut-elle continuer à élever son niveau ? » ou « Dans cette partie finale de la période de la fin de Fa, comment peut-on échapper ? » Cependant, il n’avait pu obtenir aucune réponse. Il était anxieux de découvrir ce que les enseignements du Falun Dafa avaient à dire sur ces énigmes.
Je lui ai dit qu’il pourrait trouver les réponses en lisant le Zhuan Falun. J’ai expliqué que je ne pouvais pas lui dire ce que pourrait être sa destination finale, puisque le pouvoir de Dafa est si grand qu’il n’a pas de limites, et j’avais peur de créer quelque chose.
Il était très impressionné et a répondu : « Tes réponses m’ont ébranlé. Ma cultivation bouddhiste est comme grimper les escaliers, mais la cultivation de ton Dafa semble être un ascenseur qui file directement vers le haut. »
Je lui ai dit que tout ce que j’avais abordé étaient des choses que j’avais appris suite à ma cultivation dans Dafa. Lorsque je lui ai montré les poèmes Hong Yin du Maître, il a répondu : « C’est le Dharma. Je devrais les lire. »
J’ai exprimé mon souhait qu’il lise les livres de Dafa et ne manque pas cette précieuse opportunité. Parce qu’il avait une affinité prédestinée avec Dafa, le Maître avait arrangé que j’aide à le sauver.
Je me sens si chanceux d’être en permanence sous la protection du Maître. Merci, Maître ! Je dois cultiver diligemment, accomplir les trois choses avec les pensées droites et aider à sauver les êtres.
Traduit de l'anglais en Europe
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