(Minghui.org) Le 6 septembre 2012, à l’heure du déjeuner, mon mari m’a demandé : « T’arrive-t-il encore parfois de te sentir perdue ? » J’ai répondu : « Non, pas depuis que je pratique le Falun Gong, parce que je sais que le but de la vie est de retourner à sa véritable nature originelle. Je mène une vie intense et heureuse. Rétrospectivement je ne savais plus pourquoi je m'étais souvent sentie perdue. »


Je me suis vraiment consacrée corps et âme à la pratique du Falun Gong en 2005. Dans ce qui suit sont relatées quelques-unes de mes expériences.


1. Disparition d’une myome utérine et guérison d’une maladie à l’estomac

Un examen médical en 1997 a révélé que j’étais atteinte d’une myome utérine Lorsqu'on m'a fait les ultra-sons, on a vu sur l’écran un objet gros comme une balle. Je me sentais ballonnée et mal à l’aise. J’ai consulté mon frère, qui est médecin. Il m’a demandé de lui décrire les symptômes et il m’a dit que c’était une tumeur bénigne. À l’époque, j’étais très occupée avec mon commerce et je n’allais pas chez le médecin pour avoir des ordonnances. En 2005 quand j’ai fait d’autres examens, la protubérance avait disparu. De 2002 à 2005, j’avais seulement le désir de pratiquer le Falun Gong et je pratiquais de temps à autre. C’était un miracle manifesté par Dafa.


En 1990, j’ai commencé à ressentir une douleur à l’abdomen. En 1994, un médecin spécialiste en médecine traditionnelle chinoise m’a prescrit 60 douzaines de paquets d’herbes chinoises, mais ma santé ne s’est pas améliorée. En 2002, j’avais si mal à l’estomac que j’étais incapable de manger du riz, des fruits de mer, des oignons, du gingembre, de l’ail ou tout autre nourriture épicée. Je pouvais manger seulement jusqu'à être à moitié remplie. Lorsque j’étais fatiguée ou en colère, j’avais mal à l’estomac.


Un jour en 2002, je souffrais beaucoup de l’estomac. Mon mari m’a emmenée à l’hôpital pour un bilan. Le résultat était le suivant : congestion sanguine, œdème, et deux lésions à l’estomac Depuis que mes parents avaient commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998, j’avais été témoin des miracles que le Falun Gong opérait pour eux. Même mon père qui souffrait d’une maladie chronique à l’estomac avait recouvré la santé sans prendre aucun médicament. Alors j’ai pensé que j’allais apprendre le Falun Gong pour guérir ma maladie. J’ai acheté un exemplaire du Zhuan Falun et je le lisais occasionnellement. Je pratiquais les exercices pendant une demi-heure si j’avais le temps et j’arrêtais de pratiquer si je n’avais pas le temps.


J’ai constaté que les autres pratiquants n’avaient pas besoin de prendre de médicaments après avoir pratiqué et qu'ils étaient en bonne santé. Mais mon estomac me faisait terriblement souffrir, si bien que j’ai demandé à mon mari de m’acheter un médicament. Il me l’a acheté et l’a déposé sur ma bibliothèque. Quand ma douleur à l’estomac est devenue insupportable, j’ai regardé le médicament, mais je ne l’ai pas pris. J’ai pensé à mon père qui avait eu une si grave maladie à l’estomac et qui avait guéri, alors pourquoi devrais-je prendre un médicament ? Je n’ai jamais touché à cette boîte de médicament. Ma maladie à l’estomac a disparu grâce à l’étude du Fa et à la pratique des exercices. Depuis lors j’ai pu manger de tout.


2. Le Maître est juste à mes côtés

En août 2011, plusieurs pratiquants ont été arrêtés. Il nous fallait de toute urgence récolter des informations afin que les gens connaissent la vérité. Un pratiquant m’en a donné une copie . J’ai commencé à faire les copies lorsque je suis rentrée chez moi du travail, après 22 heures. J’étais fatiguée et je me suis assoupie à plusieurs reprises, mais j’ai continué à faire les copies jusqu’à minuit.


À 6 heures le lendemain matin, je suis allée voir un pratiquant qui allait passer les documents photocopiés au pratiquant qui en avait besoin. Mais je ne connaissais ni l’adresse ni le numéro de téléphone de ce dernier. Alors j’ai fait un détour pour aller voir un autre pratiquant. J’ai frappé plusieurs fois à sa porte, mais il n’y a eu aucune réponse. Je suis repartie, désappointée. Aussitôt arrivée chez moi, j’ai vu le pratiquant que je voulais voir sortir de sa voiture. Il a demandé : « Vous me cherchez ? » J’ai répondu : « Oui, comment le savez-vous ? » « Ma petite amie m’a dit que vous me cherchiez pendant notre petit-déjeuner. » J’étais contente de lui remettre les documents.


Après être rentrée chez moi, je me suis postée devant la photo du Maître en pleurant : « Merci Maître. Je sais que le Maître est juste à mes côtés. »


3. Le flyer volant

Un matin, en allant au travail, j’ai vu un flyer de Falun Gong voler au milieu de la rue vers le nord-est du magasin. Je suis passée devant et je suis allée dans mon magasin. Mais je me sentais mal à l’aise au fond de moi. Je pensais sans arrêt au flyer. « Je dois retourner le ramasser. » Je me suis retournée et par la fenêtre, j’ai vu le flyer voler en direction du sud-ouest. Je me suis arrêtée et le flyer a tournoyé en cercle, volé vers moi pour tomber à mes pieds. Je l’ai ramassé sans problème.


4. Mon beau-père préfère mon foyer

Il y avait quatre enfants dans la famille de mon mari et il était le seul fils. Ma belle-mère avait quitté ce monde et laissé mon beau-père seul. Il a 71 ans et vivait autrefois à la campagne. En janvier de cette année, mon mari et moi l’avons pris à la maison. Il n’avait pas de revenus et guère d'économies. Il aimait profiter de la vie et se souciait peu de nous. Quelle que soit notre charge de travail, il ne nous proposait aucune aide.


J’avais fait de gros préparatifs pour la venue de mon beau-père. Je suis une pratiquante de Dafa. Le Maître nous demande de penser d’abord aux autres avant de faire quoi que soit. Je m’occupais très bien de lui. Nous prenions le petit-déjeuner ensemble et je lui préparais le déjeuner et le dîner. J’essayais de lui préparer des plats différents pour le déjeuner et le dîner et de faire preuve envers lui de piété filiale.


Parfois je ne parvenais pas à maintenir mon xinxing. Quand je rentrais à la maison après une journée chargée au magasin, j’aimais trouver de l’eau froide dans la théière, mais elle était vide. Avant de partir le matin, je l’avais remplie. Puis je me plaignais : mon beau-père devrait être un petit peu plus prévenant. Ce n'était pas un problème pour lui de verser de l’eau froide de la théière mais semblait en être un pour verser de l’eau chaude dans la théière. Je pensais à mon père. Quand il habitait avec nous, la théière était toujours remplie. Dès que la machine à laver s’arrêtait, il se précipitait pour étendre le linge sur le fil.


C’est alors que j’ai compris que j’avais de mauvaises pensées. Je suis une pratiquante de Dafa. Je ne dois pas me plaindre. Je ne voulais de cet attachement. Le Maître dit : « L’homme méchant est mené par la jalousie, par l’égoïsme, par la colère, il se croit injustement traité. L’homme bienveillant a toujours un cœur de compassion, sans grief, sans haine, il prend les souffrances pour une joie. » (extrait de « État d’esprit » dans Points essentiels pour un avancement diligent)

Étais-je une pratiquante de Dafa ? J’y ai réfléchi et j’ai cessé de me plaindre.


Au début de cette année j'ai discuté avec les autres pratiquants sur la manière de clarifier la vérité afin de secourir les pratiquants détenus illégalement. Je suis restée un peu plus longtemps avec les pratiquants et j’arrivai tard au magasin. Mon mari s'est mis dans une rage folle et m'a poussée dehors. Il m’a donné plusieurs jours pour prendre une décision : choisir soit la famille soit Dafa, et je ne pouvais choisir qu’une seule chose. J’ai dit que je voulais les deux. Il a dit que nous ne pouvions plus rester ensemble, ce qui voulait dire qu'il voulait demander le divorce. Je ne savais pas si c’était une interférence ou si c’était le moment pour moi de me débarrasser de mes attachements. Je me sentais bouleversée, mais tout de même je devais faire ce que j’avais à faire. Je suis rentrée à la maison, j'ai vu mon beau-père et j'ai dû lui parler sur le même ton doux et gentil. Je devais arborer un sourire et lui préparer le dîner. Il n’a rien trouvé d’anormal. Il avait mené une vie libre et heureuse.


Dernièrement, ma belle-sœur voulait m’accorder un répit. Elle a demandé à son père d’habiter chez elle quelque temps. Elle a dit : « Papa, est-ce-que tu aimerais rester chez moi quelque temps ? Est-ce-que tu ne t’ennuies pas ici ? » Mon beau-père a répondu : « M’ennuyer ? Pas du tout. Je ne veux pas aller chez toi. Je me sens très bien ici. Je vais m’ennuyer chez toi. » Après avoir écouté leur conversation, je me suis sentie un peu soulagée. C’était sa reconnaissance envers une pratiquante de Dafa.


5. « Ma soeur, je t’écoute »

Je travaille dans la restauration. En tant que pratiquante de Dafa, je sais que je dois faire ce que le Maître nous demande de faire, « En toutes circonstances, nous devons être bons et bienveillants envers les autres. » De nos jours, les commerçants font du commerce sans aucune éthique. Ils utilisent de l’huile souillée et du porc contaminé. Tout le monde est préoccupé par la nourriture empoisonnée. Nous devons rectifier ce qui n’est pas droit. Un pratiquant de Dafa doit tout faire selon les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance.


Je ne garantis pas que toute la nourriture que j’utilise est pure (par exemple des fertilisants sont utilisés pour faire pousser les légumes et la viande contient des produits chimiques), mais je peux garantir que la nourriture provient de fournisseurs d’origine contrôlée. La nourriture traitée, je la lave soigneusement et je la stérilise. Je traite mes clients avec compassion et gentillesse. Je fais du commerce honnêtement.


Quand mes clients passaient leurs commandes, je leur faisais de bonnes suggestions selon leurs points de vue. Je leur demandais de m’indiquer combien de bouteilles ils avaient bues. Si je trouvais qu’ils indiquaient plus de bouteilles que le nombre de bouteilles bues en réalité, je le notais et le déduisais de la prochaine commande. Parfois je trouvais des billets de dix yuans, vingt yuans, et même de plusieurs centaines de yuans après leur passage. Je le notais aussi et je remettais l’argent aux clients la fois suivante.


Mon amie qui ne pratique pas ne comprenait pas et me disait qu’il n’y avait aucune marque sur les billets et que je pouvais les garder pour mon usage personnel. Je lui ai dit que l’on perd de la vertu en prenant les choses qui appartiennent à autrui. Le cœur des gens pouvait ressentir ma gentillesse. Beaucoup de clients disaient qu’ils se sentaient chez moi quand ils venaient dans mon magasin. Un jour, un client qui aimait se bagarrer avec les autres et que les gens appelaient « riffraff » m'a dit : « Ma sœur, je t’écoute. » Il reconnaissait ma droiture. Le Maître nous demande d’être bon où que nous soyons.


Traduit de l'anglais en Europe