(Minghui.org) En octobre dernier, je me suis jointe à un projet de collecte de signatures d'une pétition intitulée « Arrêtez les prélèvements forcés d'organes sur les pratiquants de Falun Gong en Chine. »
Le 9 octobre, je suis allée à Leeds avec d'autres pratiquants pour collecter des signatures. Parmi nous se trouvaient trois pratiquants pouvant parler anglais. Je ne parle pas anglais, aussi lorsque je distribuais des dépliants, je demandais souvent aux pratiquants occidentaux de parler aux gens que je pensais susceptibles de signer la pétition. J'ai pu collecter quelques signatures, mais je pensais que je pouvais faire mieux. Les trois pratiquants parlant anglais étaient très occupés et quand ils parlaient à quelqu'un d'autre, les gens souvent ne voulaient pas attendre et partaient.
Par la suite, j'ai soudain compris que bien que ne parlant pas l'anglais, tout était bien écrit sur les formulaires. L'information provient de DAFOH (Médecins contre les prélèvements forcés d'organes) et est très claire. Aussi, j'ai pensé : « Je vais collecter des signatures face à face avec ma pétition. »
I. Récolter des signatures face à face
Trois jours plus tard, un autre compagnon de pratique et moi sommes allés collecter des signatures dans la rue face à un supermarché chinois. J'avais des dépliants sur les prélèvements d'organes et une pétition et je demandais aux gens de signer. En quatre heures, 100 personnes anglaises ont signé la pétition. Ce jour-là, j'ai gagné en confiance et depuis, j'ai pu faire cela toute seule.
Nos pratiquants locaux sortaient habituellement deux à trois fois par semaine pour présenter le Falun Gong et clarifier les faits de la persécution. Durant ces moments-là, je collectais des signatures. Pendant les autres jours, je sortais aussi par moi-même pour collecter des signatures. Je choisissais habituellement d'aller dans des lieux où il y avait beaucoup de monde, comme les arrêts de bus, les places, les parcs, les rues principales, etc. Quand il pleuvait, j'allais dans les boutiques collecter des signatures. Je parlais aussi aux gérants des magasins quand ils n'étaient pas trop occupés et je leur montrais la pétition. Dans de nombreux cas, ils comprenaient ce que je faisais et les clients signaient également. La famille, les voisins, les amis, les livreurs et les facteurs, tous signaient la pétition.
En avril 2013, David Kilgour et son équipe sont allés au Parlement britannique afin de clarifier les faits à propos des prélèvements d'organes à vif. Pour soutenir cet événement, les pratiquants britanniques ont recommencé à collecter des signatures. En plus de participer aux activités de groupe de collecte des signatures, je travaillais aussi par moi-même les autres jours et continuais à collecter autant de signatures que possible.
En juin 2013, DAFOH (Médecins contre les prélèvements forcés d'organes) a lancé un appel à une collecte de signatures pour les Nations Unies. Les pratiquants de Leeds ont commencé le 26 juin 2013. Nous avions deux formulaires de pétition, un pour les Nations Unies et l'autre pour le Parlement britannique et nous demandions aux gens de signer les deux parce qu'elles étaient d'importance égale.
Si une personne ne comprenait pas bien les faits de la persécution, je lui montrais le dépliant. S'il y avait plusieurs personnes, je donnais les pétitions et les dépliants aux différentes personnes, de façon à ce que tout le monde se concentre sur la lecture des faits. Une fois, dix personnes sont arrivées en même temps et leur clarifier les faits à tous a été très efficace. Si les personnes étaient chinoises, je les encourageais à démissionner du Parti communiste chinois.
Les gens qui avaient déjà compris les faits devenaient des médias vivants pour nous. Dans le quartier chinois de Manchester, un jeune homme qui était en skateboard a signé et son ami a aussi compris les faits. Ils ont crié et appelé plus de dix de leurs amis pour signer la pétition. Un homme d'affaires a également signé, puis il m'a aidée à en informer d'autres. À une station de bus longue distance de Leeds, un chauffeur a signé et m'a remerciée. Puis, un autre chauffeur a agité la tête et n'a pas voulu signer. Le premier chauffeur lui a alors expliqué la situation et il a signé. Les gens qui attendaient le bus ont tous entendu et vu ce qui se passait et cela leur a pris encore moins de temps pour signer. Six chauffeurs ont signé. À Leeds, une jeune mère a appris les faits de la persécution et a signé et elle a aussi aidé sa fille de 5 ans à signer. J'en ai été touchée.
II. Une carte colorée pour la collecte de signatures
Afin de sauver plus efficacement les gens, j'ai fabriqué une petite carte. J'ai collé du papier rose sur la carte et j'ai écrit : « Votre signature peut sauver une vie. »
Quand une personne ne voulait toujours pas signer même après avoir lu le dépliant, je sortais alors la carte, je la lui montrais et je lisais le contenu à voix haute. Bien souvent, la personne était alors très heureuse de la signer. J'aime bien utiliser la carte plutôt que de parler parfois car je suis inquiet que certains ne puissent pas me comprendre. Parfois, quand une personne a signé la première pétition, mais hésite à signer la seconde, je sors la carte et je la leur lis. Ceci renforce les pensées bienveillantes de la personne et elle signe alors la seconde pétition.
Un compagnon de pratique a parlé de la petite carte à une pratiquante américaine. Cette dernière a fabriqué un grand panneau et a écrit : « Arrêter les prélèvements d'organes sur les pratiquants de Falun Gong. » Elle portait son panneau autour du cou tout en collectant les signatures. L'effet était très bon car quand les gens la voyaient et ils faisaient parfois la file pour signer.
Quand les gens signent, l'atmosphère est très joyeuse. Certains Anglais me demandent de leur apprendre quelques phrases simples en chinois. Je leur apprends comment dire « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »
Nous devons avoir l'esprit de sauver urgemment les gens quand nous sortons pour collecter des signatures. Afin de sauver davantage de gens, chaque jour j'étudie le Fa avec attention, je pratique les exercices et j'émets la pensée droite. Avant de sortir, je me fixe toujours un but concernant le nombre de signatures que je collecterai ce jour-là. Je ne rentre à la maison que lorsque j'ai atteint mon objectif. Quand les gens lisent le dépliant, j'émets toujours la pensée droite vers eux afin qu'ils ne manquent pas cette précieuse opportunité.
Quand nous tenons des activités, nous pouvons aussi poser le cahier de signature sur une table et beaucoup de gens viennent signer. Cependant, parce que ce n'est pas toujours évident, beaucoup de gens passent devant sans même le remarquer. Mais s'il y a aussi un pratiquant qui tient à la main un cahier de signatures, alors tous les êtres auront une meilleure opportunité d'être sauvés.
III. Appeler davantage de pratiquants à collecter des signatures
Les êtres divins ont de la compassion et de la sagesse. En cette période spéciale, ils emploient toutes sortes de moyens pour sauver les gens. Quand les gens comprennent les faits et signent avec leur conscience et leur bonté, ils ne vont pas forcément comprendre qu'ils peuvent être sauvés pour cette raison. En tant que pratiquants de Dafa, nous marchons sur le chemin de la divinité. Clarifier les faits et sauver les êtres sont notre responsabilité et notre mission. Le Maître nous a dit plusieurs fois que nous devons sauver plus de gens et que le temps avance rapidement ! En tant que pratiquants nous devons écouter le Maître et sauver plus de gens. Tous les êtres attendent impatiemment d'être sauvés.
Je me suis éveillée au fait que récolter des signatures pour DAFOH est une autre occasion pour les pratiquants de sauver plus de gens. De plus, si nous remettons un million de signatures aux Nations Unies, l'effet sera évidemment meilleur que si nous en remettons 100 000. Si les pratiquants de tous les pays peuvent attacher une plus grande importance à cela, l'effet sera alors certainement énorme.
Compagnons de pratique, prenez les formulaires de pétition chaque jour avec vous. Quand nous prenons le bus, marchons dans la rue, allons à l'école ou au travail, allons faire nos courses, nous allons toujours rencontrer des gens à sauver.
Le Maître nous a enseigné :
« Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour clarifier la vérité, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour apporter le salut aux gens de ce monde." (« Rationalité », Points essentiels pour un avancement assidu II)
Compagnons de pratique, il ne reste vraiment plus beaucoup de temps. Utilisons la sagesse que le Maître nous a donnée, et sauvons plus de gens !
Ceci est juste ma compréhension personnelle. Veuillez signaler avec bonté toute chose inappropriée.
Merci Maître. Merci compagnons de pratique !
Traduit de l'anglais en Europe
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