Fahui de Minghui | Une pratiquante de 72 ans raconte des expériences merveilleuses dans sa pratique du Falun Dafa

(Minghui.org) Au cours de mes 18 années de cultivation, j'ai eu beaucoup trop de merveilleuses expériences pour les raconter toutes, mais j'aimerais en partager quelques-unes.

Ma vie a pris un nouveau sens après j'aie commencé à pratiquer le Falun Dafa

Le 4 octobre 1995 a été le jour le plus important de ma vie. En ce jour fatidique, j'étais allée à un parc comme d'habitude pour la pratique des exercices du matin et j'ai remarqué un groupe de personnes pratiquant la méditation. Après que j'aie appris que c'était le Falun Gong, j'ai eu le désir de l'essayer tout de suite. Un des pratiquants m'a prêté avec bienveillance une copie du Zhuan Falun, et j'ai lu sans arrêt toute la journée. Je me disais : « Quel grand livre ! »

Trois jours après avoir visionné la vidéo des exercices enseignés par le Maître, j'ai soudain eu un terrible mal de tête et je me suis inquiétée comment j'allais rentrer à la maison. À ma grande surprise, la douleur a soudain disparu aussi vite qu'elle était apparue, et je me suis sentie très légère partout. Tout en roulant sur mon vélo vers la maison, c'était comme si le vent me poussait en avant. Quand je suis rentrée chez moi, j'ai vu des petits Falun blancs tournant sur l'écran du téléviseur.

En lisant le Zhuan Falun et visionnant la vidéo des enseignements du Fa du Maître, j'ai estimé que j'avais été sauvée de l'enfer. Pendant de nombreuses années, j'avais été tourmentée par de nombreux malaises, dont un problème cardiaque, une hernie discale et de l'hypertension artérielle. Je m'évanouissais souvent en marchant. Quand on m'a diagnostiqué un problème d'estomac, mon fils a pleuré. Il m'a dit plus tard que c'était un cancer de l'estomac.

Mon mari est devenu paralysé quand notre fils avait trois ans, et j'en ai pris soin pendant plus de 20 ans, jusqu'à son décès en 1994. J'ai également pris soin de ma mère handicapée jusqu'à sa mort en 1989. J'ai fait tellement de nombreux trajets à l'hôpital que beaucoup de médecins me connaissaient bien. Mes quatre frères faisaient leur possible pour m'éviter car ils ne voulaient pas s'impliquer dans les difficultés financières de ma famille.

Après que j'aie commencé ma cultivation, j'ai vu pourquoi j'avais eu tant de difficultés dans ma vie. Dafa a donné un nouveau sens à ma vie.

Ce que j'ai vu avec mon œil céleste

Quand j'ai commencé à essayer de faire les exercices, le Fashen du Maître est venu me montrer et m'enseigner tous les mouvements.

Sur le chemin du retour des exercices en groupe, j'ai vu un jour un bouddha géant avec les jambes croisées en face de moi. Je l'ai reconnu comme étant le Maître. Fait intéressant, le Maître semblait être vraiment proche, mais je ne pouvais tout simplement pas l'approcher. Puis j'ai traversé un pont et tout à coup je me suis sentie très lourde. Quand j'ai regardé autour de moi, j'ai vu des choses qui m'étaient familières, alors je me suis rendu compte que je venais de rentrer dans le monde humain.

Une autre fois, sur mon chemin vers le site des exercices en groupe, un grand bateau de jade blanc est apparu devant mes yeux. Beaucoup de divinités vêtues de blanc étaient assises sur le bateau et je pouvais voir clairement leurs visages. Le bateau semblait voguer lentement, mais je ne pouvais pas le rattraper.

Au début de ma cultivation, mon esprit principal sortait de mon corps chaque fois que je m'assoyais pour méditer. Une fois il est passé sous la couche de glace qui recouvrait un lac gelé et j'ai réalisé que la surface de la glace n'était pas aussi lisse qu'elle paraissait. Il y avait beaucoup de pointes aiguës et il m'a fallu les contourner. J'ai vu les poissons nager à côté de moi et tout à coup j'ai senti que c'était vraiment froid. J'ai pensé que je devais sortir, alors mon esprit principal est bientôt retourné dans mon corps.

Une autre fois, pendant la méditation, j'ai vu une créature dont la partie supérieure du corps ressemblait à un poisson et le bas du corps avait l'air humain. L'une de ces créatures a sauté si haut que sa tête a presque touché la surface plane sur laquelle nous étions assis pour la médiation. Sa forme humaine du bas du corps était si longue qu'elle se prolongeait sur plusieurs dizaines de mètres.

Il y a eu aussi un moment où j'ai vu tous les disciples de Dafa au sein de notre groupe d'exercices sauter dans un lac et en sortir comme des moines la tête rasée.

Normalement, quand je faisais la méditation, il y avait quatre divinités qui montaient la garde. Deux d'entre elles tenaient des couteaux avec de longues poignées et les deux autres avaient de longues lances. Elles se tenaient solennellement à mes côtés. Une fois, un crocodile a tenté de m'attaquer et une des divinités tenant un couteau l'a haché en morceaux. En fait, ces quatre divinités apparaissent encore parfois. Chaque fois que je les vois, je souris.

Quand le Maître a publié « Instructions explicites » (Points essentiels pour un avancement diligent), mon esprit principal ne sortait plus si facilement par hasard de mon corps.

Environ un mois après que j'aie commencé à cultiver, je suis soudain restée figée après avoir terminé les exercices. J'ai réussi à me relever, mais un côté de mon corps était encore raide. Certaines personnes semblaient nerveuses à mon sujet alors que d'autres se moquaient de moi. J'ai dit : « Ne me taquinez pas. Je vous rattraperai quand j'aurai traversé le pont. » Il y avait un pont à environ dix mètres devant nous et en effet, après avoir traversé le pont j'allais tout à fait bien.

Un jour, tout en faisant la méditation sur le site des exercices en groupe, le Maître est passé près de moi et m'a demandé combien de temps je pouvais m'asseoir avec les jambes croisées. Le champ d'énergie du Maître était si fort qu'il m'a figée. À cette époque, le Maître était sur le point de se rendre à Atlanta aux États-Unis et plusieurs assistants de Dafa l'accompagnaient pour visiter notre site d'exercices. Ce n'est pas ce que j'ai vu dans d'autres dimensions, mais quelque chose qui a vraiment eu lieu.

Clarifier les faits sans crainte

J'étais très attristée en juillet 1999 quand le Parti communiste chinois a commencé à bombarder le public avec des mensonges fabriqués au sujet du Maître, à la télévision, à la radio et dans les journaux.

Un jour, en 2000, alors que je méditais, j'ai vu que le Maître était assis sur une montagne les jambes croisées et mon instinct m'a dit que c'était réel. Je suis allée chez une compagne de pratique et lui ai demandé de se connecter pour vérifier. Quand elle a allumé son ordinateur, nous avons vu la photo du Maître sur Minghui où il regardait tranquillement le monde au milieu des montagnes après avoir quitté New York suite au 20 juillet 1999.

J'ai pleuré pendant plus d'une heure après avoir vu la photo. Lorsque je me suis calmée, je savais que je devais faire savoir aux gens ce qu'était vraiment le Falun Gong et pourquoi le PCC persécutait cette merveilleuse pratique.

Depuis 2000, j'ai distribué de nombreuses copies de documents clarifiant la vérité, une moyenne de 100 à 200 exemplaires chaque semaine. Le Maître a enduré beaucoup pour les gens du monde et nous devons travailler dur pour mériter le titre de disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa.

Pour la plupart des documents, je les ai remis personnellement. Je n'avais pas peur et en général, je disais à tout le monde que je rencontrais que les documents pouvaient leur sauver la vie. J'ai croisé toutes sortes de gens. Certains étaient très justes et m'ont demandé de les aider à démissionner immédiatement du PCC.

Quand des gens m'injuriaient ou essayaient de m'empêcher de distribuer les documents, je n'étais pas touchée du tout et j'allais tout simplement de l'avant quant à ce que je voulais faire. Un jour, une voiture s'est arrêtée à côté de moi et le conducteur a menacé de m'emmener au poste de police. J'ai demandé s'il était toujours une bonne personne et il est parti sans faire davantage de bruit.

Bien que certains des policiers en civil m'aient suivie partout à partir de 2000, je n'avais pas peur du tout et je clarifiais les faits tout simplement, comme d'habitude. Un jour, après avoir parlé à quelqu'un, un policier en civil est allé lui dire qu'ils me surveillaient de près.

Cette personne était très gentille et m'a rattrapée pour me prévenir que quelqu'un me suivait. Je lui ai dit que je n'avais pas de soucis.

Un autre jour, un policier m'a suivie avec une voiture de police, alors j'ai décidé de m'arrêter et de lui parler. Quand il m'a vue venir vers lui, il s'est caché dans la voiture.

La police locale a cessé de me filer en 2005.

Les gens qui ont accepté des documents clarifiant la vérité de ma part étaient tous préoccupés pour ma sécurité, mais je n'ai pas été dissuadée, car à chaque fois pendant la méditation, je voyais les quatre divinités mentionnées plus haut me protégeant. Les gens ordinaires ne pouvaient pas les voir, mais je savais qu'elles étaient toujours là. De plus, j'ai le Maître qui me protège.

Un jour alors que je faisais une sieste vers midi, je me suis soudain trouvée, moi-même, être tombée dans l'eau. À aucun moment, l'eau n'a dépassé ma taille et mon sac contenant des documents clarifiant la vérité était toujours sur la rive. J'ai crié : « Maître, aidez-moi s'il vous plaît ! » et bientôt, je me suis vue sortir de l'eau.

J'ai couvert la plupart des districts de Pékin, dont Xuanwu, Chongwen et Chaoyang.

Le bien est récompensé, le mal est puni

Au cours de toutes ces années de cultivation, j'ai vu des gens bénis pour avoir soutenu Dafa et punis pour avoir commis des péchés contre Dafa.

J'ai été arrêtée au début de 2000 et j'ai passé le Nouvel An chinois dans un centre de détention local. La durée initiale de ma peine était de 30 jours, mais un policier m'a détenue pendant dix jours de plus. Peu de temps après, on a diagnostiqué à sa femme un cancer.

Autour de 2006, une connaissance a remis au poste de police local les documents clarifiant la vérité que je lui avais donnés. Trois policiers sont venus m'arrêter en se plaignant que je leur avais coûté leur bonus.

Au cours de mes dix jours de détention, mon fils est allé au poste de police tous les jours pour demander ma libération. Le délateur est mort un mois après que j'aie été libérée.

J'ai été bénie moi-même par ma cultivation dans Dafa. Ces dernières années, j'ai déménagé à plusieurs reprises, et chaque fois obtenant une plus grande maison. Maintenant, je vis seule dans une maison individuelle. Fait intéressant, peu importe où j'aie déménagé, j'ai toujours été en mesure d'entrer en contact avec les pratiquants locaux et d'obtenir des documents clarifiant la vérité à distribuer.

Après avoir été diplômé d'une école d'art dramatique, mon fils a essayé plusieurs emplois pour joindre les deux bouts. Plus tard, il a ouvert une société d'impression avec quelques partenaires et a fait beaucoup d'argent. Il a investi ses bénéfices dans le marché boursier et a gagné encore plus. Un ensemble de meubles qu'il a acheté pour 50 000 yuans a été apprécié à 2 millions de yuans. Bien que mon fils soit encore dans la poursuite des intérêts matériels, ses pensées au sujet de Dafa sont très droites.

Il est vrai que « Quand une personne obtient le Fa, toute la famille en bénéficiera. » (« Enseignement du Fa et réponse aux questions à Jinan », Zhuan Falun Fajie – le Fa du Zhuan Falun expliquée)

Dafa nous apporte des bénédictions après que nous abandonnons les attachements humains. Bien sûr, à ce moment là, nous ne sommes plus obsédés par les intérêts matériels.

Briser le karma de maladie avec un éveil droit

J'ai bien réussi à briser le karma de maladie. Parfois quand j'ai mal à la poitrine, je me rappelle toujours de demander l'aide du Maître. La douleur disparaît en très peu de temps.

Le 19 janvier 2013, j'ai soudainement eu des frissons partout et bientôt je me suis évanouie. Quand je suis revenue de mon évanouissement, j'avais une forte douleur dans la poitrine, j'ai découvert que je ne pouvais plus bouger du tout.

J'ai demandé au Maître de bien vouloir m'aider et j'ai vu le Maître venir vers moi. Je suis devenue lucide et j'ai réalisé que j'étais en mesure de bouger mes doigts et mes orteils. J'ai dit au Maître que je voulais m'asseoir et j'ai vraiment réussi à le faire.

J'ai croisé les jambes pour méditer, mais j'ai senti une forte douleur dans mon dos et j'ai découvert que des cloques couvraient tout le bas de mon corps. Certaines des cloques avaient déjà éclaté et suintaient un liquide jaunâtre.

J'ai pensé à appeler mon fils mais j'ai réalisé qu'il était hors de la ville et ne pouvait pas revenir tout de suite. Toute la nuit, j'ai demandé au Maître de m'aider s'il vous plaît.

J'ai appelé une pratiquante à 8 heures le lendemain matin. Elle n'a pas tardé à venir m'aider à émettre la pensée droite. Après avoir pris une douche, les cloques du côté droit de mon corps n'étaient plus aussi collantes.

Je me suis rappelée les enseignements du Maître :

« ...c’est difficile à endurer, endurez-le quand même; lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c’est difficile à faire, essayez donc pour voir si c’est vraiment impossible » (Zuan Falun)

« Quelque soit l’importance des événements qui vont se produire, faites comme si de rien n’était, faites ce qu’un disciple de Dafa doit faire habituellement, voilà le chemin que vous devez emprunter aujourd’hui, c’est ça la vertu majestueuse que vous laissez. » (Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi à Washington D.C. 2004)

Bientôt j'ai été capable de me déplacer et j'ai pensé que je ne devais pas m'arrêter de clarifier les faits. J'ai donc pris le bus comme d'habitude pour sortir et distribuer des documents clarifiant la vérité. J'étais super énergique en parlant aux gens, mais assoupie du moment que j'avais terminé. Comment retourner à la maison quand j'avais perdu toute mon énergie ? Miraculeusement, un taxi tricycle s'est arrêté juste devant moi et m'a reconduite à la maison.

J'ai fait les trois choses comme d'habitude, mais je me suis inquiétée quand mes cloques n'avaient pas disparu après plusieurs jours. Mon côté humain a pris le dessus et j'ai bu beaucoup de soupe de haricots verts dans l'espoir de diminuer les symptômes. Cependant, mon état s'est aggravé et j'ai réalisé qu'en tant que pratiquante, je ne devais pas utiliser un état d'esprit humain pour traiter le karma de maladie.

Aider les compagnons de pratique à réussir l'épreuve du karma de maladie

Le karma de maladie est un test crucial pour les pratiquants âgés. Parfois, il semble vraiment que c'est une épreuve de la vie et de la mort. Beaucoup de pratiquants autour de moi ont eu des expériences similaires à la mienne.

L'avant-dernière année, une pratiquante de 68 ans m'a appelée pour de l'aide. Quand je suis arrivée à son domicile, elle m'a serrée et criait. J'ai vu que la peau autour de sa taille suppurait et était couverte de cloques remplies de pus.

Je lui ai souri et dit : « C'est une bonne chose. Si tu veux élever ton niveau, tu dois étudier le Fa et pratiquer les exercices davantage. Tant que tu fais bien les trois choses, tu vas passer ce test rapidement. »

Elle a écouté mon conseil et a bientôt guéri.

Une pratiquante de 78 ans, à l'extérieur de la ville, voulait que je lui rende visite. Quand je l'ai vue, sa belle-fille lavait son pantalon souillé. Elle m'a dit qu'elle avait souffert de vomissements et de diarrhée toute la semaine. Elle ne pouvait rien digérer et n'avait pas d'énergie pour faire des documents clarifiant les faits.

J'ai émis la pensée droite pour elle et lui ai demandé de sortir du lit. Elle a hésité, mais je l'ai invitée à faire ce qu'elle devait faire. Elle a réussi à s'asseoir sur une chaise. Quand elle m'a demandé si j'avais besoin de plus de documents, je lui ai dit que bien sûr. Je lui ai également demandé de livrer une certaine quantité de documents à un certain endroit le lendemain.

Comme je m'y attendais, elle n'a eu aucun problème à distribuer les documents demandés le lendemain.

Une troisième pratiquante avait également 78 ans. Quand elle m'a appelée l'an dernier, ses premiers mots étaient : « Je vais mourir et je veux te dire adieu. »

Le Maître a bu tout un bol de poison afin de sauver la vie d'un être, mais elle ne pouvait pas supporter ses souffrances insignifiantes. Comme mon téléphone pouvait bien être sous écoute, je n'ai pas tout précisé explicitement. Mais quand je lui ai demandé si elle connaissait le goût de tout un bol de poison, elle a compris tout de suite et a cessé de se plaindre. J'ai émis la pensée droite pour elle toute une nuit. Lorsque j'ai pris le bus le lendemain matin pour aller la voir, elle m'a souri. Elle était vite revenue à la normale.

J'ai 72 ans mais je bouge comme une jeune personne. Je remercie le Maître de m'avoir sauvée.

Mes respects les plus profonds et ma reconnaissance envers notre vénérable Maître !

(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada