(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour chers compagnons de pratique !
Il y avait longtemps que je n’avais pas écrit un article de partage d’expérience de cultivation. À chaque fois qu’on me demandait d’en écrire un, je déclinais, prétextant que je ne m’étais pas bien cultivé. Je pensais être modeste et discret, et que je me cultivais tranquillement. Cependant, quand j’ai regardé plus en profondeur, j’ai réalisé que ma décision de ne pas écrire d’article était basée sur mes attachements. À un niveau plus superficiel, j’y ai vu mon attachement à la paresse, et à un niveau plus profond, j’ai réalisé que je n’osais pas sérieusement examiner ma cultivation. Quand j’ai finalement pris la plume, j’ai trouvé difficile de commencer à écrire.
J’ai cultivé pendant presque 20 ans avec une tête remplie de beaucoup de pensées, d’idées et d’expériences. J’ai réécrit cet article plusieurs fois avant de l’achever. Plusieurs fois, en m’asseyant pour continuer à écrire, je découvrais que ce que j’avais écrit la veille indiquait une mentalité de « se faire valoir », donc je le réécrivais. Quelques jours après quand je continuais d’écrire, je sentais que ce que j’avais écrit comportait des éléments donnant des leçons aux autres, alors je le réécrivais de nouveau.
Trouver finalement l’inspiration
J’ai pensé à abandonner durant le processus, car je trouvais très difficile de découvrir par où commencer. Mais j’avais promis à un compagnon de pratique que j’écrirais cet article, alors je ne pouvais pas revenir sur ma parole. J’ai été sous pression pendant une dizaine de jours, jusqu’à ce qu’un jour je sente venir l’inspiration après avoir fini d’aider au site de « Démission du Parti communiste chinois » dans le Chinatown.
C’était très calme quand je suis arrivé sur le site, peut-être parce qu’il avait plu toute la journée, ou parce que j’étais parti pendant une semaine. J’ai émis la pensée droite tout en distribuant des documents de clarification de la vérité et en encourageant les touristes de Chine à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.
Au début, très peu de personnes acceptaient mes documents, et ceux qui refusaient étaient très froids à mon égard. Certains me regardaient même avec de la haine dans leurs yeux. J’étais déjà habitué à de telles réactions négatives, et je me tenais là avec dignité et regardais chaque personne qui passait avec gentillesse et compassion, faisant appel du fond de mon cœur à leur côté conscient.
Peu importait comment ils me traitaient, je présentais toujours les documents de manière paisible et polie et je disais : « Bonjour, voici quelques informations que vous ne trouverez pas en Chine. » J’ai vite senti un changement dans l’environnement. Les gens ont commencé à accepter les documents et à me remercier. Même ceux qui refusaient me souriaient. Certains s’inclinaient aussi légèrement devant moi. Un sentiment d’honneur a rempli mon cœur et j’ai senti que je me fondais dans le Fa. Mon cœur était rempli de gratitude pour notre Maître vénérable.
J’ai senti mon corps devenir immensément grand, recouvrant entièrement le champ. J’ai réalisé que j’étais souvent dans un état similaire à celui que le Maître décrit :
« Simplement en restant impassibles vous serez capables de gérer toutes sortes de situations. » (« Enseignement de Fa à la Conférence dans le Midwest des États-Unis »)
J’ai senti que même si j’étais seul, je pouvais avoir un impact sur le champ tout entier du Chinatown.
Le pouvoir de la compassion
J’ai soudainement compris que c’était le pouvoir de la compassion ! J’ai aussi su ce que j’allais écrire comme partage. J’ai décidé de rendre compte au Maître et de partager avec mes compagnons de pratique mon expérience de clarification des faits aux gens en première ligne durant ces plus ou moins dix années passées, et comment je m’étais cultivé dans le processus d’être quelqu’un rempli d’attachements humains à quelqu’un plein de gentillesse et de compassion. J’ai abandonné la peur pour accomplir mon serment d’assister le Maître dans le salut apporté aux gens durant la rectification de Fa.
Je me souviens que le Maître parlait de « clarifier les faits et de sauver les êtres » dans chacun de ses enseignements dans les grandes conférences de Fa après que la persécution ait commencé.
Le Maître nous a enseigné :
« Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour clarifier la vérité, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour apporter le salut aux gens de ce monde, cela est justement pour un Éveillé d'établir sa Vertu majestueuse. » (« Rationalité » dans Points Essentiels pour un Avancement Diligent II)
Le Maître nous a également enseigné :
« Pour vous, chaque disciple de Dafa, la tâche de clarifier la vérité doit absolument être faite. Ce point-là je vous le dis encore une fois, tous ceux qui se défendent et ne sont jamais sortis ont tort. » (« Enseignement de la Loi lors de la conférence de Loi internationale à Washington, D.C. » dans Guider le voyage)
J’ai compris que « clarifier les faits et sauver les êtres » est ce que doit faire un disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa. Après avoir pleinement compris cela, j’ai commencé à parler aux gens du Falun Gong face-à-face, spécialement à ceux venant de Chine.
Après la publication des Neuf commentaires sur le Parti communiste, j’ai réalisé que le Maître avait poussé la rectification de Fa à une nouvelle étape, où nous devions sauver les gens en les encourageant à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Il était temps de dévoiler ce qu’est le PCC et de mettre fin à la persécution.
Abandonner la peur
J’ai réalisé que je devais tout d’abord abandonner la peur pour être capable d’aider les gens à comprendre le Falun Gong et la persécution sur la ligne de front. La peur est le plus grand obstacle, et empêche un pratiquant d’être diligent dans sa cultivation et d’assister le Maître en sauvant les gens. La peur peut avoir une multitude de facettes. La peur des épreuves (un attachement au confort), la peur du rejet ou de la violence verbale (un attachement à ne pas perdre la face), la peur de tomber nez-à-nez avec une connaissance (ne pas se cultiver de manière digne et noble), la peur de la police ou d’être incriminé, etc. J’ai véritablement compris qu’en tant que pratiquant, le vrai sens de la vie est de valider le Fa.
Je suis le gagne-pain de la famille et auparavant j’avais peur que s’il m’arrivait quelque chose, ma famille ait de gros problème. À travers l’étude du Fa, j’ai réalisé que je n’avais pas une compréhension claire sur les liens familiaux. J’ai compris de par l’étude du Fa que le bien-être de ma femme et de mes enfants ce n’était pas moi qui le décidait, mais c'était dû au karma qu’ils avaient accumulé au cours de leurs nombreuses vies passées. Leurs vies se dérouleront en accord avec le destin qui est déjà arrangé pour eux. Une fois que j’ai compris ce principe du Fa, j’ai eu l’impression de m’être débarrassé d’une épaisse carapace. Je n’étais plus alourdi par ces inquiétudes et je me suis senti encore plus paisible et en sécurité. J’ai également obtenu une plus profonde compréhension de ce que Maître a dit :
« […] sans la peur, les facteurs qui vous font peur n'existeraient plus. » (« Éliminer le dernier Attachement » dans Points Essentiels pour un Avancement Diligent II)
La peur, cependant, comme tout autre attachement, n’est pas quelque chose que quelqu’un peut abandonner complètement d’un seul coup. Elle peut réapparaître souvent et nous tester.
Une fois, en aidant lors de l’activité « Démission du PCC » dans le Chinatown, aussitôt arrivé sur les lieux, un jeune homme m’a demandé un exemplaire des documents disponibles. Je me sentais très bien et détendu, pensant que c’était un bon début pour commencer la journée. Juste à ce moment-là, le jeune homme a survolé le dépliant, m'a pointé le nez de son doigt et m’a dit avec de la haine dans les yeux : « La Chine est dans le chaos à cause de gens comme vous. » Il a continué à m’accuser. J’ai également répliqué avec insistance, et cinq ou six personnes se sont rassemblées pour nous regarder. J’ai pensé à ce moment-là que je ne devais pas le laisser avoir le dessus dans la conversation.
Mon attachement à la compétition révélé
Parce que j’avais maintenu un état d’esprit de compétition, la perversité a profité de la situation et l’a faite empirer. Il a dit : « Vous, restez là. Je vais appeler la police et vous faire arrêter. » Effectivement, il est allé chercher deux officiers de police qui étaient à environ sept ou huit mètres de là. J’ai immédiatement réalisé que je devais émettre la pensée droite pour l’empêcher lui et les policiers de commettre de mauvaises actions. J’ai également réalisé ma mentalité de compétition et mon attachement au fanatisme, et je les ai immédiatement éliminés.
J’ai émis de fortes pensées droites pour complètement nier toute persécution de la perversité, et j'ai demandé au Maître de me renforcer. Je me suis dit à moi-même clairement que je n’accepterais que les choses arrangées par le Maître, et j'ai fermement nié tout ce qui ne l’était pas. Même si j’avais encore des attachements et des pensées humaines, les forces anciennes ne pouvaient pas interférer avec moi, car je n’écoutais que le Maître.
J’ai également senti que je ne devais pas partir, parce que si je le faisais, j’aurais donné l’impression que les pratiquants sont en train de faire quelque chose de mal et qu’ils ont peur de la police. J’ai donc continué à émettre la pensée droite et à distribuer des documents. J’ai vu le jeune homme parler aux policiers qui étaient en train de me regarder. J’ai émis encore de plus fortes pensées droites tout en éliminant mes attachements et j'ai demandé au Maître de me renforcer. Un miracle s’est produit. Les deux policiers sont restés là où ils étaient comme si rien ne s’était passé et le jeune homme est parti avec de la colère sur le visage. Une crise potentielle a été dissoute. Les larmes me sont montées aux yeux et mon cœur était rempli de gratitude et d’un sentiment d’honneur. Le Maître a dit :
« En tant que disciple, à l’arrivée de l’épreuve démoniaque, si vous pouvez vraiment rester tranquille et inébranlable, ou laisser votre cœur se conformer aux différentes exigences des différents niveaux envers vous, cela suffira pour que vous passiez l’épreuve. » (« Dao Fa » dans Points Essentiels pour un Avancement Diligent)
Une autre fois, également dans le Chinatown, un homme d’âge moyen est venu me voir et m’a demandé ce qui s’était passé aussitôt après que j’eus clarifié les faits à trois jeunes Chinois, les ayant aidés à démissionner du PCC. Je lui ai donné quelques documents de « Démission du PCC » et lui ai dit que c’était des informations interdites en Chine. Il semblait intéressé et vouloir en savoir plus. Alors je lui ai raconté comment le PCC avait tué des gens dans chacun de ses mouvements politiques, et je lui ai parlé du prélèvement d’organes sur les pratiquants de Falun Gong de leur vivant, de la corruption du régime du PCC, de l’imminent démantèlement du PCC et que la Chine allait devenir un pays sans le PCC.
Il a écouté attentivement et à la fin il m’a demandé : « Ne voulez-vous pas retourner en Chine ? N’avez-vous pas peur ? » Je lui ai tapoté légèrement l’épaule et lui ai dit : « Mon ami, rappelez-vous ce principe, la perversité ne peut jamais l’emporter sur la vertu ! » Il m’a regardé un long moment avec respect avant de s’en aller.
Le pouvoir de la droiture
Ayant expérimenté test sur test, mes pensées sont devenues de plus en plus stables. Le pouvoir de la droiture m’a permis d’être sans peur et je peux même clarifier les faits à la police face-à-face. Je sais que quand mon esprit est rempli de pensées droites, les soi-disant dangers n’ont pas de raison d’exister.
Une fois, lorsque l’affaire des Îles Diaoyu était à son paroxysme, un pratiquant et moi sommes allés distribuer des documents et encourager les gens à démissionner du PCC. Ce soir-là, alors que nous étions sur le point de finir la distribution, un enquêteur qualifié est venu et a demandé à voir ma carte d’identité. Je lui ai demandé pourquoi et il m’a répondu qu’il avait le droit de réclamer l’identité de n’importe qui, et que si je refusais de coopérer nous devrions aller au poste de police.
Je lui ai demandé s’il savait pourquoi j’hésitais à lui montrer ma carte d’identité et lui ai dit que je pratiquais le Falun Gong. Il a dit qu’il avait entendu parler du Falun Gong. Alors je lui ai raconté que pendant des années, parce que les bienveillants pratiquants de Falun Gong avaient confiance dans la police, ils ont laissé ceux-ci copier les informations concernant leur identité, mais que plus tard beaucoup de pratiquants avaient été piégés et contraints de quitter Singapour.
Je lui ai alors demandé : « Pensez-vous que je puisse encore vous faire confiance ? » Il a dit qu’il appréciait ce que je ressentais, mais qu’il était simplement en train de faire son travail et me rendrait mes papiers après y avoir jeté un coup d’œil. Il m’a demandé de lui faire confiance. Voyant la sincérité dans ses yeux, j’ai su qu’il avait compris les faits et je lui ai montré ma carte d’identité. Il me l’a rendue après avoir écrit quelque chose sur un bout de papier. J’étais content pour lui, car je savais qu’il s’était bien positionné.
Abandonner l’attachement à la compétition et cultiver la tolérance
Parce que j’ai grandi dans un environnement plein de gens exceptionnels, j’ai développé une mentalité de compétition, je sentais que j’étais plus élevé et meilleur que les autres. Il y a quelques années de cela, je suis allé clarifier les faits à des ouvriers sur un site de construction. J’étais gentil et plaisant en surface, mais dès que je tombais sur des gens qui refusaient de m’écouter ou qui ne pouvaient pas faire la différence entre le PCC et la Chine, ou des gens qui me hurlaient dessus et étaient désagréables à mon égard, mes attachements humains resurgissaient.
Bien que je clarifiais les faits aux gens et raisonnais avec eux, parce que j’avais encore des attachements et de mauvaises substances en moi, ils pouvaient également les sentir. Résultat, non seulement j’échouais à les sauver, mais j’ai également pu les pousser du côté opposé, les rendant plus difficile à sauver plus tard. À chaque fois que de tels incidents se produisaient, je ressentais de profonds regrets d’avoir échoué à répondre aux attentes de Maître.
Je me suis décidé au fond de moi-même à abandonner mes attachements humains. Quelques jours plus tard, quand je suis allé clarifier les faits sur un site touristique, j’ai trouvé que le ton dans mes mots n’était plus criard, mais plein de gentillesse et d’intégrité. Les touristes et les guides n’étaient plus impatients et froids comme ils l’étaient auparavant. Au lieu de cela, ils étaient tous disposés à entendre les faits.
Très souvent, un bus chargé de touristes bruyants devenait calme aussitôt que je commençais à clarifier les faits. Ils écoutaient attentivement, et certains me souriaient tout en écoutant. Alors que je leur parlais gentiment du Falun Gong, ils obtenaient une compréhension plus claire au sujet de la pratique. Quand ils revenaient, beaucoup d’entre eux voulaient des documents de clarification de la vérité, et d’autres démissionnaient aussi du PCC et de ses organisations affiliées. Bien que certains continuaient de refuser de prendre les documents, ils semblaient plus amicaux qu’avant. Je leur ai dit : « Faites bon voyage ! Veuillez-vous souvenir de 'Falun Dafa Hao’. Soyez en sécurité et bénis. » Le changement chez moi a conduit à un changement chez les gens que je rencontrais. J’ai maintenant une plus profonde compréhension des paroles du Maître :
« Lorsque votre xinxing se sera élevé, votre corps connaîtra une grande transformation ; lorsque votre xinxing se sera élevé, la matière de votre corps se transformera, c’est sûr. » (Zhuan Falun)
Quand je maintiens un bon xinxing et un bon état d’esprit, je peux aider à sauver plus de personnes et ne me sens pas fatigué.
Maintenir un bon xinxing
Une fois dans le Chinatown, j’ai vu un vieil homme dans les 70 ans, qui aimait beaucoup chanter des chansons d’amour et souvent il les chantait dans un petit parc. Il utilisait du matériel audio professionnel et attirait beaucoup de monde. Un compagnon de pratique m’a dit aussitôt après mon arrivée : « Il est très bruyant. Les gens ne peuvent pas entendre ce que nous leur disons. Comment pouvons-nous les aider à démissionner du PCC ? C’ est vraiment une interférence. » J’ai dit à ce pratiquant : « Nous qui nous cultivons devrions regarder les choses sous un angle positif. N’a-t-il pas attiré beaucoup de gens ici ? Nous pouvons en sauver plus. » De plus en plus de personnes s’attroupaient.
Un peu plus tard, un jeune homme est arrivé, et quand il a vu les titres sur les documents il les a repoussés et a dit : « Qu’est-ce que c’est que ça ! » J’étais choqué par son comportement et j'ai tenté de l’arrêter. Il a refusé d’écouter, s’est saisi des documents et les a lancés en l’air. J’ai pensé, je suis un pratiquant et rien n’est accidentel. Je suis resté calme et j'ai maintenu mon xinxing. Je l’ai arrêté calmement. Mais il a repoussé mes mains et est devenu encore plus agressif.
Le vieil homme qui était en train de chanter n’a pas pu supporter plus longtemps le comportement de ce jeune homme, et lui a demandé en utilisant son micro : « De quelle nationalité êtes-vous ? » Le jeune homme a répondu : « Chinois. » Le vieil homme s’est mis en colère et a dit : « Vous êtes chinois et vous venez ici pour nous malmener nous des Singapouriens, hein ?! » De nombreuses personnes étaient en train d’aider à ramasser les documents qui étaient par terre, et beaucoup en demandaient un exemplaire pour voir ce qui y était rapporté.
Certaines personnes m’ont également demandé avec sympathie : « Pourquoi ne l’avez-vous pas frappé ? Comment pouvez-vous prendre cela comme ça ? » J’ai répondu : « Le jeune homme a eu le cerveau lavé par les mensonges du PCC. Une fois qu’il apprendra la vérité il ne se comportera plus de cette façon. Nous pratiquants, nous travaillons notre tolérance et nous devons être magnanimes. » J’ai plus tard demandé à un compagnon de pratique de venir avec moi pour aller remercier le vieil homme pour son action droite. Je lui ai dit également que bien que je n’étais pas de Singapour, il y avait des Singapouriens parmi les gens qu’il avait aidé. J’ai senti à ce moment-là l’importance qu’il y avait pour les pratiquants de Dafa singapouriens de clarifier en première ligne les faits aux gens.
De bons outils pour clarifier la vérité
J’ai également réalisé l’importance d’avoir une bonne compréhension concernant les Neuf commentaires sur le Parti communiste en clarifiant bien les faits. Quand je montrais le DVD, je le visionnais toujours avec les ouvriers chinois. C’est ainsi que j’ai regardé les DVD plus d’une dizaine de fois et j’en connais bien le contenu. Ceci a posé une bonne base pour mon travail de clarification de la vérité et pour quand j’encourage les gens à démissionner des organisations du PCC.
Les documents avec des références tirées des Neuf commentaires sur le Parti communiste sont très populaires parmi les Chinois, et beaucoup les lisent, édition après édition. Certains m’ont même dit : « Assurez-vous de revenir, car c’est notre nourriture pour l’esprit. » Il y avait un tel jeune homme. Après lui avoir donné mon dernier exemplaire, un autre Chinois est venu et en a demandé un également. Je me suis excusé de ne plus en avoir. Le jeune homme a donné son exemplaire à cet homme en disant : « Vous pouvez avoir le mien. Vous en avez plus besoin que moi, parce que je connais déjà les faits. Vous devriez le lire. J’ai percé à jour le PCC et je suis très au clair sur ce qui ce passe. Merci pour ce document ! »
Il y avait un autre jeune homme, qui, à chaque fois qu’il me voyait, s’arrêtait et disait : « Vous autres vous êtes extraordinaires ! Vraiment extraordinaires ! » Je savais que le Maître nous encourageait au travers sa bouche à sauver davantage de gens. Je traitais très sérieusement les notions et questions pour lesquelles je ne pouvais pas fournir d’explications ou de réponses adéquates. Je les mémorisais, faisais des recherches et j’apprenais les informations et les connaissances correspondantes jusqu’à ce que je me sente satisfait de pouvoir répondre correctement aux objections en utilisant mes propres mots.
Je pense souvent à comment expliquer des principes profonds avec des mots simples pour obtenir les meilleurs résultats. J’ai trouvé qu’utiliser des métaphores était très efficace pour dénouer les nœuds dans le cœur des gens, donc souvent j’utilise des métaphores, et j’ai obtenu de bons résultats en aidant les gens à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.
Je sens d’immenses changements quand je clarifie les faits. De plus en plus de gens qui ont appris la vérité remercient les efforts de longue haleine des disciples de Dafa pour clarifier la vérité. Beaucoup de gens qui très tôt avaient démissionné des organisations du PCC nous ont amené leurs nouveaux amis et autres citoyens pour qu’ils démissionnent du PCC. Il y avait un homme qui travaillait pour un département de la propagande dans l’armée, et il s’est avéré qu’il avait un état d’esprit très sophistiqué. Il m’a écouté pendant environ une demi-heure et à la fin il a dit : « J’ai plus tiré profit d’une seule conversation avec vous que de dix ans de lecture. » Il a alors démissionné du PCC.
Les merveilles et le pouvoir de Dafa
Après qu’un chrétien ait appris les faits, il a dit : « Maintenant, je sais. Vous êtes des messagers envoyés par Dieu ! » J’ai également noté que les gens qui avaient appris les faits arboraient un teint frais et que leurs expressions et leurs manières avaient également changé pour le mieux. Je me sens très heureux pour eux.
Les plus de dix années de clarification de la vérité face-à-face ont effectivement été un processus de cultivation qui permet à quelqu’un d’abandonner ses divers attachements. Cela n’a pas été facile et sans heurt, et certaines situations ont été assez éprouvantes. Mais nous avons pu les dépasser avec la protection du Maître. J’ai réellement compris beaucoup des principes du Fa que le Maître nous a enseignés et j’ai véritablement senti que chaque mot que le Maître a dit est vrai. J’ai également fait l’expérience du merveilleux et de la puissance de Dafa.
J’ai clarifié les faits en plein air sans discontinuer pendant plus de dix ans. Très souvent, il pleuvait quand je sortais de chez moi, mais la pluie s’arrêtait quand j’arrivais sur le site de clarification de la vérité. Il y a eu aussi de nombreuses autres occasions où le ciel était couvert de nuages menaçants, mais l'averse ne commençait qu’après que nous ayons fini et soyons montés dans le bus. Il y a eu aussi d’autres fois où, quand tout autour de nous n’était que tonnerres et éclairs, avec des nuages noirs dans le ciel, il faisait beau sur notre site.
Je sais avec fermeté et suis clair dans mon cœur qu’aussi longtemps qu’un disciple de Dafa agit avec droiture, toutes les divinités dans l’univers l’aideront et qu’aucune interférence ne se manifestera. Quand quelqu’un comprend comment se cultiver, plus il se cultive plus heureux il devient.
Ce qui précède est mon expérience de cultivation à mon niveau actuel. Veuillez s’il vous plaît l’indiquer gentiment si quoi que ce soit est inappropriée.
Merci Maître ! Merci chers compagnons de pratique !
(Présenté à la Conférence de partages d’expériences de cultivation du Falun Dafa de Singapour 2013)
Traduit de l'anglais en Europe
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