(Minghui.org) Le 30 septembre 2013, j'ai été invitée par une amie de ma fille à aller visiter un site touristique avec sa mère. Je l'ai appelée « grande sœur » quand je l'ai rencontrée. Plus tard, j'ai découvert qu'elle était plus jeune que moi, mais les gens disaient que je paraissais avoir dix ans de moins qu'elle. Les amis de ma fille savent tous que je pratique le Falun Gong et pensent que tous les pratiquants paraissent jeunes. Pendant qu'ils me faisaient des compliments, j'ai compris que c'était une bonne occasion de leur parler du Falun Gong et de la persécution.
J'ai expliqué en détail à la mère combien de pays accueillent le Falun Gong et comment le régime de Jiang Zemin l'a persécuté et comment les pratiquants de Dafa s'opposent à la persécution. Elle a répondu : « J'ai été à Taïwan, à Singapour et en Malaisie. Les guides touristiques ne nous permettent pas de nous approcher des pratiquants de Falun Gong. Mais j'ai accepté leurs documents et je les ai lus. Maintenant que vous m'avez expliqué cela en détail, je sais que ce que les pratiquants ont dit est vrai. Seuls les pratiquants de Falun Gong osent dénoncer le Parti communiste chinois (PCC) et le Falun Gong est le plus droit. »
Alors que nous nous apprêtions à nous séparer, la mère m'a révélé sa véritable identité. Elle était membre du Comité permanent du comité cantonal et présidente du Congrès du peuple du canton. Elle m'a dit : « Nous sommes endoctrinés par le PCC et nous n'osons rien dire contre cela, ni dire la vérité que le Falun Gong est remarquable. »
Ma petite-fille
Écrit par une pratiquante de la province du Hunan
Ma petite-fille a 11 ans. Elle vient me voir avec sa mère une fois par semaine. Elle sait que je pratique le Falun Gong. Quand elle avait 7 ou 8 ans, elle me disait : « Grand-mère, arrête de pratiquer le Falun Gong. La mère de ma camarade de classe a été arrêtée par la police parce qu'elle pratiquait le Falun Gong. » Je lui ai demandé : « Sa mère est-elle une mauvaise personne ? » Elle a répondu non. J'ai saisi cette occasion pour lui expliquer dans un langage qu'elle pouvait comprendre, ce qu'est le Falun Gong, pourquoi la Chine n'autorise pas les gens à le pratiquer et pourquoi, alors que des millions de gens dans plus de cent pays du monde entier sont libres de le pratiquer, le PCC persécute le Falun Gong. Elle a hoché la tête : « Oh, c'est pour ça. Mais grand-mère, tu dois quand même être prudente. » Un jour, elle dormait et j'étais assise à côté d'elle pour lire l'enseignement du Maître à New York. Après s'être réveillée, elle m'a demandé ce que je lisais pendant qu'elle dormait. Je lui ai dit que je lisais les enseignements du Maître. Le Maître exige de nous que nous soyons de bonnes personnes en accord avec les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance et le Maître nous protège aussi. Je lui ai lu cela à voix haute :
« En fait, tant que tu cultives et pratiques, je suis là près de toi. Et tant que tu cultives et pratiques, je suis responsable envers toi jusqu'au bout. De plus, je veille sur toi à tout moment. » (« Enseignement de Fa à la conférence de Fa à New York » dans Enseignements de Fa dans les Conférences de Fa aux États-Unis)
J'ai vu des larmes dans ses yeux et lui ai demandé ce qui n'allait pas. Elle a répondu : « Je suis très touchée. » Elle m'a émue. Elle avait une très bonne qualité innée et était venue pour le Fa. Je lui ai appris à lire et réciter de courts poèmes de Hong Yin chaque fois qu'elle en avait le temps et elle a pu rapidement les mémoriser. Chaque fois qu'elle rencontrait des problèmes, je lui disais de faire les choses en accord avec les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance.
Un jour, un camarade de classe a dit qu'elle avait triché lors d'un examen parce qu'elle avait regardé sur sa feuille. Elle s'est sentie accusée à tort et est venue me voir en pleurant. Je lui ai demandé : « As-tu triché? » Elle a répondu que non. « Alors tu n'as rien fait de mal. Tant que tu fais ce qu'il faut faire, tu ne devrais pas t'occuper de ce que les autres disent et tu ne devrais pas les haïr non plus. » Quelques jours plus tard, je lui ai demandé si elle avait fait la paix avec lui. Elle a répondu : « Oui, il y a déjà longtemps. »
Parfois, elle voulait me demander comment faire ses devoirs mais elle ne m'interrompait pas et attendait en dehors de ma chambre jusqu'à ce que j'aie fini de pratiquer les exercices ou d'émettre la pensée droite.
Plusieurs fois, j'ai voulu lui montrer le DVD de Shen Yun Performing Arts, mais j'ai hésité et j'ai eu peur qu'elle refuse. J'ai pris conscience que c'était mon égoïsme et ma peur de perdre la face et mon autorité devant elle. En fait, c'était mon attachement à me valider moi-même. J'ai émis la pensée droite pour nettoyer cela. Je lui ai demandé : « Veux-tu regarder le DVD du spectacle de Shen Yun ? » Elle était très contente et a dit « Oui, oui ! » Elle a pris une chaise et s'est assise devant la télévision et l'a regardé du début à la fin. Elle a mis le DVD dans son sac avant de rentrer chez elle et m'a dit qu'elle allait l'emmener pour que son père le regarde.
Son père souffrait de rhinite allergique et son nez coulait et il éternuait tout le temps. J'ai essayé de le persuader de pratiquer le Falun Gong. Elle a aussi essayé de son mieux de l'aider et lui a dit : « Oui, essaie. Tu vas certainement guérir de tes maladies. »
Le parapluie
Écrit par un pratiquant de Chine
Le ciel était bleu quand je suis parti au travail, mais il s'est rempli de nuages lorsque j'étais dans le bus à la moitié du chemin. Ensuite le vent s'est levé et il a commencé à pleuvoir.
Je suis descendu du bus à mon arrêt et suis rentré dans une quincaillerie. Les vendeurs étaient deux jeunes gens. Le jeune homme m'a demandé : « Comment puis-je vous aider ? » J'ai pointé vers l'immeuble de l'autre côté de la rue et dit : « Je travaille là. » Il a répondu : « Votre directeur commercial vient souvent ici. Nous sommes très amis. Vous n'avez pas emporté votre parapluie aujourd'hui, n'est-ce pas ? » Il m'a tendu un parapluie et a dit : « Je vous en prie, prenez-le. Vous pourrez le ramener la prochaine fois que vous passerez. Mais ne vous inquiétez pas si vous n'avez pas le temps de revenir. Cela n'en vaut pas la peine. » Il était très sincère. J'ai donc ouvert le parapluie et suis sorti dans la rue.
À l'heure du déjeuner, la pluie s'était arrêtée et je suis retourné au magasin. Le jeune homme n'était pas là. La vendeuse m'a dit : « Mon frère est sorti faire une livraison. Vous pouvez me laisser le parapluie. » Je le lui ai donné et lui ai dit : « Merci beaucoup. Connaissez-vous les trois démissions ? » Elle a secoué la tête. J'ai commencé à lui expliquer l'importance de démissionner du PCC sous toutes ses formes pour préserver sa sécurité et qu'elle serait sauvée uniquement si elle croyait en Falun Dafa. Elle m'a écouté attentivement en hochant parfois la tête. Elle a démissionné du PCC avec un pseudonyme. Avant de partir, je lui ai demandé de répéter à son frère ce que j'avais dit. Elle a dit qu'elle le ferait.
J'ai vu le jeune homme sur son vélo de livraison en sortant, je lui ai donc clarifié la vérité. Il a dit : « Je vais souvent à Hong Kong. Je crois ce que vous dites, mais je n'ai pas encore fait les trois démissions. Pouvez-vous m'aider à démissionner du PCC ? » Je lui ai donc donné un pseudonyme et l'ai aidé à démissionner.
La pluie soudaine et la bonne action du jeune homme ont créé une occasion pour qu'ils entendent la vérité. C'est la responsabilité d'un disciple de Dafa de clarifier la vérité aux gens. Un parapluie a aidé ces deux frère et sœur à être sauvés par Dafa.
Traduit de l'anglais en Belgique
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