(Minghui.org) « Une image vaut mille mots. » Les images dans cet article sont un témoignage graphique de la persécution brutale du Falun Gong en Chine.
La campagne d'éradication du Falun Gong a été lancée par le Parti communiste chinois (PCC) en juillet 1999. Des traitements psychiatriques abusifs, des violences sexuelles, des tabassages sévères et des décharges électriques sont des méthodes de tortures utilisées communément contre les pratiquants du Falun Gong dans un effort de les obliger à renoncer à leurs convictions.
Les images sont publié en petite taille. On peut les agrandir en cliquant.
Injection de drogues inconnues
Afin de venir à bout de la détermination des pratiquants du Falun Gong, les agents du PCC leur injectent des drogues empoisonnées qui endommagent le système nerveux. Minghui.org a confirmé plus de 230 cas de décès des suites de tels abus.
Mme Song Huilan après avoir été torturée. Sa jambe est devenue noire et raide.
Des drogues inconnues ont été injectées à Mme Song Huilan (Son pied droit s'est infecté et est tombé.
Mme Song Huilan est une pratiquante de Falun Gong de la ferme Xinhua, ville de Hegong, province du Heilongjiang. En décembre 2010 elle a encore été arrêtée illégalement et incarcérée au centre de détention du canton de Tangyuan.
Le 23 février 2011, Yan Yong, directeur du centre de détention, et les gardiens Li, Mu, Jiang Jiwu et Yang Li l'ont poussée sur un lit, l'ont menottée et lui ont placé un cathéter intraveineux et lui ont injecté un flacon de drogues inconnues. Aussitôt, elle a été submergée de douleur. Elle roulait d'un côté à l'autre sans pouvoir dire un mot. Elle a ensuite perdu toute sensation en-dessous des genoux et tout son corps est devenu rigide.
Elle ne pouvait pas marcher, sa langue s'est raidie et son corps ne répondait plus. Elle était incontinente. Son temps de réaction s'est ralenti et sa mémoire ne fonctionnait plus. Dans la nuit du 28 février, elle a souffert de douleurs extrêmes dans la poitrine.
Le lendemain matin, le médecin de la prison, Zhang Jianhong, a regardé sa jambe droite en disant : « Cette jambe ne sert plus à rien maintenant ». À ce moment-là, sur la jambe droite de Mme Song il y avait une grosse ampoule violette. Elle a été renvoyée chez elle plus tard.
Tout son corps était raide, comme un morceau de bois et ses yeux ne se fixaient plus. Elle n'était plus capable de parler et ne réagissait à aucun stimulus. Le bas de sa jambe droite était nécrosé. Son pied et ses orteils étaient noirs et saignaient. Sa jambe était aussi dure que du métal et empirait de jour en jour, devenant encore plus dure et plus raide. Dès qu'elle bougeait la jambe, même seulement un peu, il en sortait du sang.
Mme Song souffrait de douleur extrême à chaque instant. Sa sœur aînée et sa fille se sont relayées pour la garder nuit et jour de peur qu'elle ne meure à tout instant. Le 25 mai 2011, son pied droit est tombé.
Viols et abus sexuels
Afin d'obliger les pratiquantes du Falun Gong à renoncer à leur conviction, le PCC a fait usage des moyens les plus bas et inhumains, y compris le viol et les abus sexuels, ce qui a causé le décès et des problèmes psychiques à de nombreuses pratiquantes.
Un jeune policier viole des femmes d'âge mur.
Après avoir été battue sévèrement, Liu Jizhi portait des ecchymoses noirs sur tout le corps.
Mme Liu Jizhi, 52 ans, pratiquante du Falun Gong est originaire du Village de Xituan, Faubourg de Dongchengfang, ville de Zhuozhou, province du Hebei. Lors d'une soirée en 2005, la police locale l'a arrêté ainsi que quatre autres pratiquantes et les ont emmenées au poste de police local.
Quand la police a battu Mme Liu très fort avec des matraques en caoutchouc elle est tombé à terre. Le policier He Xuejian, 21 ans l'a remonté et a continué à la frapper. Il lui a ensuite pincé et saisi ses seins.
Le lendemain, il a traîné Mme Liu jusqu'à son dortoir où il l'a battue avec une matraque en caoutchouc. Pour s'amuser il lui a fait des décharges électriques sur le bout de ses seins. Elle était contusionnée partout. Il a poussé ensuite Mme Liu sur son lit et a enlevé son pantalon.
Il a violé Mme Liu qui est plus âgée que sa mère. Un autre policier, Wang Zengjun qui était dans la pièce n'a rien fait pour l'arrêter, il est resté simplement sur son lit à regarder avec indifférence. Une demi-heure après, He Xuejian a traîné Mme Han Yuzhi, âgée de 42 ans jusqu'à sa chambre et il l'a violée aussi.
Quand l'incident a été rapporté sur le site Minghui, Mme Liu et sa fille ont dû quitter leur domicile afin d'éviter une vengeance. Le Département de la police du Hebei a offert 100 000 yuan pour retrouver Mme Liu. Ils ont envoyé plus d'une douzaine de voitures de police pour l'arrêter, elle et sa fille, quand ils ont appris qu'elles se trouvaient dans le quartier résidentiel des forces aériennes de Pékin.
Dès que les policiers ont quitté le quartier résidentiel où elle et sa fille faisaient des petits travaux à la blanchisserie, ils ont changé les plaques d'immatriculation des véhicules et les ont emmenés à l'hôtel Xishan à Mancheng, province du Hebei. Ils avait projeté de tuer la mère et la fille mais heureusement le projet à été révélé à temps et cela ne s'est pas produit.
Comme l'incident a été la cible d'énormément de pression de la part du public , le PCC a condamné He Xuejian à huit ans de prison.
Coups et viol en public
Le 14 mai 2001 après 21h, Mme Wang Ping (pseudonyme) de la ville de Langfang dans le province du Hebei a été arrêtée par une patrouille de police alors qu'elle affichait des dépliants dans la région de Yonganli à Pékin.
L'agent de police lui a touché ses parties intimes en la fouillant. Quand Mme Wang lui a dit d'arrêter, il l'a frappée brutalement avec une matraque en caoutchouc pendant plus d'une heure, jusqu'à ce qu'elle soit recouverte de contusions et à peine capable de respirer.
L'agent de police a crié en direction de la foule des spectateurs « C'est une pratiquante de Falun Gong, une contre-révolutionnaire. La battre à mort ne compte pas. »
Photos prises neuf jours après que Mme Wang a été violée.
Quand Mme Wang est tombée, deux dents de devant se sont cassées et sont tombées et sa tête a été fortement blessée. Tout son corps s'est enflé et a tourné au violet. Le policier a frappé sa tempe droite avec force et elle a perdu conscience.
Il l'a traînée ensuite sous le pont Dongzhimen, lui a arraché son pantalon et l'a violée. Après ça il lui a enfoncé la matraque en caoutchouc dans le vagin et il est monté sur elle. Quand Mme Wang a retrouvé sa conscience elle a crié « Au secours, au secours ». Le policier n'y a pas prêté attention et s'est simplement enfui après que Mme Wang a dit qu'elle allait porter plainte contre lui au poste de police.
(À suivre)
Traduit de l'anglais en France
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