(Minghui.org) Salutations au Maître ! Salutations aux compagnons de pratique !

Alors que j'avais plus d'une vingtaine d'année, les gens commentaient sur le fait que je ressemblais à une vieille dame. Aujourd'hui, j'ai 71 ans, mais beaucoup me donnent environ 60 ans au maximum. C'est le Falun Dafa qui a guéri toutes mes maladies et m'a transformée en une personne heureuse et en bonne santé. Les mots ne peuvent exprimer ma gratitude envers Dafa. Je dis du fond de mon cœur : « Falun Dafa est bon. »

Le cœur brisé, je semblais avoir des décennies de plus que mon âge réel

D'après ma mère, j'ai eu une maladie étrange quand je n'avais que six mois. Mon corps entier a viré au bleu et mon cœur a cessé de battre pendant un jour et demi. Tout le monde pensait que j'étais morte. Cependant, il y avait encore un peu de chaleur dans ma poitrine, mes parents ne se sont donc pas précipités pour m'enterrer.

J'ai finalement repris connaissance après que ma mère m'ait donné une pilule qu'elle avait obtenue d'un médecin. Bien que j'aie survécu, j'ai vécu avec des complications pendant les plus de 50 ans qui ont suivi. Pendant toute mon enfance et l'âge adulte, j'ai souffert de nombreuses maladies mais rien ne semblait me soulager. Ma famille a dû emprunter d'énormes sommes d'argent pour couvrir les frais médicaux et j'étais bien connue dans la région comme une patiente à long terme.

Quand je n'avais que 20 ans, tout mon corps me faisait mal et j'ai perdu presque tous mes cheveux. Beaucoup de gens ont commenté que je ressemblais à une femme de 60 ou 70 ans. J'ai pleuré et pleuré, ma tristesse était au-delà des mots.

Ravie de voir une lueur d'espoir.

Je n'oublierai jamais le 19 décembre 1996, quand j'ai commencé à lire le Zhuan Falun et suis devenue une pratiquante de Dafa. J'étais ravie de voir enfin une lueur d'espoir après avoir souffert pendant si longtemps.


Début décembre 1996, ma sœur aînée, qui vivait dans une ville différente, m'a appelée pour me dire qu'elle avait l'intention de sortir de la ville pour un mois environ et elle voulait que je surveille sa maison pendant son absence.

Quand je suis arrivée à son domicile le 16 décembre, ma sœur m'a demandé si je voulais essayer le Falun Gong. Je n'ai rien dit parce que j'avais perdu tout espoir dans le qigong. Un jour, alors que je m'étais inscrite à un cours de qigong, j'ai été rejetée en raison de mon état de santé fragile. J'étais tellement navrée que j'ai décidé de ne plus jamais essayer le qigong.


Avant son départ le 18 décembre, ma sœur m'a dit : « Je suis certaine que tu vas apprendre le Falun Gong si tu as une affinité prédestinée avec cela. »


J'ai fait un rêve cette nuit-là et j'ai clairement vu le mot « Dafa ». Même après mon réveil, le mot me sautait encore aux yeux.

Un ami est venu me rendre visite en fin de matinée et à ma grande surprise, il a commencé à parler du Falun Gong. Quand je lui ai parlé de mon rêve, il a été surpris et a continué à dire que j'avais une affinité prédestinée avec Dafa. Il s'est précipité chez lui pour m'apporter une copie du Zhuan Falun.

J'ai commencé à lire ce livre précieux le même jour, le 19 décembre.


Le lendemain, j'ai rejoint le groupe local des exercices. C'était dans une grande cafétéria avec beaucoup de gens. Depuis ce jour, j'étudie le
Fa et pratique les exercices avec les compagnons de pratique tous les jours. J'ai appris à faire les cinq exercices et à lire le Zhuan Falun.

Avant que je ne m'en rende compte, toutes mes maladies avaient disparu sans laisser de trace. Pour la première fois en plus de 50 ans de vie, je savais ce que c'était que d'être libre de maladies. Mon bonheur était indescriptible.


Quand ma sœur est revenue à la maison après 28 jours, elle a dit avec assurance : « Tu dois avoir déjà commencé à pratiquer le Falun Gong. » Je me demandais comment elle pouvait le savoir et elle a souligné mon pas rapide et mon teint éclatant.

Je suis restée chez ma sœur pendant un mois et suis revenue une personne totalement différente.


J'ai apporté avec moi le Zhuan Falun, le portrait du Maître et les versions vidéo et audio des enseignements.

Heureuse de diffuser les bénédictions de Dafa

À mon retour, lorsque j'ai croisé une connaissance et l'ai saluée, elle s'est demandé qui j'étais, malgré le fait que nous nous connaissions depuis plus de 20 ans. Elle ne pouvait pas croire que c'était moi et m'a demandé quel médicament secret j'avais reçu de ma sœur qui me donnait une meilleure apparence.


J'ai indiqué le petit insigne de l'emblème du Falun que je portais et dit : « Je pratique le Falun Gong. » Elle a été émerveillée par la pratique et m'a immédiatement demandé de lui enseigner la pratique.

Depuis ce jour, j'ai commencé à diffuser les bénédictions de Dafa auprès de mes voisins.

Il était assez facile pour moi de faire savoir que Dafa est merveilleux. Après tout, une patiente bien connue a été guérie en un mois et tout le monde était impatient d'essayer la pratique en personne.

Je n'ai jamais refusé personne et j'ai même utilisé mon propre argent pour leur acheter des copies du Zhuan Falun. Je me levais habituellement à 3 h du matin pour pratiquer les exercices moi-même et pendant la journée j'enseignais les exercices aux personnes intéressées et je leur montrais les exercices du Maître et ses enseignements du Fa sur vidéo.

J'avais le seul souhait de faire bénéficier davantage de personnes du Falun Gong. En peu de temps, des dizaines de résidents locaux sont devenus des pratiquants et ils passent toujours l'information. L'un après l'autre, des sites d'étude de Fa et d'exercices en groupe ont été établis dans notre ville et dans les villages voisins.


Après que la persécution du Falun Gong ait commencé, nous ne pouvions plus pratiquer les exercices en public, mais nous avons toujours réussi à nous réunir tous les mercredis soirs pour étudier le Fa et partager nos expériences. En fait, nous avons fait ainsi toutes ces années.

Déterminée à résister à une persécution sans fondement

Après que l'ancien dictateur Jiang Zemin ait lancé sa persécution sans fondement contre le Falun Gong en juillet 1999, les autorités locales ont fait de leur mieux pour stopper les pratiquants de Falun Gong. Cependant, nous étions déterminés à résister à la persécution et valider Dafa.


Lorsque la police locale m'a demandé de leur rendre une « liste » des pratiquants locaux, je leur ai dit qu'il n'y en avait pas. Ils ont admis que j'étais en bonne santé depuis ma pratique du Falun Gong, mais ils m'ont toujours prévenue de pratiquer uniquement chez moi.

De peur que je puisse sortir et parler aux gens du Falun Gong, la police locale a continué à me harceler chez moi. Pour montrer ma détermination, j'ai collé sur ma porte le couplet disant : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon et Falun Dafa est la Loi juste ». Lorsque les policiers l'ont arraché, j'ai peint les mots sur ma porte.


Un jour, ils ont pris des photos de ma maison. Je les ai prévenus que je les poursuivrais pour avoir fait une telle chose dans une résidence privée. Ils ont eu peur et se sont enfuis.

Je suis allée deux fois à Pékin en novembre 1999 et en décembre 2000, pour faire appel pour le Falun Gong. Les deux fois, j'ai été arrêtée.


La deuxième fois, les policiers m'ont menottée avec un compagnon de pratique et nous ont ensuite conduits à la gare ferroviaire pour nous renvoyer chez nous. À la gare, nous nous sommes servis de notre main libre pour déployer une banderole « Falun Dafa est le Fa juste » et avons crié « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! Rétablissez la réputation de notre Maître ! » Nos voix résonnaient dans le ciel et ont éradiqué les éléments pervers dans les autres dimensions. De nombreux voyageurs nous regardaient avec admiration, avec un petit sourire et hochant la tête.

Tellement « têtue » qu'aucun centre de détention n'osait me prendre

À 19h le 1er novembre 2003, j'étais en train d'afficher des notes autocollantes clarifiant la vérité quand quelqu'un m'a dénoncée à la police.


J'ai crié « Falun Dafa est bon » et un policier m'a lancé des coups de pied dans le dos et sur les jambes. Un autre policier a versé un pot d'eau froide sur ma tête et m'a brûlé les cheveux avec un briquet. Il a dit : « Ce serait encore mieux si j'avais de l'essence. Je te ferais mourir par « auto-immolation ».


Le lendemain, les policiers ont pillé mon domicile et m'ont transférée au centre de détention local.

Sur le chemin vers le centre de détention, j'ai continué à crier : « Falun Dafa est bon ! » En garde à vue, j'ai crié : « Falun Dafa est bon » chaque jour.


Le centre de détention m'a avertie de ne pas crier le jour où les hauts responsables venaient les inspecter, mais j'étais déterminée à faire passer l'information. Lorsque les inspecteurs ont approché ma cellule de détention, j'ai crié : « Falun Dafa est bon ! »


Un garde leur a dit : « Elle est la plus têtue du Falun Gong ici. »

J'ai répondu : « Nous nous efforçons d'être de bonnes personnes, mais nous sommes gardés en détention. Est-ce logique ? Permettez-moi de vous dire que je ne cesserai jamais de pratiquer le Falun Gong. »


J'ai ensuite continué à crier : « Falun Dafa est bon ! »

Deux mois plus tard, la police locale a rusé pour me faire croire qu'ils allaient me libérer et me reconduire chez moi. Après un petit moment, j'ai réalisé que ce n'était pas le chemin vers mon domicile. Quand j'ai demandé où ils m'emmenaient, un policier a répondu : « Au camp de travail de la province. »

À ce moment, le ciel s'est assombri, même si c'était toujours en plein jour. Je les ai avertis que le Ciel cherchait à rétablir la justice pour moi et ai commencé à crier : « Falun Dafa est bon ! »


Les policiers ont eu peur et m'ont demandé d'arrêter. Ils se perdaient continuellement et il faisait sombre partout où la voiture allait.

Ils ont finalement réussi à arriver au camp de travail, mais le camp a refusé de me prendre. Ils m'ont ensuite conduite à l'hôpital pour obtenir un billet du médecin disant que j'étais en bonne santé. Le camp de travail était toujours déterminé à ne pas m'accepter et a suggéré de me renvoyer au centre de détention.

Même avant notre arrivée au centre de détention, la police avait reçu un appel du centre pour les informer que le centre n'allait certainement pas me reprendre.

En voyant le coucher du soleil, les policiers n'avaient qu'un dernier recours, me ramener à leur poste de police.


Je ne cessais de crier : « Falun Dafa est bon » sur le chemin de retour au poste. Un policier m'a demandé d'arrêter, disant qu'ils étaient étourdis et épuisés. Je leur ai dit que tout ce que les disciples de Dafa ont fait était pour le bien de tous.

Au milieu de tout le drame, j'ai maintenu une foi ferme dans le Maître et Dafa. Cette même nuit, mon beau-fils est venu me chercher au poste de police.

Dépêchez-vous de sauver plus de gens

Entre 2005 et 2010, je suis retournée dans ma ville natale dans la province du Sichuan à trois reprises et dans la ville natale de mon mari dans la province du Yunnan une fois pour clarifier les faits.


La persécution était très sévère dans la province du Sichuan, mon père ne voulait pas que j'y retourne. Quand j'y suis réellement retournée, il a demandé à mon frère cadet de me surveiller. Mais dès que mon frère en a eu assez de me surveiller et est sorti, j'ai produit quelques documents clarifiant la vérité et ai quitté la maison.


Je suis tombée sur un ancien camarade de classe, et il m'a demandé de lui rendre visite.

Il a dit : « Nous n'avons pas pu te retrouver pendant toutes ces années. Selon la rumeur, tu étais décédée depuis longtemps. Comment se fait-il que tu es en si bonne santé ? » J'ai pensé que c'était certainement le Maître qui l'avait dirigé vers moi, alors je lui ai dit que je pratiquais le Falun Gong.


Il a semblé surpris par ma révélation et s'est levé pour fermer la porte et a tiré les rideaux. Je lui ai expliqué ce qu'était vraiment le Falun Gong et il s'est progressivement détendu.

Le lendemain, je suis allée chez lui à nouveau et ai aidé 16 membres de sa famille à démissionner du Parti et de ses organisations affiliées.


J'ai réussi à faire démissionner un total de 98 personnes du Parti et de ses organisations au cours de ma première visite dans ma ville natale.


Comme je ne maîtrisais pas le dialecte de la province du Yunnan, j'ai convaincu seulement 48 personnes à démissionner du PCC quand j'ai visité la ville natale de mon mari.


En plus de clarifier la vérité de personne à personne, j'ai envoyé par la poste des lettres clarifiant la vérité durant toutes ces années. Je vais habituellement dans une ville différente pour y expédier des lettres. Je ne peux même pas me rappeler combien de lettres j'ai postées.

Ma profonde gratitude envers le Maître

Quand j'étais dans la vingtaine, les gens disaient que je ressemblais à une vieille dame. J'ai maintenant 71 ans, et beaucoup me donnent environ une cinquantaine d'années.

Je sais très bien que sans Dafa, ma vie aurait été finie il y a longtemps.

Je crois du fond de mon cœur que le Falun Dafa est bon et je ne cesserai jamais d'en parler aux gens.


Il n'existe aucun moyen pour exprimer ma gratitude envers le Maître. Je ne peux que bien faire les trois choses pour rembourser le Maître pour son immense grâce.

Merci, Maître vénérable ! Merci, compagnons de pratique !

(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada