Par une pratiquante de Falun Gong de Chine continentale
(Minghui.org)Je suis une avocate qui a été engagée pour défendre des pratiquants de Falun Gong devant les tribunaux. J’ai ressenti beaucoup de sympathie pour eux, cependant, je ne savais pas ce qu’était réellement le Falun Gong, et ne comprenais pas vraiment pourquoi le Parti communiste chinois (PCC) s’y opposait. À part ce que j’avais besoin de savoir pour défendre mes clients, ça ne m'intéressait pas d'en savoir davantage. En défendant les pratiquants, je n’ai pas totalement nié les mensonges du Parti à propos du Falun Gong.
Après que ma nièce m’ait expliqué ce qu’était Falun Gong et avoir lu des articles de partage d’expériences, j’ai réalisé que c'était un groupe de gens dignes et intègres. Ils ont parcouru des chemins difficiles pendant plus de dix ans et ont une détermination inébranlable. Face à la torture inhumaine et à la persécution, ils n’éprouvent pas de haine envers leurs tortionnaires et ne se plaignent pas non plus.
Au lieu de cela ils continuent à expliquer la vérité concernant le Falun Gong aux gardes et aux policiers sans se soucier de leur propre sécurité. Leurs actions ont prouvé qu’ils avaient une profonde compassion et tolérance. Ils m’ont profondément touchée et je pense que les pratiquants sont des personnes admirables et je les respecte. J’ai décidé que je voulais pratiquer !
Obtenir le Fa
J'ai lu plusieurs chapitres du Zhuan Falun il y a quinze ans, mais sans commencer à pratiquer.
Lorsqu’en 1999, le PCC a diffusé leur soi-disant " auto immolation à Tienanmen", je n'y ai pas cru parce qu'aucun des pratiquants que je connaissais n'avait fait quoique ce soit de semblable à ce que le gouvernement les accusait de faire.
Après avoir appris la vérité concernant le Falun Gong, j’ai réalisé que les pratiquants constituent un groupe de personnes honorables et altruistes. Ils endurent des épreuves extrêmes et une torture inhumaine, mais ils mettent de coté leurs malheurs physiques et continuent à dire la vérité aux gens, en particulier à ceux qui sont directement impliqués dans leur persécution. A leur contact, j’ai appris ce que sont réellement le Falun Gong et les pratiquants. Je les respecte et veut être une des leurs.
Ma nièce m’a donné une copie de Zhuan Falun et m’a enseigné les exercices. J’ai commencé à avancer sur le chemin me permettant de retourner à mon authenticité première.
Éliminer l’interférence et bien étudier le Fa.
Cultiver dans Dafa est différent de faire des exercices physiques, et ce n’est pas la même chose qu'apprendre de nouvelles connaissances. Au début, j’étais incapable de me concentrer lors de l’étude du Fa. Les tâches ménagères et les activités quotidiennes me distrayaient souvent. Je me sentais endormie après avoir lu quelques pages et, même après deux semaines, je n'avais pas pu finir le livre. Je craignais que les compagnons de pratique ne découvrent qu'en un an je n’avais même pas pu lire le lire une fois ou deux . Omettant de regarder en moi-même, je n’ai guère fait de progrès pendant cette première année.
En apprenant ma situation, ma nièce a déclaré : "Tu devrais passer davantage temps à étudier le Fa. Lorsque tu es fatiguée, tu devrais émettre des pensées droites pour éliminer l’interférence. "J’ai fait comme elle me l’avait suggéré.
Je me souviens que le Maître a dit : La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste. (" Éliminer l'interférence de Points Essentiels pour un avancement assidu II)
J’ai commencé à étudier au moins un des enseignements du Maître chaque jour.
Réaliser mon vœu
Le Maître a enseigné aux pratiquants à bien faire les trois choses et notre tâche est d’offrir le salut aux gens. Cependant, lorsque j’étudiais le Fa, je me focalisais égoïstement sur la guérison des maladies. Je dois être une authentique pratiquante et aider le Maître en parlant des faits aux gens et en les sauvant.
Ma nièce m’a dit que je devrais d’abord bien me cultiver moi-même et que le temps arriverait naturellement pour moi d’aider à sauver les gens.
Une des anciennes collègues d’université était pratiquante et j’espérais pouvoir la trouver. Comme nous n’étions pas restées en contact après avoir obtenu notre diplôme, je n’avais plus ses coordonnées. Cependant, quelques jours plus tard, le Maître nous a aidés à nous rencontrer sur un marché. J’étais très reconnaissante.
Défendre les compagnons de pratique devant les tribunaux.
L’Équipe de la sécurité intérieure a illégalement arrêté plusieurs pratiquants. Les compagnons de pratique étaient très inquiets de leur situation et m’ont demandé de les représenter devant les tribunaux. J’ai aussitôt accepté, parce que je savais que tel était l'arrangement du Maître et que c’était aussi une opportunité pour moi de m’améliorer.
Premier cas
Le pratiquant détenu semblait inquiet. Afin de l’encourager, je lui ai dit : "Ces problèmes pourraient avoir été causées par tes propres insuffisances. Tu devrais chercher en toi-même ce que tu as mal fait. Tu devrais corriger les erreurs et te concentrer sur ce que tu as bien fait . Les pratiquants ont de la dignité." Il a été d’accord.
J’ai continué: " Pourquoi étudies-tu le Fa et pratiques-tu les exercices ? " Il a répondu: "Falun Gong enseigne aux gens à suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être de bonnes personnes. " J’ai répondu : " As-tu fait quelque chose de mal ? " Il a répondu "Non ". "Alors, dis et fait ce que tu veux. Tu n'as pas à avoir peur . "
Lorsque je suis retourné le voir, il était évident qu’il était plus confiant et j'ai pu voir le courage dans ses yeux. Il m’a expliqué avoir aidé les détenus dans sa cellule à quitter le PCC et ses organisations affiliées. Je lui ai conseillé de renforcer ses capacités pour nettoyer les forces mauvaises. Les autorités de la prison m’ont averti quelques jours plus tard de le faire sortir de la prison. J'y suis allée immédiatement et l’ai ramené chez lui.
En pensant aux difficultés et aussi au bonheur que j'avais connu les jours où je travaillais sur son cas et j’ai réalisé que chaque étape que j’avais prise n'avait été possible qu’avec l’aide et l’encouragement du Maître, ainsi que grâce au soutien des compagnons de pratique. Défendre les pratiquants devant les tribunaux est une force positive pour s'opposer à la persécution.
Les forces de l'ordre locales n’avaient jamais vu d’avocats représenter des pratiquants de Falun Gong devant les tribunaux. Ça a été un choc pour eux et ils n'arrivaient pas à comprendre comment le pratiquant avait pu sortir si rapidement de prison. Afin de dissimuler leurs actes criminels, ils ont immédiatement ses renvoyé ses effets personnels.
Deuxième cas
La seconde affaire sur laquelle j’ai travaillé était plus difficile et la situation du pratiquant plus compliquée. Les pratiquants locaux et la famille ont tous coopéré avec moi. Je suis aussi allée discuter patiemment avec tous les services impliqués dans son cas. Dafa m’a donné la sagesse et le pouvoir puissant de désintégrer toutes les interférences et les obstacles.
L’avis que la famille avait reçu affirmait que la pratiquante était incarcérée dans le centre de détention de la ville. Je m’y suis rendue le matin tôt. Finalement, après avoir obtenu la permission de la voir, j’ai appris qu'elle était en réalité détenue dans un service de police appartenant à l’hôpital tout proche. Pour la voir, je devais prendre rendez-vous à l’avance et il était donc impossible de la voir ce jour-là.
Je paniquais, mais j’ai obtenu le numéro de téléphone de l’hôpital et les ai appelés. Cependant, chaque fois que j’appelais, j'avais des réponses différentes concernant le moment où je pourrai voir mon client. J'ai demandé l’aide du Maître : je devais la voir le jour même.
Au téléphone, j’ai dit à l’agent de service: " Il n’est pas facile pour moi de venir jusqu’ici et je ne parlerai pas longtemps. S’il vous plait, libérez du temps pour que je vois mon client aujourd’hui." L’agent m’a demandé où je me trouvais et je lui ai répondu que j'étais juste à l’extérieur de l’hôpital. Il m’a alors dit qu’il allait se renseigner. Quelques minutes plus tard, j’ai obtenu la permission.
Sachant qu’une avocate de sa ville natale la représenterait devant les tribunaux, la pratiquante détenue était très enthousiaste. Je me suis renseigné sur son cas et sur sa condition physique. Je l’ai aussi encouragée à garder courage et confiance. Dans le même temps, je lui ai dit que les compagnons de pratique et sa famille lui envoyaient leurs salutations et qu’ils œuvraient ensemble pour la secourir.
Après le contact initial, j’ai obtenu de précieuses informations de sa part me permettant d’établir une bonne fondation pour pouvoir la tirer d'affaire. Elle a aussi acquis plus de courage en traversant sa tribulation.
Pour la faire sortir de prison, j’ai demandé une seconde visite et commencé à travailler pour la faire sortir sous caution. Il y a eu de nombreuses interférences pour la seconde visite : j’ai eu des problèmes physiques, et suis tombée sur des embouteillages en me rendant à la prison. De plus, les documents administratifs étaient anormalement compliqués. Lorsque, finalement, j’ai pu réunir tous les documents demandés, il était déjà prés de midi.
Avec l’aide du Maître, j’ai rencontré la pratiquante, je lui ai rappelé que si elle commençait à avoir des symptômes physiques, elle devait réfléchir à quels étaient ses problèmes. Elle a compris ce que je voulais dire et m’a souri.
Entre mes deux visites, cette pratiquante a cherché en elle-même, a communiqué rapidement avec les compagnons de pratique et reçu leur soutien par des pensées droites. J’ai pu voir les changements survenus chez elle, grâce au pouvoir tout puissant qui existe lorsque les pratiquants travaillent ensemble comme un seul.
Les deux rencontres ont aidé les pratiquants locaux à former un seul corps et leurs familles ont eu davantage de confiance. J’ai pu maintenir une mentalité paisible en travaillant avec les gardes et les autres personnes des forces de l'ordre. Sans aucun reproche, j’ai patiemment aidé à réveiller leur bon côté et les ai encouragés à faire de bonnes actions.
Quoi qu'il arrive, je continuerai à travailler pour secourir les compagnons de pratique.
J’ai compris que mes vingt ans d’expériences en tant qu’avocate ont été arrangés pour que j’aide le Maître à valider le Fa. C’est probablement le serment que j’ai fait. J’ai expérimenté et été témoin que Dafa est extraordinaire et miraculeux et que le Maître est remarquable et bienveillant.
Je continuerai à m’améliorer, à utiliser au mieux mon temps pour bien étudier le Fa et être diligente et faire ma part en secourant des compagnons de pratique. C’est ce dont Dafa a besoin et ce que les gens attendent. Je dois profiter de ce que ma carrière m’autorise à faire. Cela me permettra de rattraper la rectification de Fa et de répondre aux attentes liées au fait d’être une pratiquante de Dafa.
Mon niveau est limité. Veuillez s’il vous plaît indiquer quoique ce soit qui serait incorrect.
Traduit de l'anglais en Europe
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