(Minghui.org)

Recouvrir la santé après avoir commencé la cultivation

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa au cours de l'été 1996. Les changements dont j'ai fait l'expérience incluent une peau plus éclatante et un sentiment croissant de bonheur profond.

J'étais très faible quand j'étais jeune et je suis presque morte d'une infection pulmonaire. Quand j'ai commencé à apprendre la pratique, j'ai eu deux expériences de karma de maladie et j'ai été témoin de l'étonnant et puissant pouvoir de Dafa.

J'ai eu une fois une forte fièvre et ne pouvais pas arrêter de grelotter. Ma mère a pris ma température et a été effrayée de la voir à 107,6 degrés Fahrenheit (42°C). Elle m'a exhortée à aller voir un médecin. Mais j'ai refusé et lui ai dit que mon corps se purifiait et que ça irait. Quelques jours plus tard, la fièvre a disparu et j'ai remarqué que ma peau était plus claire.

Une autre fois, j'ai commencé à avoir des symptômes de pneumonie : je toussais et avais une forte douleur à la poitrine. Mes yeux étaient rouges suite à des toux violentes et j'étais trop faible pour me tenir debout.

J'ai eu du mal à considérer ces symptômes comme une épreuve. Pendant plusieurs jours, les notions humaines et les pensées droites me venaient tour à tour à l'esprit. Alors que j'étais encore indécise, ma toux s'est aggravée au point d'empêcher mon mari de dormir. J'ai réalisé que cela ne devrait pas continuer et je me suis demandé : « Suis-je une véritable pratiquante ? Ai-je peur de la mort ? »

Je me suis alors rappelée à moi-même que je pratique une grande Loi. Comment ne pourrais-je pas être claire au sujet de mon dilemme ? J'ai pris la décision que ma vie était entre les mains du Maître.

Soudain, un miracle s'est produit. Le corps de Loi du Maître est apparu devant moi. Il a tendu un bras au dessus de mon corps et j'ai senti une vague de froid pénétrer ma poitrine. Ceci n'a duré que deux secondes environ mais ma fièvre est tombée et j'ai arrêté de tousser. J'étais surprise mais heureuse. À ce moment-là, je voulais vraiment dire au monde entier, « Dafa est vraiment, vraiment bon ! »

Les relations familiales

Mon mari et moi, nous nous étions rencontrés seulement quelques mois avant de nous marier et les choses ne se sont pas déroulées comme je les avais imaginées. Comme il était le plus jeune de sa famille, il était gâté, paresseux, colérique et têtu.

Mon beau-père a commencé à me mépriser en apprenant que j'étais une pratiquante de Falun Gong. Notre relation m'a fait beaucoup souffrir.

Mais peu importe à quel point il me maltraitait, j'agissais de façon bienveillante. J'ai alors pensé que je lui étais endettée d'une vie précédente.

Les choses ont commencé à changer quand mon beau-père a eu une crise cardiaque et a été hospitalisé pendant plus de deux semaines. J'ai pris soin de lui à tour de rôle avec ma belle famille. Au début, il était incapable de bouger la tête, alors je l'ai nourri à la cuillère.

J'ai remarqué qu'il était ému par son expression. Le médecin et les infirmières ont tous dit, « Regardez comme votre fille est bonne pour vous. » Lorsque mon beau-père leur a dit que j'étais sa belle-fille, ils étaient vraiment surpris.

Mon beau-père a été hospitalisé à deux reprises et j'ai pris soin de lui sans hésitation. Je lui ai dit : « Vous voyez, c'est important de rester en bonne santé. Le Falun Gong peut faire recouvrir la santé. Il aide aussi à devenir une bonne personne. Je ne prend plus de médicaments depuis plus de dix ans. »

Il avait les larmes aux yeux quand il m'a dit : « Nous en parlerons quand nous rentrerons à la maison. » Ma relation avec mes beaux-parents s'est grandement améliorée par la suite.

Tant que les pratiquants pensent à sauver les êtres, le Maître arrangera des occasions. Ainsi, j'ai pu convaincre trois membres de la famille de ma belle-sœur à quitter le Parti communiste chinois (PCC ) et ses organisations affiliées.

Mon mari avait peu d'estime de soi et perdait souvent son sang-froid. Comme j'étais attachée à avoir une vie heureuse, j'étais malheureuse.

De son point de vue, il avait vraiment peur que je divorce de lui. J'ai réalisé qu'il avait une relation prédestinée avec moi et était venu pour Dafa dans cette vie.

Dafa pouvait délier les nœuds dans son esprit ! Alors, quand l'occasion s'est présentée, nous avons eu une bonne conversation. Je lui ai dit : « Si je ne pratiquais pas Dafa, je ne serais pas restée dans notre mariage. Le Falun Dafa nous apprend à être une bonne personne et à suivre le principe de Authenticité-Bienveillance-Tolérance et à penser aux autres en tout temps. Ne t'en fait pas. Nous allons nous entraider et avoir une bonne vie ensemble. »

Ce que j'ai dit l'a fait pleurer. Sa véritable bonne nature s'est réveillée. À partir de ce moment-là, il a commencé à accepter et à être vraiment reconnaissant envers Dafa. Un être découragé venait d’être sauvé !

Mon mari et mon enfant étudient maintenant le Fa. Notre famille est heureuse et nous baignons dans la puissante bienveillance de Dafa.

Sauver les gens au travail

Après avoir obtenu mon diplôme universitaire, un compagnon de pratique m'a aidée à obtenir un emploi dans une entreprise privée. Comme j'étais nouvelle, personne ne savait que j'étais une pratiquante. Comme j'avais un attachement à me protéger, je ne clarifiais pas bien la vérité et esquivais souvent les questions directes me demandant si je pratiquais.

Un petit groupe de directeurs causaient souvent des difficultés aux nouveaux employés qui leur avaient été suggérés par des pratiquants. Comme ces pratiquants avaient peur de perdre leur emploi, ils ne clarifiaient pas la vérité aux directeurs.

Un jour, le directeur général m'a demandé, « Êtes-vous une pratiquante de Falun Gong ? » Je ne lui ai pas répondu directement. Je me suis sentie mal par la suite et je me suis demandé combien de temps ceci pourrait continuer. Comment allais-je pouvoir aider ces gens à apprendre la vérité ?

J'ai alors réalisé que même si les gens ordinaires recherchent le prestige et le profit, ce n'était pas de leur faute. Je ne devrais pas me plaindre et je me suis promise de ne pas les abandonner.

À ce moment-là, j'ai senti une profonde bienveillance et tristesse. J'ai soulevé ma main devant ma poitrine et avec bienveillance j'ai appelé en silence le nom de plusieurs personnes et je leur ai dit, « Peut-être que les conflits entre nous proviennent de vies antérieures. Que la puissance de Dafa résolve nos rancunes antérieures. J'espère sincèrement que vous pourrez tous être sauvés. »

À ce moment, j'ai senti une forte énergie sortir de moi et je ne pouvais pas bouger. J'ai émis des pensées droites pendant longtemps.

Le lendemain, au travail, j'ai senti que l'atmosphère avait changé et était plus harmonieuse. Après le travail, j'ai invité le directeur général à dîner avec moi. Il m'a souri et est venu sans hésitation. Nous avons eu une longue conversation et il a accepté de quitter le PCC. Il avait les larmes aux yeux. Après cela, il a lu les livres de Dafa et est devenu graduellement un pratiquant.

Le Maître a dit :

« En réalité la compassion est une énergie immense, l’énergie des divinités droites. Plus il y a de compassion, plus l’énergie est grande, n’importe quelle mauvaise chose peut être désintégrée. Que ce soit Sakyamuni ou les pratiquants dans le passé, personne ne l’a jamais enseigné. La plus grande manifestation de shan c’est la compassion, et c’est une manifestation d’une immense énergie. Elle peut désintégrer tout ce qui n’est pas droit. «  (« Enseignement de la Loi à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 »)

Avec la collaboration des compagnons de pratique, l'atmosphère de la société s'est améliorée en général. Nous profitons maintenant de chaque occasion pour clarifier la vérité et aider plus de gens à être sauvés. Chaque fois que quelqu'un quitte l'entreprise après avoir appris la vérité, un autre employé avec une relation prédestinée (avec Dafa) arrive.

Résumé

Il y a beaucoup de choses que je n'ai pas bien faites et parfois je nourris mes propres attachements Grâce à ce partage d'expérience, je sais que je dois maintenir mes pensées droites avec le même enthousiasme que lorsque j'ai commencé la cultivation. Je ferai de mon mieux les trois choses pour être digne de la grande miséricorde du Maître.

Traduit de l'anglais au Canada