( Minghui.org ) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en mai 1996.
Je vis au pied d'une grande montagne. Après que le régime de Jiang Zemin ait mobilisé tout le pays pour persécuter le Falun Dafa en 1999, j'ai été incarcérée dans un centre de détention à deux reprises parce que j'étais sortie pour valider le Fa. Un autre pratiquant et moi avons clarifié la vérité au sujet du Falun Gong aux détenus et aux employés, y compris au directeur du centre de détention. Le directeur avait été trompé par la propagande du PCC et était contre le Falun Dafa. Il nous a crié : « Comment osez-vous parler ainsi ici ? »
Le Fa m'a donné la sagesse. Je lui ai répondu que je ne me préoccuperais pas de lui s'il n'était pas un ami de ma famille. Il était un peu surpris et m'a demandé qui était mon parent. Je lui ai dit. Il a changé son attitude et m'a dit d'être prudente. Je lui ai dit de ne pas oublier son épouse quand il serait sauvé en apprenant les faits sur le Falun Dafa. Il a dit : « Oh. » Il a ensuite demandé au cuisinier de nous donner deux petits pains. J'ai réalisé que le Maître nous encourageait. (Plus tard, j'ai appris que grâce aux pratiquants qui lui clarifiaient toujours les faits sur le Falun Dafa, il avait finalement commencé à le pratiquer et avait quitté le centre de détention.)
Parce que j'avais refusé d'être transformée, les chefs de mon village ont demandé à mon mari, qui travaillait dans une autre ville, de revenir à la maison. Ils l'ont menacé et l'ont forcé à écrire une déclaration de divorce. J'ai pleuré. Ma fille était jeune et ma famille se disloquait alors que je n'avais rien fait de mal. Je ne trahirais pas le Maître. Dafa enseigne aux gens à être bons. Quel était le problème ? Plusieurs jours plus tard, j'ai été libérée. L'ami de mon mari avait écrit une déclaration de garantie. Beaucoup de gens savaient que le Falun Dafa est bon mais ils essayaient de tromper les autres pour garder leur emploi.
Je me suis relâchée dans ma cultivation pendant plusieurs années après être rentrée chez moi. J'étais à l'agonie et au bord de la dépression. Avec l'aide des compagnons de pratique, je me suis réveillée et j'ai commencé à clarifier aux gens les faits sur le Falun Dafa. Je voudrais partager avec vous certaines de mes expériences.
Ma famille a une usine de traitement de riz et de nouilles. Avant de pratiquer le Falun Dafa, j'ajoutais toujours une somme modique au prix normal. J'ai appris du Falun Dafa que ce n'était pas bien de faire ainsi. Depuis, je donne parfois aux gens une réduction pour les sauver. Si un client n'était pas en bonne santé, j'allais chercher le riz à leur domicile et je leur renvoyais le produit fini. Je suis maintenant devenue bien connue pour ma gentillesse et mes produits de haute qualité. Les gens des villages voisins venaient également chez moi. Si ma boutique était fermée, ils attendaient plutôt que d'aller dans d'autres magasins. J'ai établi une bonne base pour clarifier la vérité.
Chaque fois que la direction du village change, ils achètent des votes. Autrefois, je vendais mon vote, mais maintenant je leur dis que je vais voter pour eux seulement s'ils croient que le Falun Dafa est bon et ne persécuteront pas les pratiquants. De nombreux dirigeants acceptent les pratiquants mais certains prétendent qu'ils ne sont pas au courant du Falun Gong ou font des choses nuisibles. Un jour, je gardais ma petite-fille et j'ai vu le chef du village conduire deux policiers à la maison d'un pratiquant. La porte était verrouillée. Je les ai grondés.
Le chef a montré la maison du pratiquant comme pour dire qu'ils n'allaient pas chez moi. Je lui ai dit : « Ils sont au travail ! Vous êtes les seuls qui n'avez rien à faire. » Les deux policiers lui ont demandé qui j'étais. Il leur a dit que je pratiquais le Falun Gong aussi. Après le dîner, je suis allée chez lui pour lui parler davantage du Falun Gong parce que je sentais que je ne lui avais pas suffisamment clarifié les faits. Je lui ai dit que quiconque vendrait les bonnes personnes serait puni et finirait dans la misère. Le lendemain, les policiers ont voulu venir chez moi, mais il les a amenés chez le frère de mon mari, qui avait déménagé depuis longtemps. À cette époque, je présentais une petite exposition de peintures.
J'avais vu sur Internet que des pratiquants d'outre-mer tenaient des expositions d’œuvres d'art pour sauver les êtres. J'ai donc imprimé six grandes photos de la Fanfare Terre Divine et des atrocités des prélèvements d'organes et les ai suspendues au mur dans un couloir. Des gens de différents villages venaient à mon usine de traitement et tandis que je les aidais à démissionner du PCC, je leur montrais les photos pour leur clarifier davantage la vérité. J'ai acheté plus de trente lecteurs audio pour que les personnes puissent les emprunter et écouter les faits sur le Falun Gong. Ils sont devenus populaires. Un jour, j'en ai donné un au chef du village. D'autres citoyens l'ont rattrapé et ont dit : « Laisses-nous écouter en premier. » Le chef a ri !
Un jour, quand je suis passée devant une équipe d'ouvriers, je suis allée voir le chef d'équipe âgé d'une trentaine d'années et je lui ai parlé. Il était de ma ville natale. J'ai discuté un peu avec lui et ensuite je lui ai clarifié la vérité. J'ai aussi dit : « Vos employés ont une relation prédestinée avec vous. Ils ont également besoin d'être sauvé. » Alors il m'a emmené voir ses ouvriers. Je leur ai clarifié la vérité et les ai aidés à démissionner du PCC. C'étaient des gens prédestinés qui devaient être sauvés selon les arrangements du Maître.
Un jour, j'ai reçu un appel de mon oncle qui m'invitait à la fête d'anniversaire de son épouse. Je voyais rarement cet oncle, j'ai donc compris que ce n'était pas un hasard. J'ai clarifié la vérité à ceux qui étaient venus à la fête d'anniversaire dans la matinée. J'ai clarifié la vérité à plus de gens dans un restaurant à l'heure du déjeuner. Des personnes à une table croyaient au bouddhisme et n'ont pas voulu m'écouter. J'étais un peu inquiète.
Mon oncle est allé à leur table à la fin du déjeuner, a porté un toast et a souhaité à tous une bonne santé. Je lui ai demandé s'ils étaient nos parents. Il a dit oui. Alors, je leur ai dit : « Vous pourrez rester en bonne santé seulement si vous pouvez sauver votre vie lorsque la catastrophe arrivera. Veuillez vous rappeler : « Falun Dafa est bon » pour rester en sécurité et en bonne santé. » Mon oncle a dit : « Oui, veuillez vous rappeler : « Falun Dafa est bon ». Tout le monde à la table a levé sa coupe et a porté un toast en disant « Falun Dafa est bon ».
Un jour je suis allée clarifier la vérité aux gens sur un marché dans une région éloignée. Un homme me faisait constamment obstacle. J'ai du tout d'abord lui clarifier les faits pour que les autres ne me comprennent pas de travers.
Je lui ai demandé d'où il venait. Il a dit qu'il était de la ville et louait une ferme pour cultiver des légumes mais n'arrivait pas à les vendre. Il a également dit qu'il était membre du PCC depuis quelques décennies. Je lui ai dit qu'il serait béni s'il croyait dans le Falun Dafa et que ses légumes se vendraient sûrement. Il a dit qu'il croyait dans le Falun Dafa. Puis, il a vendu rapidement ses légumes. Mais il lui restait une boîte pleine de ciboulette. Je lui ai dit qu'il la vendrait sûrement s'il croyait vraiment dans le Falun Dafa. Ensuite, une voiture s'est arrêtée et le conducteur a dit qu'il aimerait acheter cette boîte de ciboulette. Cette fois, il a été tout à fait convaincu et a joyeusement démissionné du PCC. Le Maître nous renforce à chaque instant.
La compassion du Maître et la puissance de Dafa sont illimitées. Comme tous les autres pratiquants, aucun mot ne peut exprimer ma gratitude envers le Maître. Je dois être plus diligente pour être digne du salut du Maître. Avec la protection du Maître, le soutien des compagnons de pratique et ma contribution désintéressée aux sites de production d'information, j'avance constamment sur le chemin de la cultivation. Ici, je tiens aussi à remercier mes compagnons de pratique. Merci beaucoup pour votre travail acharné !
Traduit de l'anglais au Canada
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