(Minghui.org) Lorsque l'annonce de cette année : « Appel de témoignages pour commémorer la Journée mondiale du Falun Dafa 2014 » a été publiée, j'ai pensé : « Je vous ai présenté deux articles durant ces deux dernières années. Tous les deux ont été publiés. J'ai déjà partagé ce que j'ai à partager. D'ailleurs, comparé avec d'autres pratiquants, je n'ai pas très bien agi dans la cultivation en faisant les trois choses, que pouvais-je rapporter au Maître et partager avec les autres pratiquants quand je ne sens même pas que j'ai assez bien fait moi-même ? » Je pensais que je n'avais rien à partager et j'ai décidé de ne pas soumettre d'article cette année.

Comme j'ai continué chaque jour à lire les articles de partage sur le site Minghui, et que j'ai vu les rappels répétés des compagnons de pratique, j'ai commencé à sentir profondément que ne pas soumettre un article pour une occasion si importante est une forme de manquement au devoir d'un pratiquant de Dafa.

Le Maître nous a ouvert la voie pour servir de tremplin à notre comportement et notre attitude, et pourtant je suis réticent à franchir cette étape. Grâce à cette compréhension, j'ai décidé que je devrais écrire et soumettre cette année un autre article.

Mais que devrais-je écrire ? Deux jours ont passé, et je n'avais pas commencé. Je ne savais même pas pourquoi j'hésitais. Puis, deux petits épisodes me sont venus à l'esprit, et j'ai pensé : «  Très bien, je vais les écrire du mieux que je peux, mais je n'ai vraiment pas très bien fait. » Mon esprit n'était pas droit et mon attitude était un peu comme si j'essayais d'écrire quelque chose pour remplir une mission afin de me sentir mieux dans ma peau.

À ma grande surprise, quand j'ai commencé à écrire, les pensées coulaient dans ma tête. Avant que je puisse terminer une histoire, la troisième et la quatrième apparaissaient déjà dans mon esprit. Avant que j'aie pu terminer la troisième, les cinquième et sixième étaient prêtes pour que je les écrive. C'étaient toutes des choses typiques qui s'était passées pour moi, ma famille et les gens autour de moi.

J'ai finalement écrit sept histoires en utilisant près de 3000 mots. Si j'avais écrit plus, je serais allé au-delà de la limite des mots dans les conditions de soumission, alors je me suis arrêté, mais je sentais qu'il y avait tant d'histoires dans ma tête qui attendaient que je les choisisse.

J'ai été submergé de profonds sentiments : Il y a tellement d'histoires de validation de Fa. Comment pourrais-je avoir l'impression de n'avoir rien à écrire ? Bien que ce soient de tous petits épisodes de la vie quotidienne - à la différence d'autres incidents plus importants - ils sont tous de brillantes pièces d'or illuminées par la lumière de Bouddha. Ils sont comme des gouttes d'eau, qui lorsqu'elles se rassemblent, peuvent former un océan.

Ils sont aussi la manifestation du pouvoir de Dafa dans le monde humain. En tant que disciples de Dafa, le Maître nous a inconditionnellement conféré la puissance incommensurable du Fa de Bouddha, et il est de notre devoir de glorifier ce pouvoir afin que la lumière de Bouddha puisse éclairer les chemins de nombreux êtres qui attendent avec impatience d'être sauvés. Nous n'avons aucune raison de retenir ce que nous avons reçu.

L'importance de la soumission d'articles de partage n'est pas seulement de montrer le comportement et l'attitude des disciples de Dafa, mais de propager le Fa, de valider le Fa, d'aider le Maître dans la rectification, et de sauver les gens !

Soudain, j'ai compris : j'avais regardé la présentation comme un moyen d'auto-validation ! J'étais seulement intéressé à écrire des choses que je pensais qui pourraient valider ma cultivation, sinon, je n'avais rien à écrire et je ne voulais rien présenter.

Quelle idée horrible ! Le Maître nous a dit d'atteindre l'éveil juste de désintéressement et d'altruisme, et pourtant j'étais si égoïste face à une question aussi importante. Cela montre ce que j'ai mal fait dans la cultivation et que je dois faire tout mon possible pour rattraper !

Je pense qu'il est temps pour moi d'accorder plus d'attention à chaque pensée que j'ai. Si j'avais détecté la pensée de « n'avoir rien à écrire » lorsqu'elle est apparue, si je l'avais creusée à la racine et m'en serais débarrassé, je n'aurais pas perdu autant de temps à hésiter.

Je suis très reconnaissant pour le rappel opportun des pratiquants qui ont partagé sur le site Minghui et pour l'encouragement des pratiquants proches de moi, ainsi j'ai eu l'occasion de présenter un partage et de rattraper.

J'espère sincèrement que les pratiquants qui sont dans le même état d'esprit se dépêcheront et soumettront des articles de partage. C'est un honneur d'être en mesure de le faire !

Ne sommes-nous pas tous des particules brillantes de Fa ? Il est absolument faux de dire que nous n'avons rien à écrire. Tant que nous avons la pensée d'écrire, le Maître va nous aider à choisir les épisodes marquants de notre cultivation afin que nous puissions les utiliser pour aider le Maître dans la rectification et sauver les êtres. Les particules de Fa trempées dans le Fa de Bouddha brillent assurément avec la lumière de Bouddha !

Ce qui précède est un peu de la compréhension à laquelle je me suis éveillé pour soumettre des articles de partage. Veuillez m'indiquez-moi ce qui est incorrect.

Traduit de l'anglais en Suisse