(Minghui.org) J'ai été détenue dans une classe de lavage de cerveau et mon domicile a été fouillé en 2004. Après avoir été libérée, j'ai été licenciée de mon emploi. Mon mari me donnait 1 000 yuan par mois pour vivre, le début d'une vie pauvre. Pourtant, rien ne peut m'empêcher d'être une pratiquant de Falun Gong diligente et faire les trois choses qu'un pratiquant devrait faire.
Ci-après, je tiens à raconter certaines interactions que j'ai vécues en clarifiant la vérité aux gens.
« Comment connaissiez-vous mon nom ? »
Un garçon était assis à l'entrée d'un marché. Je lui ai parlé du Falun Gong et de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et ses filiales. Il a accepté de démissionner de la Ligue de la jeunesse. Quand j'ai suggéré un pseudonyme, il a dit : « Comment connaissez-vous mon nom ? »
Un autre jour, j'ai parlé à une femme sur un marché et l'ai persuadée de démissionner du Parti. J'ai suggéré un nom et elle a aussi été surprise : « C'est incroyable. C'est mon nom ! »
Un maire à la retraite : « Partir à l'étranger est une révélation »
J'ai rencontré un vieil homme dans le parc. Il était un ancien maire de canton et avait connu beaucoup de mouvements du PCC. Il savait que le Parti était corrompu et a donné quelques exemples.
Je lui ai expliqué les faits sur le Falun Gong et je lui ai dit : « Le PCC s'est engagé dans tant d'activités et a tué d'innombrables personnes. Il est incroyablement corrompu. Vous devriez en démissionner. » Il a accepté.
Un soldat à la retraite : « Je vais vous aider à connaître le Falun Gong »
Je clarifiais la vérité à l'entrée du marché. Un soldat à la retraite était à côté de moi et écoutait. Il a dit : « Je vous soutiens dans votre pratique du Falun Gong. »
Je l'ai aidé à démissionner du Parti. Il a dit : « Je vais vous aider à faire connaître le Falun Gong partout où je vais ! »
Évité de justesse
Au cours de ces années, j'ai évité quelques accidents de justesse en ayant des pensées droites.
Je distribuais des documents de Falun Gong quand j'ai senti quelqu'un tirer sur mon sac. Je me suis retourné et j'ai vu que c'était quelqu'un du Bureau 610. J'ai demandé : « Que faites-vous ? » Il a dit qu'il voulait savoir ce que j'avais dans mon sac.
Je n'avais pas peur et j'ai dit avec confiance : « Vous voulez jeter un œil ? Allez, prenez-le ! » Il a fait un geste et a dit :« Je ne veux plus le voir. Je pars. » Je sais que mes pensées droites ont désintégré le mal.
Ma mère est décédée avant les Jeux olympiques de 2008 et je suis rentrée pour assister aux funérailles, portant un sac de documents de Falun Gong. Quand je suis passé par le contrôle de sécurité à l'aéroport, ils m'ont fouillé attentivement mais personne d'autre. J'ai émis la pensée droite et j'étais très confiante.
Ils ont ouvert mon sac à main et vérifié les éléments à l'intérieur un par un. Ils ont ramassé mon paquet de mouchoirs, l'ont regardé et ont dit : « Pas de problème. Vous pouvez aller. » En fait, le paquet de mouchoirs était rempli de talismans et quiconque l'aurait touché aurait su qu'il ne contenait pas de mouchoirs.
En juillet 2010, environ six personnes du Bureau 610 sont venues chez moi pour me harceler et m'arrêter. Je n'ai pas ouvert la porte et je venais de parler du Falun Gong avec eux.
À cette époque, mon domicile avait été cambriolé peu de temps avant, alors j'ai dit : « N'est-ce pas la responsabilité de la police de protéger la sécurité des citoyens ? Notre propriété a été volé et rien n'a encore été fait à ce sujet. Pourquoi prenez-vous autant de main-d'œuvre pour la persécution du Falun Gong ? »
Ils étaient très arrogants, mais je n'ai pas bougé. Ils ont appelé mon mari pour venir à la maison et ouvrir la porte, mais il a refusé. Ils sont restés jusqu'à presque cinq heures du matin, puis ils sont partis.
Traduit de l'anglais au Canada
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