(Minghui.org) L’ancienne Résidence présidentielle de Shilin, aujourd’hui un site touristique très apprécié de Taipei, Taïwan, attire chaque jour des centaines de touristes. De nombreux pratiquants de Falun Dafa locaux collaborent pour maintenir un site de clarification de la vérité à cet endroit, devenu, pour les touristes chinois, un moyen d’accéder aux faits concernant le Falun Gong et de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.
Des touristes chinois lisant les panneaux clarifiant la vérité à la Résidence officielle de Shilin à Taipei, Taïwan.
Un groupe de pratiquants de Falun Dafa installe chaque jour une série de panneaux à droite de la porte d’entrée, lesquels informent les visiteurs que le Falun Dafa s’est répandu dans plus de 100 pays et régions, de ses bienfaits pour la santé et des milliers de proclamations émanant de gouvernements à divers échelons dans le monde entier. Les faits concernant la persécution, y compris les crimes de prélèvements forcés d’organes à vif, sont également exposés.
La Résidence présidentielle de Shilin est l’ancienne résidence du dernier Président de la République de Chine, le Président Chiang Kai-chek. Elle est ouverte au public depuis 1996 et est un endroit populaire pour la visite des jardins horticoles de styles chinois et occidental.
Le Pavillon Xinlan dans la Résidence présidentielle Shilin
« Pourquoi devrais-je sombrer avec le PCC après avoir été forcé d’y adhérer ? »
Mme Lu Shu, régulièrement bénévole sur ces lieux, a rencontré il y a environ trois mois un touriste chinois dans la cinquantaine de la province du Jiangsu. Il n’a pas regardé les panneaux d’affichage, mais il est allé directement la trouver et lui a demandé : « Pourquoi prétendez-vous que le Ciel détruira le PCC ? Pourquoi êtes-vous sûre que quiconque ne démissionne pas du PCC et de ses organisations affiliées sera impliqué quand le PCC fera face à sa rétribution ? » Ils ont discuté pendant un long moment puis il est parti.
Il est revenu le lendemain et a eu une longue discussion avec un autre pratiquant. Il semblait encore confus en repartant.
Il est revenu le troisième jour et a posé une question différente à Mme Lu. « Certains d’entre nous avons été forcés d’adhérer au PCC, mais ne le souhaitions pas. Serons-nous également concernés ? »
Mme Lu a répondu : « Il y a longtemps, vous avez été forcé d’adhérer au Parti. Mais maintenant vous avez appris la nature perverse du PCC et les innombrables mauvaises actions qu’il a commises. Des millions de Chinois innocents sont morts dans ses campagnes politiques. Ces 15 dernières années, le Parti a persécuté brutalement les pratiquant de Falun Gong, et même prélevé de force leurs organes pour les vendre pour le profit. L’univers ne laissera pas de telles atrocités continuer. Même si la justice des hommes ne peut pas le punir, les divinités et les bouddhas le feront. Le PCC est condamné. »
« Je sais que le PCC est mauvais. Mais pourquoi devrais-je démissionner du parti ? », a t-il demandé.
Lu a expliqué : « Quand vous avez adhéré au Parti, vous avez fait un vœu en levant le poing sous le drapeau du Parti. Vous avez juré de donner votre vie au Parti. Vous êtes devenu un membre du Parti. Plus il y a de gens qui adhèrent au Parti, plus fort il devient. Avec des millions de membres comme vous, le Parti devient imperméable à tout appel à la raison et persécute le peuple chinois. Vous pouvez dire que vous avez été forcé d’y adhérer, mais maintenant que vous avez appris sa nature perverse, vous êtes libre de faire un nouveau choix. C’est votre propre choix. Donc si vous ne démissionnez pas, vous n’aurez pas d’excuse quand vous deviendrez un bouc émissaire dans le futur et que vous serez impliqué. Réfléchissez-y bien et prenez votre propre décision dont dépendra votre futur et votre sécurité. »
« Ma sœur, vous m’avez convaincu. Je veux démissionner du PCC. » Il a sorti un petit morceau de papier de la poche intérieure de sa veste et l’a tendu à Mme Lu. « Voici le pseudonyme que je veux utiliser pour démissionner du PCC. »
Il a regardé attentivement Mme Lu écrire le pseudonyme sur un formulaire pour démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Ceci fait, il a encore remercié Mme Lu. Ses yeux étaient rouges et humides.
Un père et sa fille adolescente
Mme Tsu Yupei est une artiste qui vient chaque semaine sur le site pour aider les Chinois à démissionner du PCC.
Mme Tsu Yupei est une pratiquante et aussi une artiste qui vient sur le site chaque semaine. Il y a environ un mois de cela, elle a rencontré deux touristes, un père et sa fille. Voyant qu’ils avaient lu les panneaux d’affichages pendant un bon moment, Yupei a salué le père, un homme grand et charmant. Il a dit qu’il avait déjà démissionné du PCC. Il a désigné la jolie fille et a dit : « C’est ma fille. » Il s’est alors éloigné, mais les observait à distance dans l’expectative.
Yupei a discuté avec la jeune fille, elle a répondu à ses questions concernant le Falun Gong et a clarifié ses doutes qui avaient été nourris par la propagande du PCC. À la fin, Yupei lui a dit : « Votre père est un homme sage. Il a déjà démissionné du PCC. Êtes-vous disposée à démissionner de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers pour assurer votre sécurité et une vie réussie ? » Elle a accepté et a démissionné de ces deux organisations affiliées. Le père est alors revenu, et ils ont pris quelques imprimés supplémentaires à lire.
Un autre jour, une touriste, qui semblait avoir la quarantaine, semblait plongée dans une profonde réflexion assise sur une marche en pierre à côté du site de clarification de la vérité. Mme Tsu a remarqué qu’elle avait parlé aux pratiquants et en avait appris beaucoup concernant le PCC et la persécution du Falun Gong, mais n’avait pas encore accepté de démissionner du PCC.
Yupei s'est approchée d'elle et lui a dit : « C’est (démissionner du PCC) réellement capital pour votre sécurité et votre vie. Vous devriez être courageuse et faire le bon choix. » La femme a levé la tête pour regarder Yupei et a dit : « J’ai décidé. Je démissionne ! » Elle a tenu les mains de Yupei dans les siennes et l’a remerciée : « J’ai surmonté beaucoup d’obstacles idéologiques. Je suis enfin libérée ! »
Une bénévole : Faire connaître les bienfaits de Dafa aux autres
Mme Lu Shu, 72 ans, a fréquenté le site presque tous les jours ces sept dernières années. Elle était entrepreneure d’une usine de vêtements prospère quand elle avait 33 ans. Mais sa santé et sa richesse ont pris des directions opposées.
À 55 ans, elle souffrait de toutes sortes de maladies, dont de l’insomnie, des allergies, de l’urticaire et des douleurs dorsales, elle était dépendante des médicaments. Un jour de 1997, elle n’a plus pu supporter cette douleur interminable, ces démangeaisons, le nez qui coule, les douleurs d’estomac et le mal de dos, elle a tenté de se suicider en prenant une overdose de comprimés. Mais elle a été réanimée. En entendant parler de sa tentative de suicide, sa grande sœur qui vit dans la ville de Keelung lui a envoyé par e-mail le livre Zhuan Falun.
Curieuse, elle a ouvert le livre et a immédiatement été attirée par les exercices de cultivation. En l’espace d’une semaine après avoir commencé à pratiquer les exercices, son insomnie avait disparu. En trois mois, toutes ses maladies avaient disparu. À part le fait d’avoir récupéré au niveau de sa santé physique, Lu Shu a également bénéficié d’une élévation spirituelle. « Après avoir cultivé dans le Falun Dafa, j’ai finalement compris la valeur et la signification de la vie. Et j’ai trouvé la direction de la vie. »
Lu Shu, 72 ans, aide tous les jours les touristes chinois à démissionner du PCC à la Résidence présidentielle de Shilin.
« Des exercices aussi beaux et aussi formidables ont été calomniés et persécutés par le Parti communiste chinois. Les pratiquants de Falun Gong en Chine sont soumis à la torture et à l’incarcération, même au prélèvement forcé de leurs organes. Les Chinois ont été trompés par la propagande du PCC et seront enterrés quand le PCC ira à sa fin. Je me sens dans l’obligation de leur dire la vérité et de sauver ainsi leurs vies. »
Traduit de l'anglais en Europe
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