(Minghui.org) Du 6 au 8 juin 2014, les pratiquants de Falun Gong ont organisé un événement de trois jours pour clarifier la vérité au Parc national du Grand Canyon en Arizona, l'un des parcs nationaux les plus visité aux États-Unis. Les banderoles colorées, les panneaux d'information et la présentation pacifique des exercices du Falun Gong ont attiré de nombreux visiteurs qui ont exprimé leur appui aux efforts des pratiquants du Falun Gong pour dénoncer la persécution en Chine.

Une activité clarifiant la vérité au Grand Canyon

Un homme âgé du Japon a vu la banderole « Falun Dafa est bon » et a dit à un pratiquant en anglais : « Je suis très surpris de voir (le Falun Gong) ici. Vous avez dû parcourir une longue distance pour venir ici. Je sais que la persécution du Falun Gong en Chine est très mauvaise. »

Un couple d'Américains a lu les panneaux d'information pendant un certain temps. Ils ont dit avoir séjourné dans de nombreux endroits et avoir rencontré des bénévoles de Falun Gong à maintes reprises. « Aujourd'hui, j'ai décidé que je veux apprendre ce qu'est le Falun Gong. Puis-je avoir un dépliant pour pouvoir le lire en rentrant chez moi, » a demandé le mari.

Un couple de Vietnamiens, leurs parents et leurs enfants du Texas visitaient le Grand Canyon. Ils ont reconnu les t-shirts jaunes des pratiquants et sont venus discuter avec l'un d'eux. « Le Parti communiste chinois est vraiment pervers. Ils prélèvent des organes sur des gens (pratiquant le Falun Gong) vivants. C'est très cruel. Je vous soutiens. Vous devez permettre à davantage de personnes de connaître (les actes pervers du PCC), » a dit le mari.

Un groupe de touristes de la Chine est arrivé le 7 juin. Certains d'entre eux semblaient stupéfaits de voir des banderoles de Falun Gong. L'un d'eux a dit à son ami : « Vient voir ! Il y a (des pratiquants) de Falun Gong aux États-Unis ! »

Dans le groupe, une Chinoise d'une cinquantaine d'années a hésité devant le site pendant un bon moment et a finalement demandé à un pratiquant de l'aider à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées en disant qu'elle ne voulait pas manquer l'occasion de démissionner du PCC pendant qu'elle se trouvait à l'étranger.

Un pratiquant a parlé à M. Wu, un étudiant chinois et lui a demandé s'il avait entendu parler des démissions du PCC. Il a souri et a dit qu'il avait déjà démissionné à Los Angeles. « J'avais un logiciel pour contourner le blocus de l'Internet quand j'étais en Chine. J'ai lu des informations sur Epoch Times et NTD. J'ai démissionné du PCC à Los Angeles. Je sais que cela peut m'aider à être en sécurité et à réussir dans la vie, » a dit M. Wu.

Son ami, un étudiant chinois de la province du Anhui a souligné qu'il était vraiment difficile de trouver un emploi en Chine, où il faut soudoyer les responsables pour être engagé : « C'est un grand fardeau pour les Chinois ordinaires. La majorité de ces responsables corrompus déplacent leur famille et leur argent dans des pays étrangers. »

Un couple de Chinois qui écoutaient la conversation du pratiquant et des deux étudiants ont souri et ont renchéri : « Tu as raison. À cause du blocus de l'information des autorités chinoises, nous avons appris beaucoup de choses rien qu'en allant à l'étranger. Maintenant, nous savons que nous pouvons pratiquer librement le Falun Gong dans tous les pays, sauf la Chine. »

Deux jeunes Américains ont parlé aux pratiquants en chinois. L'un d'eux a dit : « Nous avons enseigné l'anglais en Chine pendant deux ans. Nous n'étions pas autorisés à parler du Falun Gong. Au départ, je ne savais pas pourquoi. Plus tard, je suis allé à Taïwan et j'ai vu le Falun Gong partout. J'ai appris la vérité sur la persécution et je sais que le Falun Gong est bon. » Il a dit qu'il voulait apprendre les exercices et a pris un dépliant.

Traduit de l'anglais au Canada