(Minghui.org) « Le Parti communiste chinois (PCC) va vous écraser comme un insecte ! » a crié Jiang Lili, une garde du centre de lavage de cerveau de la province du Hubei en Chine. « Après vous avoir assassinés, les pratiquants de Falun Gong, il va prétendre que vous vous êtes suicidés ; ensuite, il livrera vos cendres à votre famille dans une petite boîte ! »
Les gardes de sexe féminin dans les prisons, les centres de lavage de cerveau et les camps de travaux forcés en Chine mettent impunément en œuvre la persécution du PCC contre le Falun Gong.
L'attitude sévère et caustique est étonnamment similaire à celle des malfaiteurs de sexe féminin durant la Deuxième guerre mondiale, tel que noté par l'historienne Kathrin Kompisch dans son livre : Perpetrators : Women Under National Socialism (en français : Auteurs de crimes : Les femmes sous le socialisme national). Son livre documente le rôle honteux joué par les Allemandes pendant le Holocauste.
La même cruauté perdure en Chine aujourd'hui. Les gardes ne montrent aucune retenue en torturant les pratiquants et poussent les détenus criminels à participer à la persécution. En conséquence, des milliers de pratiquants sont devenus handicapés, d'autres ont souffert de dépression et beaucoup sont décédés.
Voici quelques-unes des nombreuses femmes qui participent activement à la persécution du Falun Gong :
Jiang Lili
La garde Jiang Lili travaillait au camp de travaux forcés de Shayang avant d'être transférée au centre de lavage de cerveau du Hubei. « Ne vous avisez pas de parler de la loi ! » s'est-elle exclamée en s'adressant à un groupe de pratiquantes : « Ne savez-vous pas que la police, le Parquet et les juges appartiennent à la même famille ? » Ils relèvent tous de la juridiction du Comité des affaires politiques et juridiques.
« S'ils le veulent, ils peuvent vous envoyer dans un hôpital, prélever vos organes, ensuite incinérer votre corps, tout comme ils l'ont fait à Sujiatun. Que pouvez-vous y faire ? » a ajouté Jiang.
Lorsqu'une pratiquante âgée a crié : « Falun Dafa est bon », Jiang Lili et la garde Peng Gang l'ont immédiatement électrocutée avec des matraques électriques. Jiang a ensuite frappé la pratiquante au visage avec tant de force qu'elle lui a disloqué la mâchoire.
« Je n'ai pas peur d'aller en enfer ni de recevoir des rétributions ! » a crié Jiang en battant Mme Wang Xiaoming en juillet 2010. Elle a ensuite saisi Mme Wang par les cheveux pendant que la garde Deng Qun l'a battait cruellement.
Deng Qun a placé le pied d'un tabouret directement sur le pied enflé de Mme Wang, puis a sauté sur le tabouret, pendant que Jiang tirait les cheveux de Mme Wang de toutes ses forces.
Liu Ziwei
Liu Ziwei était la directrice de la première équipe du camp de travaux forcés pour femmes du Hebei avant d'être transférée dans la troisième équipe. Elle est bien connue pour torturer les pratiquantes.
Liu couramment ordonne aux pratiquantes de se déshabiller et tire sur leurs poils pubiens. Elle électrocute les mamelons des pratiquantes avec des matraques électriques et les abuse sexuellement. Elle force aussi les pratiquantes à courir à l'extérieur sous un soleil de plomb ou à se tenir debout par temps glacial vêtues de très peu ou d'aucun vêtement.
Dès que Liu est de mauvaise humeur, elle bat et maltraite les pratiquantes à tort et à travers.
Liu et les gardes Chaos Yali et Liu Yufen ont enlevé les vêtements de Mme Zhang Yanchun de force et ont découpé ses sous-vêtements. Ensuite, ils l'ont électrocutée avec des matraques électriques pendant 40 minutes.
Reconstitution de torture : Électrochocs avec des matraques électriques
Mme Zhang a commencé à trembler et est devenue extrêmement pâle. Ils l'ont plus tard suspendue et battue jusqu'à ce qu'elle perde connaissance dans une petite cellule sans fenêtre. Son corps a enflé et était couvert de coupures et d'hématomes.
Le lendemain, Liu a frappé Mme Zhang au visage avec tant de force qu'il était difficile de la reconnaître.
Liu a aussi ordonné à deux détenus de battre Mme Zhang et de l'abuser sexuellement. Liu a ensuite piqué les bras de Mme Zhang avec un peigne de métal aiguisé ce qui l'a fait saigner à profusion.
Qiu Ping
Qiu Ping, chef d'équipe au camp de travaux forcés pour femmes de Masanjia, a déjà été interviewée par China Central Television (CCTV), le porte-parole officiel du PCC.
« Au cours des trois dernières années », a dit l'animateur, « Qiu Ping a 'transformé' avec succès environ 100 pratiquantes de Falun Gong détenues dans le camp de travaux forcés pour femmes de Masanjia. Ces ex-pratiquantes sont ensuite retournées dans la société. »
L'animateur a continué : « Le camp de travail a reçu 10 000 yuan pour chaque pratiquante transformée. Ainsi, Qiu Ping a aidé à générer un revenu de près d'un million de yuan pour son unité de travail. »
En 2000, lorsque Mme Zou Guirong a refusé de renoncer à sa croyance, les gardes l'ont forcée à se tenir debout dans le corridor jusqu'après minuit. Qiu Ping a utilisé quatre matraques électriques pour électrocuter Mme Zou et l'ont ensuite forcée à s'accroupir pendant un long moment. Qiu a plus tard ordonné à plusieurs détenus de battre Mme Zou à tour de rôle avec des bâtons en bois. En conséquence, son visage et ses yeux ont enflé et ses bras étaient couvert d'hématomes.
Reconstitution de torture : Forcé de s'accroupir pendant de longues périodes
Qiu Ping et quelques autres ont emmené Mme Su Juzhen à l'hôpital de la ville de Shenyang. Qiu a déclaré que Mme Su avait besoin de traitements psychiatriques. Là-bas, ils ont aidé les médecins à forcer Mme Su à ingérer des substances inconnues, ce qui a gravement affecté son système nerveux.
Peu de temps après, Mme Su a souffert d'une dépression. Elle était incapable de bouger les membres et avait les yeux vitreux.
Plus tard, les gardes ont ordonné à Mme Su de maintenir la position accroupie. Dès qu'elle essayait de s'appuyer sur ses genoux pour s'aider à rester en équilibre, la garde Tong Yanling lui frappait les mains avec un bâton. Les gardes ont plus tard forcé Mme Su à s'accroupir pendant un mois, depuis tôt le matin à 21 h le soir.
Qiu Ping a électrocuté Mme Su avec des matraques électriques, ce qui a couvert son corps de marques de brûlures.
En 1999, Qiu Ping a forcé Mme Shi Yingchun à écrire une lettre dans laquelle elle acceptait de ne plus pratiquer le Falun Gong. Mme Shi a regretté plus tard sa décision et sentait qu'elle avait trahi sa conscience. Lorsque Qiu a vu que Mme Shi pleurait, elle a utilisé cela comme prétexte pour l'envoyer dans un hôpital psychiatrique pour la faire « soigner ». À son retour au camp de travail, Mme Shi a été forcée de prendre un assortiment de médicaments.
Les pratiquants qui refusent d'abandonner leur croyance sont désignés comme souffrant de « maladies psychiatriques » à Masanjia. Les pratiquants se font ensuite injecter des substances invalidantes qui détruisent leur système nerveux.
Reconstitution de torture : Injection de substances inconnues
Au moins 34 pratiquants ont souffert de dépression à Masanjia au cours des treize dernières années en conséquence des substances inconnues qu'ils ont reçues.
Su Jing
Su Jing, ancienne directrice du camp de travaux forcés de Masanjia a reçu une récompense de 50 000 yuan par le PCC pour son traitement particulièrement cruel des pratiquantes de Falun Gong. Plus tard, elle a aussi remporté la deuxième place dans la compétition des « Héros nationaux » pour son rôle dans le meurtre de Mme Gao Rongrong en 2005.
Le média de l'État a un jour présenté un programme appelé « Hors de Masanjia », qui révélait les raisons derrière le soi-disant succès du camp de travail de Masanjia. Des responsables du camp ont expliqué avec fierté que tous les employés là-bas connaissent bien les raisons derrière l'utilisation de la torture pour atteindre leur objectif. Cela inclut d'utiliser les électrochocs, « la torture du chevalet », le « banc du tigre », le « lit de mort » et de forcer les détenus à s'accroupir dans de petites cellules pendant de longues périodes.
Tout au long des dix années de travail de Su Jing à Masanjia, des dizaines de pratiquants sont décédés et des centaines ont été mutilés ou ont subi des dépressions nerveuses.
Zhang Xiaofang
Zhang Xiaofang est la directrice de la septième équipe du camp de travaux forcés pour femmes de Nanmusi dans la ville de Zhaoyuan. Elle est souvent désignée comme étant « méchante » et « impitoyable », pourtant elle a remporté le prix des « 10 meilleures jeunes gardes » pour sa « capacité extraordinaire à transformer les pratiquantes ».
Parmi les quelques méthodes de torture employées par Zhang, il y a prolonger les heures de travail des pratiquantes, augmenter leur charge de travail, suspendre les pratiquantes, les battre avec des bâtons en bois, les électrocuter avec des matraques électriques, asperger leur visage de macis, les menotter, les placer en cellule d'isolement et les forcer à se tenir debout devant un mur pendant plus de 18 heures de suite.
Lors des mois glacés de l'hiver, Zhang transférait quelques pratiquantes dans des petites pièces où pénétrait le vent glacial. Les détenues recevaient l'ordre de déshabiller les pratiquantes, de leur attacher les mains derrière le dos, de les forcer à s'asseoir avec les jambes en lotus, ainsi que de leur attacher une corde autour du cou et de la nouer fermement à leurs pieds.
Reconstitution de torture : Les pratiquants sont attachés fermement
Les pratiquantes restent ainsi pendant plus de 24 heures de suite. Les détenus couvrent aussi la bouche des pratiquantes avec du ruban adhésif d'emballage pour étouffer leurs cris.
Lorsque les pratiquantes sont finalement détachées, certaines d'entre elles ne peuvent plus bouger et doivent être transportées jusqu'à leur cellule. Beaucoup d'entre elles ont besoin de plus d'un mois pour que leur corps se remette de cette horrible épreuve.
Zhang a forcé les pratiquantes à boire plusieurs verres d'eau, les uns après les autres et leur a ensuite interdit d'aller aux toilettes. Certaines pratiquantes ne pouvaient pas contrôler leur vessie et ont uriné. Ensuite, des détenues ont pressé la tête des pratiquantes vers le bas dans l'urine au sol. Ils ont ensuite déshabillé les pratiquantes et ont utilisé leurs vêtements pour essuyer l'urine.
Le 25 avril 2003, Mme Zhu Yinfang, une pratiquante âgée de plus de 40 ans a été emmenée dans la septième équipe. Lorsqu'elle a essayé de protester contre les coups et la torture, douze détenues ont reçu l'ordre de la gaver avec de grandes quantités de sel. Mme Zhu est décédée dans les 36 heures qui ont suivi.
Song Shuqin
Song Shuqin est la directrice du centre de lavage de cerveau de Linglong dans la province du Shandong. Elle a toujours persécuté activement les pratiquantes et beaucoup d'entre elles sont devenus handicapées. À plusieurs occasions, elle a volontairement injecté des substances mortelles aux pratiquantes.
Après trois ans de travail, Song Shuqin a gravement torturé plusieurs centaines de pratiquantes, dont des femmes âgées et des adolescentes.
En 2001, Song a ordonné à huit détenues de l'aider à battre deux pratiquantes avec des bâtons et des manches à balai. À un certain moment, les détenues étaient si exténuées qu'elles se sont arrêtées pour se reposer. Cependant, Song a continué à battre les pratiquantes sans relâche.
Song Shuqin a plus tard enlevé ses souliers à talon haut et a commencé à frapper violemment les pratiquantes au visage avec les talons jusqu'à ce qu'elles soient couvertes de sang. La bouche des pratiquantes était si enflée qu'elles ne pouvaient pas l'ouvrir pour manger. Song a profité de cette excuse pour les gaver.
Reconstitution de torture : Gavage
Chaque fois que des pratiquantes commençaient à saigner du nez en raison du gavage, Song les forçait à se tenir debout devant un mur pendant 6 jours et 6 nuits. Si elles fermaient les yeux, elles se faisaient battre avec un bâton. Si les pratiquantes vomissaient en raison des coups, Song les forçait à manger leur propre vomissure.
Song Shuqin a un jour menotté deux pratiquantes à un banc du tigre pendant plus de 10 jours.
En septembre 2002, Song Shuqin a injecté des substances à une pratiquante ce qui lui a causé des douleurs dans tout le corps et sa peau est devenue jaunâtre et bleue. Song l'a ensuite ligotée à une chaise de fer pendant plus de 7 heures.
Reconstitution de torture : Injections forcées
Pendant les 12 jours qui ont suivi, la pratiquante n'avait pas l'autorisation de fermer les yeux ni d'aller aux toilettes. Song l'a ensuite enfermée pendant 105 jours et lui a extorqué 2 500 yuan.
Song Shuqin a extorqué de l'argent à plus de 1 000 pratiquantes dans le centre de lavage de cerveau et n'a jamais émis de reçu officiel pour l'argent qu'elle a pris. Elle a plus tard été promue au poste de directrice adjointe du Bureau 610 local et désignée comme étant l'une des « Dix héroïnes les plus extraordinaires de la ville de Zhaoyuan ».
Traduit de l'anglais au Canada
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