(Minghui.org) « Simple, solide, ouvert et généreux. » Tels étaient quelques-uns des commentaires les plus courants des pratiquants qui ont participé à la Conférence de Falun Dafa du Canada 2014.

La conférence a eu lieu à l'Université de Toronto le 23 août. Des pratiquants de nombreuses villes de l'est du Canada et certains de l'ouest du Canada ont participé à l'événement. Plusieurs participants ont dit qu'ils avaient découvert d'énormes écarts entre leur propre pratique et les expériences présentées par les intervenants. Pour eux, cela signifiait une détermination renouvelée à pratiquer encore plus diligemment.

Partage inspirant

Mme Liao qui travaille pour une agence de médias a déclaré : « En tant que pratiquante de Dafa, écouter le partage des autres est très inspirant. J'ai beaucoup appris. Cela me rappelle d'être plus diligente afin de pouvoir sauver plus d'êtres. Même si j'ai travaillé très dur dans des projets de médias, je sens que j'ai surtout travaillé et j'aurais pu pratiquer plus dans le processus. »

Nous devons constamment faire des percées

« J'ai maintenant un sentiment d'urgence de clarifier les faits aux gens en personne, » a déclaré M. Hong de Montréal.

Il a dit qu'il est en permanence confronté à des défis dans sa pratique. Faire des percées est une exigence constante. Pour ce faire, l'étude de Fa est un plus. Alors qu'il a commencé à mémoriser le Fa sur son trajet, il a changé pour seulement lire, car c'était plus facile. Cependant, il s'est rendu alors compte que la simple lecture ne suffisait pas pour qu'il assimile le Fa de tout son coeur.

Il a alors repris la mémorisation de Fa. Bientôt, il a retrouvé le sentiment merveilleux d'être immergé dans le Fa. « Quand je mémorise le Fa, je sens que tout dans mon environnement est calme, comme si l'air était gelé. Rien n'est dans mon esprit : seul le Fa qui coule tranquillement dans mes pensées. »

Il a également surmonté sa personnalité introvertie et est devenu un coordinateur local : « Je me suis demandé pourquoi je ne pouvais pas faire un travail de coordination quand il y a besoin de coordinateurs ? J'ai cherché à l'intérieur et j'ai trouvé beaucoup d'attachements cachés : j'avais peur d'avoir des responsabilités, peur de la responsabilité. J'étais attaché au confort. Cela m'a aidé à voir à travers les véritables raisons. Quand je fais réellement le travail, je trouve que ce n'est pas aussi difficile que je le pensais. Je sais que le Maître m'aide. La première étape a été difficile à franchir. Nous devons repousser sans cesse nos notions égoïstes pour marcher sur un chemin de cultivation et pratique juste. »

Équilibrer le travail et bien pratiquer

Mme Wang a commencé à pratiquer le Falun Dafa quand elle était en 6e année. Elle a dit que le partage des pratiquants était comme un miroir et lui donnait l'inspiration sur la façon de résoudre ses problèmes actuels.

Elle et son père ont cessé de pratiquer Dafa par crainte après le lancement de la persécution à l'échelle nationale en juillet 1999 en Chine. Elle a alors été très malheureuse. Elle a renoué avec le Falun Dafa en 2007, pendant son apprentissage, son superviseur direct était un pratiquant de Dafa.

Après être arrivée au Canada en 2011, elle a entendu les enseignements du Maître en personne deux fois et en savait plus sur la valeur de la pratique et de la solennité de la mission de sauver les êtres.

Elle a été embauchée par une entreprise de comptabilité à la réputation internationale et devait travailler beaucoup d'heures chaque semaine. Concilier le travail et la pratique est devenu un défi. Elle s'est rendu compte qu'elle devait d'abord et avant tout se traiter elle-même comme une pratiquante, alors elle devrait être en mesure d'être une bonne employée et une bonne pratiquante en même temps.

Traduit de l'anglais au Canada