(Minghui.org) Je m'appelle Lotus, et je suis une pratiquante de Falun Dafa d'une petite ville du nord-est de la Chine. Un jour, alors que nous marchions avec une compagne de cultivation, nous avons été heurtées par une voiture venant en sens inverse. Nous avons été projetées à environ quatre mètres. J'ai atterri sur la tête et le dos, et j'ai été assommée. Ma compagne de cultivation avait du sang sur tout le visage, mais était moins gravement blessée.
Elle s'est réveillée la première et était entourée de gens qui étaient en train d'appeler une ambulance. Ses premiers mots ont été : « Nous sommes des pratiquantes de Falun Dafa, protégées par notre Maître. Nous n'avons pas besoin d'ambulance, et nous ne voulons mettre personne en difficulté. » Elle a répété ses propos.
Je me réveillais et je pouvais l'entendre. Ma première pensée a été : « Je suis une pratiquante de Dafa, je dois me lever, nous sommes protégées par notre Maître ! » J'ai bataillé pour simplement m'asseoir et puis j'ai dit : « Nous sommes des pratiquantes de Falun Dafa. Nous ne voulons pas d'ennuis pour le chauffeur qui nous a heurté. Nous allons bien, et nous n'avons pas besoin d'aller à l'hôpital. »
Le conducteur, les passants, et quatre jeunes policiers ont été surpris. Ils disaient que nous avions failli mourir mais tout ce à quoi nous pensions était de ne pas faire d'ennuis au chauffeur. Ils disaient que les pratiquants de Dafa étaient si bons !
Alors le conducteur de l'autre véhicule, en larmes, a dit : « J'avais entendu des gens dire que le Falun Dafa est bon, mais aujourd'hui je le vois de mes propres yeux. Le Falun Dafa et vraiment bon, et les pratiquants sont si gentils ! »
Une ambulance avait néanmoins été appelée, donc j'ai décidé de profiter de l'occasion pour valider Dafa et sauver les autres. Je voulais transformer cette apparemment mauvaise chose en quelque chose de bon.
Nous avons été emmenées dans le service de soins intensifs d'un hôpital. J'ai dit au médecin que je n'avais pas besoin de soins médicaux. Le médecin ne voulait pas écouter, et m'a demandé les numéros de téléphone de ma famille, pour qu'il puisse les avertir. Je les ai fournis.
Quand ils ont entendu parler de l'accident, ma famille s'est précipitée à l'hôpital. Ils voulaient aider pour les frais médicaux. Un parent proche a proposé de donner 1000 yuans, un autre voulait donner 2000 yuans. Ce ne sont pas des personnes fortunées, et je leur ai dit que je ne pouvais pas prendre leur argent. Je voulais qu'ils gardent leur argent pour les frais de scolarité de leurs enfants. Une des familles avait déjà un enfant qui fréquentait une université et était à court d'argent. Elle était émue aux larmes de ma prévenance.
Quelques membres de ma famille ont demandé au chauffeur de payer les frais médicaux. Je les ai arrêtés, et j'ai dit au conducteur que je ne le blâmais pas pour l'accident, et qu'il était libre de partir. Le conducteur s'est effondré et s'est mis à genoux. Il a dit : « Je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi bienveillant que vous. J'ai plusieurs milliers de yuans, s'il vous plaît, acceptez mon argent. » J'ai refusé et je lui ai expliqué que j'étais une pratiquante et que je faisais tout mon possible pour prendre les autres en considération d'abord.
J'ai alors demandé au chauffeur s'il avait rejoint le Parti communiste chinois (PCC) ou ses organisations affiliées. J'ai dit que j'aimerais l'aider à démissionner, ainsi il serait en sécurité quand le PCC sera éliminé. Le conducteur n'avait rejoint que les Jeunes pionniers et a accepté d'en démissionner.
Un membre de ma famille travaillait dans cet hôpital. Elle est venue me rendre visite, et a proposé que je reste avec elle, à son domicile, quelques jours ; j'ai donc quitté l'hôpital et je suis allée chez elle.
Je suis restée avec elle pendant cinq jours avant de retourner chez moi. Je me sentais mal, et mon corps semblait douloureux de partout. J'ai profité de chaque petit moment pour étudier le Fa et pratiquer les exercices. Après être rentrée chez moi, j'ai pensé que je devais expliquer les faits sur le Falun Gong aux chauffeurs de l'entreprise. J'ai pris quelques documents d'information avec moi et je suis allée les voir. Ils pouvaient voir que mon visage était encore contusionné, et ils étaient surpris que je sois de nouveau sur pieds. Ils m'ont dit de rentrer chez moi et de me reposer : « Nous allons diffuser cette information pour vous. »
J'en ai profité pour expliquer la vérité sur le Falun Dafa et la persécution à de nombreux conducteurs, transformant ainsi l'accident en une bonne chose pour tous.
De plus, j'ai senti que l'accident avait ouvert davantage mon esprit. J'ai compris les enseignements du Maître sur la structure de l'univers que je n'avais pas compris auparavant. Dafa est vraiment incroyable !
Traduit de l'anglais en France.
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