(Minghui.org) Beaucoup de gens qui me voient disent que je semble n'avoir que 23 ans. Lorsque je leur dis mon âge véritable, ils deviennent envieux. En réalité, j'ai 35 ans ! Pourquoi est-ce que je parais si jeune ?
Dès mon plus jeune âge, j'ai toujours bénéficié d'une bonne santé. Je travaillais bien aussi à l'école. Plus tard dans la vie, j'ai eu un bon travail et fait un heureux mariage. Je me sentais heureuse et chanceuse !
En 2005, en raison de mes excellentes performances, l'entreprise de vente au détail pour laquelle je travaillais m'a promu à un poste de direction important. À 25 ans, j'étais la plus jeune de tous les directeurs de magasins.
J'ai continué à bien faire et en moins de trois mois, le volume de ventes de mon magasin a crû de plus de 100 000 par mois. Cela a attiré l'attention des cadres de l'entreprise qui ont commencé à me tenir en particulièrement haute estime. Ils me regardaient, moi une jeune fille, avec respect et admiration. Je suis devenue comme une petite célébrité au sein de l'entreprise et j'ai fait l'envie de beaucoup de personnes autour de moi.
Mais alors, au sommet de ma carrière, mon corps a commencé à se détériorer. J'ai étudié la médecine et je prenais des médicaments chaque jour, mais j'attrapais toujours une quelconque maladie inexplicable. Je me sentais très fatiguée, mon immunité était faible et j'attrapais facilement et constamment des rhumes.
Mes collègues ont remarqué : « Vous êtes malade 28 jours par mois ! »
En même temps, j'ai commencé à avoir des difficultés à respirer. Si je marchais un peu rapidement, j'étais à bout de souffle et j'avais presque l'impression de suffoquer. Quand je montais les escaliers vers mon appartement, je devais faire une pause deux ou trois fois avant de pouvoir arriver à ma porte d'entrée.
Je connaissais la médecine, je prescrivais donc mes propres médicaments. Le problème était que ma santé s'améliorait avant de rechuter. Je devenais de plus en plus frustrée.
Je suis allée à l'hôpital passer un examen complet, mais aucun problème n'a été découvert. Alors, pourquoi étais-je dans cet état ? Que m'arrivait-il ? J'étais très confuse.
J'allais encore travailler chaque jour, mais je passais aussi du temps à chercher des remèdes. J'ai aussi commencé à prendre des compléments alimentaires, mais rien n'a aidé.
En réalité, mon état empirait. Je n'arrivais pas à passer une bonne nuit de sommeil. Je ne pouvais pas me coucher sinon je ne pouvais plus respirer. Je pouvais seulement faire de petites siestes debout en étant soutenue. Je me sentais si mal en général que je souhaitais mourir.
Mon mari plaçait souvent doucement sa main devant mon nez pour voir si je respirais encore au milieu de la nuit, avec la peur de me réveiller parce qu'il était très difficile pour moi de m'endormir. Il était très inquiet que j'arrête de respirer à tout moment.
Plus tard, je pouvais seulement m'asseoir sur le bord de mon lit ou me coucher sur le ventre sur le lit pour trouver un peu de sommeil. Même alors, j'avais des difficultés à m'endormir.
Parfois, lorsque je luttais pour respirer, je faisais un bruit sourd dans la gorge et j'avais des difficultés à trouver mon souffle. Si cela se produisait, je devais aller directement à l'hôpital pour recevoir une injection. L'injection n'était rien d'autre qu'une mesure d'urgence. En quelques jours, je revenais dans le même état qu'avant.
À cette époque, mon teint était sombre et mes lèvres étaient grises. Telles étaient les manifestations des réactions adverses aux médicaments. J'étais tourmentée physiquement et mentalement.
Je me lamentais : « Quand tout cela va-t-il finir ? Je suis si jeune. J'ai une bonne famille et un bon travail. Pourquoi suis-je si malchanceuse ? »
J'ai pensé au suicide plusieurs fois. Je voulais prendre des somnifères pour mettre fin à ma vie et me libérer de tous ces problèmes médicaux. Mais mon instinct de survie m'a fait hésiter avant de me tuer.
Je pensais : « Je suis torturée par les maladies et je suis dans la constante angoisse physique et mentale de représenter un fardeau pour mon mari. Il est un homme bon. Je ne veux pas le blesser, le traîner dans cette misère... Mais je ne veux vraiment pas mourir. Je ne veux pas quitter mon père et ma mère. Je ne veux pas quitter ce monde... »
Bien que mon désir de vivre m'ait aidé à me soutenir, il m'a aussi poussé devant un dilemme. J'étais dans un désespoir absolu. Seule une personne qui aurait enduré une expérience similaire pourrait arriver à comprendre la douleur dans mon cœur et la situation difficile dans laquelle j'étais.
J'ai continué de traîner la lourde coquille de mon corps, jour et nuit. En 2008, j'ai finalement pris la décision de démissionner de mon travail.
Je me suis forcée à penser de façon optimiste : « Je suis simplement trop fatiguée par mon travail. Je vais bien me reposer. Après un moment, je serai comme neuve. »
Dès lors, je suis restée à la maison et ne faisais presque rien. Je passais mes journées à regarder la télévision et à faire des siestes, me sentant inutile. Ma vie ne semblait plus vraiment valoir la peine d'être vécue.
Mon mari me préparait les repas pour la journée avant de partir pour le travail. Lorsqu'il rentrait, il préparait notre repas du soir et faisait la vaisselle.
Notre appartement se trouvait au premier étage. Pendant les deux premières semaines, je suis restée principalement sans bouger, parce que j'étais complètement exténuée si j'essayais de marcher la moindre distance. Je craignais aussi que les autres soient bouleversés de voir à quel point je semblais malade. Je marchais donc un peu autour de la maison et je prenais parfois le soleil sur notre porche, me sentant totalement inutile et sans espoir.
Par un frais matin d'été, j'étais encore embrouillée de sommeil et il m'a semblé avoir entendu le bruit d'enfants en train de jouer, quelqu'un parler, quelqu'un rire. Il m'a semblé aussi entendre des oiseaux chanter dehors sous le porche. Involontairement, j'ai évoqué une belle image. Je me suis levée lentement et suis sortie sous le porche.
J'ai levé les yeux vers le ciel bleu ensoleillé. J'ai baissé les yeux et j'ai vu une mère folâtrer avec son enfant et des gens parler. Je n'ai pas pu retenir mes larmes. Je me sentais si triste.
J'ai pensé en moi-même : « Un soleil si chaud, un air si frais, mais je suis ici et je ne peux pas sortir pour en profiter, ni même respirer librement. Pourquoi est-ce que je vis ? »
J'étais véritablement désespérée. Puis une compréhension s'est éveillée en moi. La vie est la chose la plus précieuse et la chose la plus précieuse dans la vie est la santé. Rien d'autre n'a d'importance.
Trois mois ont passé et tout est resté pareil. Je ne faisais rien et je n'allais nulle part. À l'occasion, je laissais mon mari m'emmener pour une promenade.
Plus de six mois plus tard, mon mari m'a pressée de commencer à pratiquer le Falun Dafa. La première fois qu'il m'a demandé cela, je n'étais pas intéressée et je n'ai pas écouté.
Je pensais : « Je me sens si fatiguée chaque fois que je fais le moindre mouvement. Les exercices de Falun Dafa impliquent tant de mouvements. Il n'y a aucune chance que je puisse faire cela. »
Mon mari pratiquait le Falun Dafa depuis plus de dix ans. C'était un fait indiscutable que je ne l'avais jamais vu malade. Je l'avais toujours envié pour cela.
La deuxième fois que mon mari m'a exhortée à pratiquer les exercices du Falun Dafa, il a suggéré que j'essaie d'en faire autant ou juste ce que je pouvais. Juste par gratitude envers le fait qu'il se soit occupé de moi pendant si longtemps, si bien, si gentiment, si patiemment et avec tant de prévenance, j'ai fini par accepter.
J'ai suivi la musique et j'ai fait les quatre premiers exercices pendant une heure. Je ne me sentais pas fatiguée, mais j'avais chaud. J'ai pensé que c'était parce qu'il faisait plutôt chaud.
Par miracle, cette nuit-là, j'ai dormi toute la nuit en étant couchée !
En écrivant ceci, je suis toujours émue aux larmes. Pendant tant de jours et de nuits, je n'ai rien pu faire d'autre que rester assise, m'allonger ou me coucher sur le ventre pour prendre un peu de repos. Pouvoir me coucher et m'endormir était seulement un rêve depuis si longtemps.
Cette nuit-là, je me suis endormie facilement et profondément. Mon mari m'a dit que ma gorge ne vibrait plus et que je n'avais pas émis un seul son.
J'étais complètement bouleversée. Une heure d'exercices seulement, mais quelle différence impressionnante que cette heure d'exercices. Aucun médicament ni complément n'avait pu obtenir ce résultat.
Après m'être remise de mon choc initial, j'ai demandé à mon mari tous les livres et tous les écrits de Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, parce que j'étais déterminée à cultiver et pratiquer le Falun Dafa !
J'ai tout lu avec une faim fiévreuse et j'ai commencé à comprendre la véritable signification de la vie.
C'est ainsi qu'en septembre 2008, je me suis engagée sur la route me ramenant vers mon origine première.
Je me rappelle constamment de respecter Authenticité-Bienveillance-Tolérance, de m'efforcer de devenir une meilleure personne et une personne morale et de toujours penser aux autres en premier.
Depuis que j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, j'ai retrouvé la santé, à la fois physiquement et mentalement. Mes maladies sont de l'histoire ancienne. Je ne suis pas retournée à l'hôpital et je n'ai plus eu besoin de médicaments ou de compléments ! Je marche d'un pas vif ! Ma peau est belle et rosée. Je me sens bien !
Je suis remplie d'espoir chaque jour et je remercie le Falun Dafa et le Maître de m'avoir accordé une seconde chance dans la vie ! Il n'y a pas de mot pour exprimer mon infinie gratitude.
La vie est capricieuse. Une personne qui a connu la mort peut véritablement chérir la vie. Je souhaite que vous puissiez tous distinguer le bien du mal, le juste du faux et avoir un avenir brillant.
De tout mon cœur, je souhaite vous dire à tous, en espérant que vous tous vous en souviendrez, que « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »
Traduit de l'anglais en Belgique
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