(Minghui.org) Je suis une villageoise âgée d'une cinquantaine d'années et j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa à l'automne 1998.
Lorsque la persécution du Falun Dafa a commencé en 1999, les autorités ont publié publiquement une liste de pratiquants de Falun Dafa. On a annoncé dans mon village que j'étais sur la liste. Je me suis sentie très fière, car même si je pratiquais Dafa depuis quelques temps seulement, le Maître m'avait déjà reconnue comme disciple de Dafa. Mes compagnons de cultivation m'ont félicitée d'avoir une bonne qualité d'éveil.
Quand mon mari a appris cela, il a commencé à se quereller avec moi et m'a interdit de pratiquer Dafa. Pendant cette période, je faisais face à beaucoup de pressions du Parti communiste chinois (PCC) et de ma famille. J'ai été traitée comme une criminelle. Grâce aux enseignements du Maître, j'ai réussi à traverser cette période avec la pensée droite et j'ai été capable de persister dans ma pratique.
Je maintiens des critères strictes et je suis gentille avec les gens autour de moi. Je m'assure de constamment adhérer au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance parce que je sais que tout ce que je dis ou fais reflète le caractère d'un pratiquant de Dafa.
Depuis que le Maître a demandé aux pratiquants de bien faire les trois choses, j'émets la pensée droite pour m'assurer de rencontrer les êtres qui ont une relation prédestinée avec moi. Je m'assure toujours d'être gentille et bienveillante avec les gens autour de moi afin de pouvoir établir une bonne relation avec eux pour clarifier la vérité de manière efficace.
Permettez-moi de partager mes expériences des dernières années :
Valider le Fa avec mes actions
Après avoir épousé mon mari, nous avons vécu avec mes beaux-parents. Mon beau-père avait mauvais caractère et ma belle-mère était toujours pleine de rancunes et ne cessait de grommeler à propos de quelque chose. J'avais un ego relativement fort et je me plaignais de ma situation. Mais maintenant que je suis disciple de Dafa, je dois toujours placer les intérêts des autres avant les miens.
Mon beau-père est décédé à l'âge de 99 ans. Vers la fin de sa vie, j'ai dû le soigner quotidiennement, changer ses couches et lui donner des bains à la serviette.
À ce jour, ma belle-mère est également dans un état végétatif persistant et elle doit être alimentée par une sonde alimentaire. Elle est incontinente et complètement inconsciente de ce qui l'entoure.
Les médecins et nos parents ont estimé qu'elle devait sortir de l'hôpital et être renvoyée chez elle pour vivre ses derniers jours, mais mon mari ne pouvait pas supporter de le faire. J'ai donc fait de mon mieux pour m'occuper d'elle. Chaque jour, qu'il pleuve ou qu'il neige, je parcourais plus de 15 kilomètres sur ma moto pour m'occuper d'elle à l'hôpital. Mes enfants se chargeaient de le faire le week-end et les jours fériés. Les mots ne peuvent décrire mes souffrances. En outre, j'avais souvent à supporter le poids de la mauvaise humeur de mon mari.
Chaque fois que j'étais bouleversée, je pensais à quelque chose que le Maître a déjà dit :
« Aussi grandes que soient les injustices, vous arrivez à les traiter avec un coeur tranquille, vous arrivez à rester inébranlable et vous n'essayez pas de vous trouver des excuses, pour de nombreuses choses vous n'avez même pas besoin d'en débattre. C'est parce que rien n'arrive par hasard sur votre chemin de cultivation et pratique. Peut-être que dans vos discussions avec les autres, les facteurs qui vous touchent ou bien qui touchent vos intérêts et provoquent des conflits sont amenés par le Maître. Peut-être que leurs paroles vous piquent à vif, elles pointent vos points sensibles et vous vous sentez piqué. Peut-être que la personne vous a vraiment injustement traité. Mais ces paroles n'étaient pas forcément dites par la personne, elles étaient peut-être dites par moi. » (« Enseignement de la Loi donné à Manhattan »)
Les infirmières de l'hôpital me disaient avec émerveillement : « Malgré son mauvais pronostic, elle reçoit toujours des soins de longue durée à des frais médicaux qui ne sont pas chers. Et vous êtes toujours si joviale tous les jours, en nettoyant ses couches et répondant à ses besoins si attentivement. Cette vieille dame est extrêmement chanceuse ; sans tout cela, elle serait probablement décédée il y a longtemps. »
Par curiosité, des membres de famille de d'autres patients de l'unité venaient parfois dans notre chambre et ils me disaient souvent que j'étais une personne très gentille. En retour, je leur disais que je suis une pratiquante de Falun Dafa et que, selon les enseignements de mon maître, je ne faisais que rembourser une dette karmique. Non seulement était-ce une loi de l'univers, c'était aussi un acte fondamental de conscience. Je n'étais capable de le faire que parce que j'étais une pratiquante de Dafa.
Les membres de famille étaient aussi d'accord pour dire que le Falun Dafa enseignait aux gens à être bons et que les principes universels que mon Maître enseignait étaient bons. Sinon, il ne serait pas possible pour moi d'avoir une telle attitude admirable. Les médecins et les infirmières me disaient qu'il n'y avait aucune autre personne comme moi dans toute la ville.
Un des patients à l'unité était un directeur à la retraite, dont le fils travaillait à la Cour de justice. Le fils m'a dit un jour que l'on aurait bien du mal de nos jours à trouver une belle-fille comme moi. Il a ajouté qu'on devrait diffuser sur le réseau de télévision que ceux qui pratiquent le Falun Dafa sont bienveillants et que le Parti communiste est celui qui est corrompu et mauvais.
Au cours de mes visites à l'hôpital, j'ai fais la connaissance de nombreux patients et membres de famille. Je sais que cela a été arrangé par le Maître pour me permettre de les sauver. Je pensais à des manières d'arriver à les connaître et parce que le corps de Loi du Maître était à côté de moi, ma pensée droite était très forte. Ils étaient souvent très admiratifs devant moi et après m'avoir écoutée clarifier la vérité, plus de 90 % d'entre eux quittaient le Parti communiste, la Ligue de la jeunesse ou les Jeunes pionniers. J'étais très heureuse pour les êtres qui avaient été sauvés.
M'efforcer de ramener d'anciens pratiquants à la cultivation et pratique
Au cours de ma clarification de la vérité à l'hôpital, j'ai rencontré une femme âgée de quelques années de plus que moi qui avait souffert d'une hémorragie cérébrale. Quand elle a été admise, elle a été dans le coma pendant les huit premiers jours et elle n'a pas mangé pendant plus de 20 jours.
Lorsque nous nous sommes rencontrées, nous avons toutes deux eu l'impression que nous nous connaissions bien. Par la suite, je lui ai clarifié la vérité et lui ai parlé de démissionner du Parti. Elle m'a dit alors qu'elle avait été une pratiquante de Dafa avant 1999. Mais après que les autorités l'ont illégalement arrêtée, emmenée dans des classes de lavage de cerveau et persécutée, elle a cessé de pratiquer Dafa. Elle pratiquait maintenant le bouddhisme.
En entendant cela, je suis devenue très anxieuse et j'ai dit : « Vous avez vraiment laissé tomber le Maître. Au cours de vos nombreuses vies, le Maître a toujours veillé sur vous. Si le Maître avait vraiment renoncé à vous, vous seriez morte de l'hémorragie cérébrale il y a longtemps. Le Maître utilise cette méthode dans l'espoir que je puisse vous aider à vous réveiller. La période de la rectification de Fa tire déjà à sa fin et vous n'avez pas rempli votre mission de sauver les êtres. Je vous prie de recommencer rapidement à cultiver dans Dafa. »
Dès lors, je lui apportais les écrits du Maître à lire tous les jours. Elle a dit : « Chaque fois que je vous vois, mon esprit s'élève. Merci de m'avoir ramenée à la cultivation dans Dafa. » Je lui ai répondu qu'elle devait remercier le Maître à la place.
Dans le passé, elle ne pouvait pas marcher par elle-même et avait constamment besoin de son mari afin de la soutenir pour se déplacer. Mais maintenant, elle pouvait marcher de façon indépendante avec une canne de marche. Le jour où elle est sortie de l'hôpital, je lui ai dit que j'avais demandé à avoir un réseau de pratiquants pour l'aider et la soutenir, ainsi que préparé un ensemble d'écrits du Maître pour elle.
Je l'ai plus tard appelée pour savoir comment elle allait. Elle a dit que sa santé allait beaucoup mieux et qu'elle n'avait plus besoin d'une canne. Elle était reconnaissante envers les pratiquants qui sont venus étudier le Fa avec elle tous les soirs et elle était motivée à être diligente dans sa cultivation.
La pratiquante qui m'a fait connaître Dafa a également cessé de pratiquer après que la persécution a commencé en raison des pressions de sa famille et du Parti. Chaque fois que je la voyais, je disais : « Quand j'étais dans un état déplorable, c'est grâce à toi que le Maître m'a sauvée. Maintenant que tu es tombée dans un état de désolation, le Maître m'a envoyée ici pour t'aider à te sauver. Mais pourquoi ne te permets-tu pas d'être sauvée ? Sais-tu que tu es en train de laisser passer une occasion extrêmement rare et précieuse ?
Elle m'a rendu visite l'année dernière et m'a parlé d'un incident lors duquel elle et son mari étaient sur une moto pour faire quelques courses. La moto a foncé dans un gros rocher sur le bord de la route et elle et son mari ont été projetés vers l'avant contre le rocher. Elle a perdu connaissance immédiatement. Quand elle s'est réveillée, elle a vu son mari toujours allongé inconscient sur la route. Elle s'est rappelée que lorsque sa tête a heurté le rocher, elle a senti comme si quelqu'un avait amorti son coup.
J'ai dit : « Tu ne t'es pas encore éveillée correctement. Seulement le Maître aurait pu amortir le coup. C'est le Maître qui t'a donné à toi et à ton mari une seconde vie ».
Elle a ensuite fondu en larmes et a dit qu'elle avait laissé tomber le Maître. Plus tard, avec l'aide de pratiquants et la direction et les renforcements du Maître, elle a surmonté de nombreuses difficultés et obstacles et est retournée à la cultivation dans Dafa. Elle est également devenue très diligente dans sa pratique.
Le mari de la pratiquante sait aussi maintenant que Dafa est bon et que le Maître est bon. Il ne lui crée plus de problèmes. Elle a dit que la chute l'avait finalement réveillée.
Traduit de l'anglais au Canada
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