(Minghui.org) Lorsque j'ai commencé à pratiquer le Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) à l'âge de 48 ans, j'avais l'air d'une personne de plus de 60 ans.
J'avais pris des antalgiques pendant 40 ans. Mon corps était gonflé, un grand nombre de veines étaient bouchées, mon pouls était de 30 à 40 battements par minute et ma pression artérielle était souvent au-dessus de 200.
Mon médecin avait dit à mon fils : « Ta mère souffre d'infarctus du myocarde et d'infarctus cérébral. Elle court un grand risque d'attaque cardiaque et de congestion cérébrale. » J'ai continué à prendre des médicaments, bien qu'ils semblaient ne faire aucune différence.
Mais j'ai réussi à arrêter de prendre des médicaments le cinquième jour de pratique du Falun Gong. Deux mois plus tard, un compagnon de pratique m'a demandé : « Je suppose que tu as une quarantaine d'années, n'est-ce pas ? » J'étais étonnée par cette différence de 20 ans dans mon apparence en juste deux mois.
Une importante amélioration après avoir pratiqué le Falun Gong
J'ai commencé à avoir des problèmes de santé à un jeune âge. J'ai dû arrêter d'aller à l'école primaire après seulement un an et demi, en raison de graves maux de tête provoqués par la prise prolongée de médicaments. En 1998, j'étais alitée et mon beau-fils m'a recommandé de pratiquer le Falun Gong. Je ne savais pas ce qu'était vraiment le Falun Gong, je pensais que c'était probablement comme d'autres pratiques de qigong.
J'ai dit à mon beau-fils : « Mes jours sont comptés, je ne sais pas si je veux faire cela. » Il a répondu : « J'aimerais que vous essayiez justement parce que vos jours sont comptés. » Il a ajouté : « Votre fille s'inquiète tant à votre sujet qu'elle pleure toutes les nuits. »
Je me suis levée à 5h un beau matin et suis sortie me promener. J'ai vu de nombreuses personnes pratiquer la méditation du Falun Gong et je me suis assise avec eux sur le sol. Quelqu'un m'a demandé si j'aimerais apprendre la pratique lorsque les pratiquants ont commencé les exercices en position debout. Je lui ai dit : « Je ne peux pas rester debout. » Il m'a rassurée que ce ne serait pas un problème.
J'ai suivi les mouvements des exercices de la femme à côté de moi pendant une heure et j'étais trempée de sueur. Elle a dit : « Notre Maître prend soin de vous. Les virus et les mauvaises autres choses sont enlevées de votre corps. » Lorsque je suis rentrée chez moi ce jour-là, j'ai réussi à manger la moitié d'un petit pain, ce qui était plus que ce que je pouvais manger habituellement. J'ai ensuite réduit mes médicaments de moitié et ai pratiqué la méditation assise presque chaque jour.
J'ai souffert de diarrhée le matin suivant. J'ai mangé un autre petit pain après avoir pratiqué le Falun Gong avec le groupe. Ensuite, j'ai réduit les médicaments à un quart de la quantité originale.
Le troisième jour, j'ai remarqué deux cercles rouges bougeant devant ma tête. Mon mal de tête a disparu et je pouvais bouger le cou, quelque chose que je n'avais pas pu faire depuis longtemps. J'ai arrêté tous mes médicaments à l'exception d'un, un produit contre l'hypertension. Mais la diarrhée a continué.
Cinq jours plus tard, le pratiquant qui m'avait appris les exercices m'a demandé : « Prenez-vous encore des médicaments ? » « Personne ne m'a dit que je ne devrais pas », ai-je répondu. Le pratiquant m'a montré la conférence de Maître Li concernant les médicaments. Je me suis décidée à continuer de pratiquer le Falun Gong et j'ai arrêté de prendre des médicaments ce jour-là.
Plus tard, j'ai eu des réactions au cours du processus d'élimination du karma dans mon corps. Je n'ai pas pu bouger, je n'ai pas pu non plus manger ou boire pendant trois jours consécutifs. Tout mon corps souffrait. J'ai écouté les conférences du Maître et me suis rétablie en trois jours.
Je suis ensuite rentrée chez moi dans la banlieue et j'ai pratiqué seule dans le quartier. Mes voisins ont commencé à apprendre les exercices et plus de personnes nous ont rejoints. Je suis donc devenue assistante sur un site de pratique.
Ma persévérance
Lorsque le régime chinois a commencé à diffamer le Falun Gong et harceler les pratiquants, je suis allée au Bureau des appels du Conseil d’État à Pékin le 25 avril 1999, espérant que le Parti apprenne les faits sur le Falun Gong. Mais lorsque le régime communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong, je suis devenue une cible.
Plusieurs voitures de police ont encerclé ma maison un soir vers minuit. J'ai dû retourner au domicile de mon fils dans la ville. Néanmoins, j'ai continué de pratiquer le Falun Gong, distribuer des documents pour éveiller les consciences sur la persécution et j'ai continué d'avancer comme une pratiquante.
J'ai connu de nouveau quelques réactions physiques début 2003. J'ai eu une forte fièvre et je pouvais à peine respirer. J'ai vomi et toussé pendant plus d'une semaine. Mon fils s'inquiétait pour moi et voulait m'emmener dans un hôpital. Je lui ai dit : « J'irai bien ce soir. » Mais à cette époque, je ne savais pas comment nier la persécution arrangée par les forces anciennes.
Ce soir-là, j'ai parlé au Maître alors que j'étais alitée. « Maître, vous avez dit :
« Vous êtes une divinité si vous laissez tomber la vie et la mort ; vous êtes un homme si vous ne pouvez pas y renoncer. » (« Conférence de Falun Dafa à New York » dans « Enseignements de Fa dans les conférences aux États-Unis »)
J'ai souri sans aucune conception en me souvenant des paroles du Maître :
« […] le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. » (Zhuan Falun)
Mon cœur souffrait tellement que j'avais presque l'impression de mourir, mais je n'avais pas peur. Je pensais que j'allais quitter joyeusement le monde humain si le Maître le disait. Soudain, il y a eu un courant chaud de ma tête à mes pieds et tous mes symptômes de maladie sont partis.
Je me suis immédiatement levée et ai rappelé à ma petite-fille d'aller au lit. Surprise de m'entendre parler à voix haute, mon fils a sauté hors du divan et a demandé : « Maman, vas-tu bien maintenant ? » J'ai dit : « Oui, bien sûr ! »
Tout au long des années de pratique du Falun Gong, j'ai vu les membres de ma famille faire l'expérience de ce que je crois être des miracles, simplement en croyant et en récitant « Falun Dafa est bon ».
Mon frère guérit d'une attaque cérébrale
Mon frère aîné a subi une attaque cérébrale et a été opéré à l'hôpital local. Je me suis renseignée auprès de mon second frère aîné qui est un médecin bien connu. Il m'a dit que notre frère resterait dans un état végétatif pour le reste de sa vie. J'ai rendu visite à la famille de mon frère aux soins intensifs et j'ai demandé à ses deux fils de répéter « Falun Dafa est bon ». Plusieurs jours plus tard, j'ai reçu un appel téléphonique et ai appris qu'il avait survécu à l'opération. Cependant, un mois plus tard, il ne pouvait toujours reconnaître personne.
La famille de mon frère a accepté mon conseil et l'a fait transférer des soins intensifs vers une chambre privée. Sa famille l'a entouré et a répété sincèrement : « Falun Dafa est bon ». Ils ont aussi appris à mon frère à dire ces mots. Peu de temps après, il a pu reconnaître les membres de sa famille et a pu rentrer chez lui.
Chez lui, mon frère a commencé à écrire chaque jour « Falun Dafa est bon » dans un livre d'exercice scolaire. Les symptômes de l'attaque, y compris la bouche tordue, les yeux qui pleurent et les membres flasques, ont rapidement disparu. Surpris, les habitants du village ont demandé à mon frère comment il avait réussi à guérir si vite.
Toute la famille de mon frère est reconnaissance envers le Falun Gong et son fondateur. Ils ont démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.
La guérison d'un cancer
La belle-mère de ma fille, âgée de 76 ans, a été diagnostiquée avec trois cancers différents, des cancers du colon, du rein et de l'estomac. Sa fille est revenue des États-Unis pour être près de sa mère. Je lui ai donné une amulette une semaine avant l'opération du cancer du colon. Je lui ai aussi demandé de dire chaque jour « Falun Dafa est bon ». Elle a pu rentrer chez elle une semaine après l'opération, tandis que deux autres patients plus jeunes qui avaient aussi été opérés, on dû rester à l'hôpital. Même le médecin était surpris : « Comment avez-vous guéri si vite ? »
Une deuxième opération a été programmée deux semaine plus tard pour enlever son rein. Je lui ai donné un cahier et l'ai exhortée à écrire chaque jour « Falun Dafa est bon ». Au cours de l'opération, le médecin a été surpris par la nature de la tumeur, car il avait été dit à maintes reprises que c'était une tumeur maligne. Mais l'opération a prouvé que la tumeur était désormais bénigne.
La belle-mère de ma fille a subi trois opérations en un mois et demi sans aucun traitement postérieur de chimiothérapie. Au lieu de cela, elle a écrit de nombreuses fois « Falun Dafa est bon ». Plus de six mois ont passé et elle semble toujours aller bien. Elle a dit : « Personne n'a cru que j'avais subi trois opérations en un mois et demi. C'est étonnant qu'une tumeur maligne soit devenue bénigne. » Toute sa famille soutient désormais le Falun Gong et tout le monde a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.
Un autre frère guérit d'une attaque
Mon second frère aîné, le médecin bien connu, a aussi subi une attaque cérébrale. Ses jambes étaient encore faibles lorsqu'il est rentré chez lui après 20 jours à l'hôpital. Je lui ai demandé d'écrire plusieurs fois « Falun Dafa est bon » tout comme j'avais demandé à mon frère aîné de le faire. Ce frère m'a passé un appel téléphonique longue distance aujourd'hui et m'a dit avec joie qu'il avait guéri complètement en une semaine.
Traduit de l'anglais en Belgique
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