Un garde du centre de détention crie : « Falun Dafa est bon ! »

(Minghui.org) Après que deux résidents de la province du Shandong aient été arrêtés pour avoir parler aux gens du Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa), ils se sont assurés de dire à leurs ravisseurs à quel point la pratique est bonne et à quel point le Parti communiste chinois (PCC) la persécute impitoyablement.

Grâce à leurs efforts, de nombreux policiers et gardes du centre de détention, à qui ils ont parlé, ont commencé à mieux comprendre le Falun Gong et à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Un garde a même crié : « Falun Dafa est bon ! »

Voici quelques épisodes qui se sont produits pendant leur détention de 15 jours, tout d'abord au poste de police puis dans un centre de détention.

Les personnes qui les interrogeaient démissionnent du PCC

Nous savons que les policiers sont aussi des êtres qui doivent être réveillés, c'est pourquoi nous leur clarifions les faits chaque fois que nous le pouvons. De nombreux policiers ont démissionné du PCC et de ses organisations après avoir appris la vérité.

Au poste de police, trois agents nous ont demandé où nous avions obtenu les documents que nous distribuions. Nous leur avons expliqué les faits sur le Falun Gong, les nombreux procès contre Jiang Zemin (l'ancien dirigeant du PCC qui a commencé la persécution), les prélèvements d'organes pratiqués sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants, les crimes horribles commis par Bo Xilai (l'ancien ministre du commerce) et la vérité sur le coup monté des « auto-immolations sur la place Tiananmen. »

Ils écoutaient en silence et ont compris. Deux policiers ont démissionné du PCC immédiatement. Le plus ancien des trois a dit : « Je suis membre du Parti depuis plus de 20 ans. J'ai besoin de réfléchir. » Je lui ai donné un CD avec un logiciel pour accéder à des sites non censurés et lui ai dit qu'il pourrait démissionner du PCC en ligne. Il a accepté avec joie.

Le directeur du centre de détention comprend le message

Un jour, sur le terrain de sport au centre de détention, le directeur du centre nous a crié : « Si vous ne portez pas l'uniforme, je vais vous enfermer en cellule d'isolement ! » Je lui ai dit que nous n'étions pas des criminels et qu'on ne porterait pas l'uniforme. J'ai ensuite émis une forte pensée droite pour éliminer les facteurs pervers derrière lui. Il n'a rien ajouté et est parti.

Une autre fois, un détenu s'est évanoui et est tombé. Personne n'osait le toucher. L'autre pratiquant et moi avons commencé à crier : « Falun Dafa est bon ! Maître, aidez-le ! » Une minute plus tard, il a repris conscience.

Ne voulant pas être tenu responsable de son état, le directeur du centre de détention a demandé à sa famille de le ramener chez lui.

J'ai dit au directeur en plaisantant qu'il devrait nous libérer, aussi. Il a répondu : « Je perdrais mon emploi si je vous laissais partir. »

J'ai dit : « Vous seriez promu à un poste plus élevé si vous nous laissiez partir. »

J'ai ajouté : « Et vous serez protégé si vous démissionnez du PCC ! »

Bien qu'il n'ait rien ajouté, il est reparti avec un sourire aux lèvres.

Un garde du centre de détention crie : « Falun Dafa est bon ! »

Un après-midi, un garde a ordonné à moi et à l'autre pratiquant de nettoyer son bureau. Nous lui avons parlé du Falun Gong et de l'importance de démissionner du PCC.

Quand il était en service ce soir-là, il m'a demandé si nous pouvions l'aider ainsi que sa famille à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Il avait l'air très heureux quand nous lui avons assuré que nous le ferions dès que nous serions libérés.

Il a crié « Falun Dafa est bon » quand il est parti.

Traduit de l'anglais au Canada