(Minghui.org) Un proverbe chinois dit que quand ils sont jeunes, les gens échangent leur santé contre de l'argent et quand ils sont vieux, ils doivent dépenser de l'argent pour restaurer leur santé. Je faisais partie de ces gens-là avant de commencer à pratiquer le Falun Gong en 2005.

À l'automne 2004, mon entreprise avait de plus en plus de travail et je travaillais beaucoup. Un jour, j'ai eu une douleur soudaine dans la poitrine et je ne pouvais plus respirer. Je suis allé à l'hôpital à Pékin où on a diagnostiqué une sclérose de l'artère coronaire. Les médecins ont fait un pontage cardiaque qui m'a sauvé la vie.

Les frais d'hôpital étaient énormes. Les tests médicaux ont coûté plus de 10 000 yuans et l'opération de pontage plus de 60 000 yuans.

Pour l'instant ma vie était sauvée, mais ma santé ne s'est pas améliorée. Je prenais trois médicaments par jour, mais je me sentais toujours aussi faible et j'avais froid. Quand je me couchais, il me fallait trois couches épaisses de couvertures. J'avais souvent le vertige en marchant et ma vue était brouillée.

J'ai consulté d'autres spécialistes à Pékin, mais on m'a fait comprendre que mon état pouvait être soulagé par les médicaments mais ne pouvait pas être guéri.

Aucun espoir de guérison

Je sentais qu'il n'y avait aucun espoir. Je n'avais qu'une quarantaine d'années, j'avais trois enfants à l'école et mon père avait dans les 80 ans. J'ai perdu ma capacité de travailler et ma femme devait prendre soin de moi et de notre famille à plein temps. En plus de toutes ces difficultés, je souffrais constamment.

En 2005, je suis allé voir ma tante. Elle m'a donné une lettre qu'elle était en train de lire. J'ai mis mes lunettes de lecture, mais je pouvais à peine la lire. La lettre provenait d'un ami, pratiquant de Falun Gong, qui décrivait comment toutes ses maladies avaient disparu après avoir fait les exercices de Falun Gong pendant deux mois.

La lettre encourageait fortement ma tante à pratiquer le Falun Gong et à ne pas manquer cette formidable occasion. J'ai vu de l'espoir et j'ai décidé de pratiquer le Falun Gong.

Un pratiquant de notre village m'a trouvé le livre Zhuan Falun, m'a appris les cinq séries d'exercices et m'a donné un CD de la musique des exercices. J'ai fait les exercices chaque jour et j'ai regardé la vidéo de Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong.

Retrouver la santé

En seulement un mois, les vertiges ont disparu et ma vue s'est améliorée. Je me sentais de nouveau plein d'énergie et j'ai arrêté de prendre tous les médicaments.

Après avoir retrouvé la santé, je me suis joint à d'autres pratiquants pour dire aux gens combien le Falun Gong est bon et qu'il m'a sauvé la vie.

Au début, ma femme était contre le fait de pratiquer le Falun Gong, ayant peur que le Parti communiste ne me persécute. Mais après avoir vu la rapidité avec laquelle j'avais retrouvé la santé et pouvais de nouveau travailler, elle a beaucoup remercié Maître Li et le Falun Gong et elle est devenue un soutien convaincu.

Elle m'accompagnait souvent pour distribuer des documents sur le Falun Gong et la persécution. Une nuit d'automne, il faisait froid et il y avait beaucoup de vent. Je lui ai dit que c'était un temps très propice pour afficher des dépliants, parce que la police ne sortirait pas par un temps pareil.

Elle a dit : « Je vais venir avec toi. »

Nous n'avions pas de scotch double face, alors il nous fallait appliquer de la colle avant de poser le dépliant.

Elle a vite fabriqué un petit pot de colle et nous voilà parti à minuit. En arrivant dans une ville, le vent soufflait fort. Le long de la rue principale, ma femme a mis de la colle à l'aide d'une brosse sur chaque poteau électrique et moi je collais les dépliants.

Après avoir fini tous les poteaux, mon cœur débordait de joie. J'avais de l'énergie comme si je flottais dans l'air.

Le Falun Gong m'a non seulement donné une bonne santé, mais il a béni toute ma famille. Je n'ai besoin de travailler que le matin. L'après midi, j'étudie le Fa ou je sors dans des endroits où je parle du Falun Gong aux gens. Bien que je ne travaille que quelques heures, mon salaire est toujours suffisant pour subvenir aux besoins de ma famille.

Mon père s'est éteint paisiblement à l'âge de 92 ans. Mon fils a été promu au grade d'officier dans l'armée. Ma fille a fait des études à l'université et a trouvé du travail sans difficulté.

Après le départ de mon père et dès que les enfants n'avaient plus besoin de soutien financier, ma femme et moi nous sommes rendu compte que nous avions assez d'argent et de temps pour distribuer des documents dans le but d'aider à mettre fin à la persécution du Falun Gong.

Nous avons décidé de monter une imprimerie familiale. Les documents que nous imprimons sont distribués dans de nombreux villages aux alentours. Aujourd'hui j'ai une bonne vie grâce au Falun Gong.

Traduit de l'anglais en France