Récentes nouvelles de Chine : À l’autre bout du fil

(Minghui.org)

Bien que je ne passe des appels pour informer sur le Falun Gong que depuis six mois, plusieurs expériences touchantes m'ont montré combien les êtres aspirent à connaître la vérité. J’ai aussi pris conscience que notre compassion doit aller à chacun, qu’ils veuillent ou non quitter le PCC.

L’espoir d’apprendre la vérité

Je reçois souvent des textos lorsque je clarifie les faits à propos du Falun Gong par téléphone. Certains répondent parce qu’ils ont manqué mon appel, d’autres ne comprennent pas le but de l’appel, d’autres encore veulent en savoir davantage, et d’autres enfin envoient des messages menaçants.

Un message disait que la personne avait cherché la vérité pendant longtemps et espérait la trouver. Cet appel provenait d’une autre ville, aussi n’ai-je pas su comment elle avait obtenu mon numéro. Par précaution, je lui ai répondu quelques jours plus tard et lui ai dit que je le rappellerai le lendemain. J’ai composé le numéro le lendemain et il a répondu. J’ai vérifié l’appel automatique et vu qu’il quittait immédiatement le PCC.

À ma surprise, j’ai reçu un appel du même numéro deux jours plus tard. D’après le système de surveillance vocal, j’ai entendu qu’il demandait à son ami de démissionner du PCC, mais ce dernier a refusé. Cependant, mon téléphone a sonné de nouveau un peu plus tard. Il s’est avéré qu’il rappelait pour son ami. Malheureusement, ce dernier a encore refusé de démissionner.

Il a envoyé un texto disant qu’il espérait parler à un pratiquant face à face. J’ai été touché par son message et j’espère qu’il pourra rencontrer d’autres pratiquants de sa région et obtenir le Fa.

Toute une famille quitte le PCC

Lors d’un appel, j’ai entendu un homme demander à son épouse de venir et d’écouter. Ils ont écouté la diffusion ensemble. Lorsque la voix a demandé de presser le bouton 3 s’ils voulaient quitter le PCC et ses organisations affiliées, j’ai entendu qu’ils pressaient le 3.

L’homme a alors appelé ses deux enfants et ils ont aussi démissionné du PCC. Le père voulait que chacun dans sa famille quitte le PCC et s'est assuré que chacun avait bien démissionné. Alors qu’ils raccrochaient le combiné, j’ai pu entendre des rires joyeux en arrière-plan.

Rappeler après avoir appuyé sur les mauvaises touches

Une fois, une dame âgée a répondu au téléphone. Je pouvais entendre un jeune garçon lutter pour lui prendre le téléphone et écouter. La grand-mère lui a demandé de ne pas la déranger. Elle a pressé trois boutons pour démissionner des trois organisations du PCC, mais elle n’était pas sûre d’avoir pressé les bons boutons parce que son petit-fils l’avait distraite. Je l’ai entendue marmonner : « Est-ce que j’ai appuyé sur les bons boutons ? Je n’ai pas rejoint le PCC. » J’ai pensé que je devais la rappeler pour que tout soit clair.

Après quelques minutes, je l’ai rappelée. Elle a décroché et elle attendait apparemment que je la rappelle. Cette fois, elle semblait s’être arrangée pour que son petit-fils ne soit pas présent. Elle a pressé les boutons pour démissionner de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers.

Elle a demandé si elle l’avait fait correctement et a dit qu’elle n’avait pas rejoint le PCC lui-même. J’ai confirmé que tout était bon.

Sept personnes quittent le PCC

Ma carte de téléphone était supposée expirer le mois dernier, mais ce mois-ci, elle fonctionne encore. Cependant personne n’a démissionné du PCC pendant près de 10 jours. Je me suis rappelé de rester calme et compatissant, de cesser de m’inquiéter et de continuer à diffuser la vérité à propos du Falun Gong.

Finalement, quelqu'un a démissionné aux alentours de 22 heures. J’ai décidé de continuer et de passer un autre appel. La personne suivante a elle aussi démissionné. Le téléphone a alors été passé à une autre personne, puis encore à une autre. Tout le monde a démissionné du PCC.

J’ai écouté attentivement. D’après leurs voix, je pouvais dire qu’ils étaient jeunes et âgés, hommes et femmes. Je n’ai pas pu savoir s’il s’agissait d’une famille ou s’ils étaient dans un bureau. La dernière personne était un homme qui a demandé à voix basse : « Qui d’autre n’a pas démissionné ? Avons-nous tous démissionné ? » J’ai compté après avoir raccroché. Sept personnes en tout avaient quitté le PCC.

Traduit de l'anglais en Europe