(Minghui.org) J'ai plus de 70 ans et j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en juin 1996. Il y a eu beaucoup de merveilleux moments au cours de ma cultivation et je tiens à partager ici plusieurs des plus remarquables. Des occurrences telles que celles-ci m'ont fait réaliser combien le Maître a supporté pour nous toutes ces années.

Sur le chemin pour obtenir le précieux livre Zhuan Falun

Mon neveu est venu me rendre visite en 1996. Il m'avait écrit au sujet d'un livre divin et spectaculaire que je devais lire et quand il est arrivé, je lui ai demandé ce que c'était.

« Il n'y a qu'un seul exemplaire dans ma région, » a-t-il répondu. « Et il y a beaucoup de gens qui attendent de le lire. »

Il a souri et a pris un exemplaire du Zhuan Falun qu'il avait soigneusement enveloppé dans du papier. « Le voici, mais tu dois terminer la lecture en deux jours. Je dois ensuite le rapporter. » J'ai accepté. Il a pris le livre avec le plus grand soin et il me la tendu avec les deux mains.

En lisant le livre au cours des deux jours suivants, je suis passé par la confusion, le choc, la joie et les larmes. Mon seul souhait aurait été de l'avoir lu plus tôt. Lorsque mon neveu est revenu, les premiers mots que je lui ai dit étaient : « Où puis-je acheter ce livre ? »

« L'endroit le plus proche est une ville près de Wuhan », a-t-il répondu.

J'ai pris un bus pour Wuhan le lendemain, serrant l'adresse que mon neveu m'avait donnée. Le bus était plein, avec peu de place pour bouger.

Le conducteur accélérait alors que nous approchions de la ville. J'ai crié : « Chauffeur, ralentissez ! Nous allons avoir un accident ! » Le chauffeur n'a pas répondu. J'ai crié de nouveau et il n'a toujours pas répondu. J'ai pensé que peut-être il ne m'entendait pas parce qu'il y avait trop de gens, donc j'ai crié à nouveau aussi fort que je le pouvais.

Il a alors crié :« Êtes-vous fou ? »

Dès qu'il a dit cela, « Bang! », le bus est entré en collision avec un gros camion et est sorti de la route, roulant sur un talus dans un champ six pieds au-dessous. Le bus a atterri sur le toit et les passagers ont été ballottés et empilés les uns sur les autres. Je suis parvenu à sortir, mais le siège du conducteur a été écrasé. Il était mort. Ce fut une scène horrible. Cependant, je n'ai pas du tout été blessé.

À l'époque, je pensais simplement que j'avais été très chanceux. Grâce à l'étude du Fa, j'ai eu plus tard la compréhension que l'accident était une interférence des forces anciennes dans d'autres dimensions qui tentaient de m'empêcher d'obtenir le Fa et de cultiver. Le Maître m'a sauvé la vie.

Éliminer du karma

Quelques années avant, en mai 1987, j'avais eu de fortes douleurs à l'estomac. J'avais pris des médicaments de la médecine chinoise pendant environ 20 jours jusqu'à ce que la douleur disparaisse. Deux mois après avoir commencé le Falun Dafa, en août 1996, la douleur est revenue.

J'ai compris que ce n'était pas une maladie, mais que le Maître nettoyait mon corps. J'ai essayé de le supporter afin que le karma puisse être éliminé, mais la douleur était sévère. Chaque fois que cela se produisait, j'avais une sueur froide, tous mes muscles étaient tendus et j'avais l'impression que mon estomac était tordu. Je n'ai pas renoncé et j'étais déterminé à ne prendre aucun médicament.

Après une semaine, j'ai commencé à avoir la diarrhée. La pire journée, j'ai dû aller aux toilettes 28 fois. Je me suis dit : « Je suis un pratiquant. Le Maître prend soin de moi. Le Maître m'aide à supporter le karma. » Dès que la douleur a diminué, j'ai commencé à étudier le Fa et à regarder les conférences du Maître sur DVD.

Après trois jours de diarrhée, mes amis et parents sont venus me voir. Ils voulaient tous que j'aille à l'hôpital, mais j'ai insisté pour ne pas y aller. Je leur ai expliqué que je remboursais mon karma en endurant la douleur. Mon épouse a pensé que je risquais ma vie et m'a dit que j'étais stupide. Pourtant, mon cœur était ferme parce que je crois en Maître et en Dafa.

Cinquante-cinq jours après que le karma de maladie avait commencé, j'étais assis sur un tabouret, pressant mes mains contre mon ventre pour soulager la douleur. J'ai soudainement eu la sensation que mon corps était en expansion, je l'ai senti devenir aussi grand qu'une énorme montagne. Puis, comme si un gros rocher s'était décroché, la douleur dans mon estomac a immédiatement disparu. J'étais très heureux et j'ai crié : « Je vais bien maintenant ! Merci Maître ! »

Tomber du septième étage

Je me suis précipité à la maison après le travail pour chercher des documents pour l'étude du Fa un jour en 1998. Je vivais au quatrième étage. Cependant, quand je suis arrivé à ma porte, j'ai réalisé que je n'avais pas ma clé. Les documents étaient nécessaires pour la soirée de notre groupe d'étude du Fa.

Je suis allé sur le toit de l'immeuble, qui était au-dessus du septième étage. Je voulais descendre du toit sur mon balcon d'où je pourrais entrer. J'ai appelé mon frère cadet et ma sœur et leur ai demandé de venir sur la toiture pour m'aider.

Il pleuvait légèrement. Nous avons attaché une corde autour de ma main, mon frère a tenu l'autre extrémité et m'a descendu vers le quatrième étage. Cependant, quand je suis arrivé là, j'étais à près de six pieds de mon balcon, mais incapable de me donner un élan pour y arriver.

Mon frère a alors essayé de me remonter, mais ne pouvait pas. Au lieu de cela, je le tirais plus près du bord du bâtiment. Je pesais 187 livres (près de 85 kg), donc la main qui était attachée à la corde qui soutenait tout mon poids me faisait mal. Mon frère ne pouvait plus me remonter et avait été tiré sur un dais au bord de l'immeuble.

Je suis resté calme et j'ai pensé, je vais mourir si je tombe du septième étage, mais le dais ne peux pas supporter le poids de deux personnes. Si le dais cède, mon frère et moi allons mourir. Je ne peux pas laisser mon frère mourir à cause de moi. À ce moment critique, j'ai demandé l'aide du Maître : « Maître, si je suis vraiment censé mourir, alors je n'ai rien à dire, mais je veux cultiver jusqu'à la plénitude parfaite et retourner à la maison avec vous. »

J'ai abandonné toute peur de la mort et j'ai fermement dit à mon frère : « Lâche la corde. » Mon frère avait déjà utilisé toute sa force. Il a lâché la corde et je suis tombé. Ma sœur m'a vu tomber et pensait que j'étais mort.

À ce moment, j'ai vu une substance semblable à une mousse rectangulaire venir droit sur moi et s'enrouler autour de moi. Puis un géant est apparu et a mis ses énormes mains sous mes bras par derrière. Je flottais comme une feuille et j'ai dérivé vers mon balcon au quatrième étage. J'ai atterri doucement sur les deux pieds. J'ai répondu à ma sœur : « Je ne suis pas mort. Je suis ici. »

Elle a pleuré et crié : « Quel Bodhisattva t'a sauvé ? Où te tiens-tu ? »

« Le Maître m'a sauvé ! » lui ai-je répondu. « Remercions tous le Maître ! »

Plus tard, j'ai regardé en bas du toit et mes pieds ont tremblé de peur ! Le Maître m'avait à nouveau sauvé la vie.

Traduit de l'anglais au Canada