(Minghui.org) Bonjour, vénérable Maître ! Bonjour, compagnons de cultivation !
Devenir une véritable pratiquante
J'ai découvert le Falun Dafa grâce à l'un de mes amis vers 2001. À partir de ce moment, j'ai toujours su que le Falun Dafa était la Voie. Mais en raison de conceptions et divers attachements, je n'ai pas commencé à cultiver véritablement avant octobre 2013. Après avoir relu une première fois le Zhuan Falun après plus de dix ans et avoir finalement pratiqué les exercices après les avoir appris en ligne, j'étais presque prête à rencontrer les autres pratiquants de ma région.
J'avais de nombreuses peurs à la pensée de les rencontrer. Pendant tant d'années, je pensais qu'il fallait que je sois en quelque sorte « parfaite » pour être une pratiquante de Falun Dafa et j'étais très loin du compte. En cultivant et pratiquant à la maison et en ignorant tous les signes montrant que je devais rejoindre le groupe, il semblait que quelque chose manquait. J'ai réalisé que je devais rejoindre le groupe et dépasser ma peur. Ainsi, après avoir composé le numéro renseigné sur le site Internet FalunDafa.org en espérant secrètement que personne ne répondrait à mon appel, quelqu'un a bien sûr décroché le téléphone. J'ai expliqué à cette personne que je pensais que je devais la rencontrer. C'était l'une des meilleures décisions que j'ai jamais prises.
Après les avoir rencontrés pour la première fois sur un stand Shen Yun en février 2014, quelques semaines avant les représentations de Shen Yun, j'ai ressenti une grande familiarité et du réconfort dans mon malaise. Je savais que c'était ce qui me manquait dans ma cultivation et pratique. Mais même après avoir commencé à réellement cultiver et pratiquer, à l'égard de divers projets de clarification de la vérité, je pensais parfois « Je ne suis pas assez bien. » Je pensais « Je suis juste une mère au foyer sans compétence spéciale. Que puis-je faire ? » Ces conceptions venaient toutes de la peur et du doute en moi et c'est ce qui m'a partiellement empêchée de me cultiver véritablement lorsque j'avais obtenu le Fa en 2001.
Après avoir cultivé quelques mois avec le groupe et m'être lentement débarrassée de ces pensées grâce à l'étude du Fa et le partage avec les autres pratiquants, j'ai réalisé que ces pensées provenaient d'un manque de foi. Si j'avais été choisie par le Maître pour devenir une disciple de Dafa, ne devrais-je pas avoir foi en Lui et en Ses choix ? J'ai pris conscience que ces conceptions n'étaient pas les miennes et qu'il était mal de les accepter comme les miennes. Le Maître a enseigné :
« […] en fait je vous chéris plus que vous ne vous chérissez vous-mêmes ! » (Éliminer le dernier attachement », dans Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Valider le Fa en clarifiant la vérité
Un jour, alors que j'avais interrogé un pratiquant de notre région au sujet des autres choses que nous faisons pour clarifier la vérité, en dehors de Shen Yun, il a parcouru une liste des choses qui avaient été faites et des projets qui avaient besoin de plus d'aide... c'est-à-dire tous. Une chose spécifique a attiré mon attention lorsqu'il a mentionné « travail VIP/gouvernement », c'est-à-dire clarifier la vérité aux responsables élus. Cela a particulièrement attiré mon attention parce que je ne connaissais rien qui puisse être plus ennuyeux et m'être moins destiné. Aujourd'hui, je vois qu'il n'est pas étonnant que j'ai été assignée au travail VIP dans ma région.
Je comprends que clarifier la vérité au gouvernement est important. Ma première expérience de travail auprès du gouvernement semblait très simple. On m'avait demandé de copier/coller un courriel, de l'adresser à tel et tel membre du Congrès et de l'envoyer. Il s'agissait de demandes de rendez-vous avec ces membres du Congrès à Washington, D.C. Je ne devais même pas assister au rendez-vous moi-même. Mais pour certaines raisons, j'étais terrifiée ! Je l'ai tout de même fait et ai reçu quelques réponses. Je crois que cet encouragement venait du Maître qui m'aidait à ouvrir des portes. Ma deuxième expérience de travail auprès du gouvernement était assez différente. On m'a demandé de rencontrer les représentants de mon État. Après avoir rassemblé mon courage, j'ai accepté.
Une autre pratiquante, une étudiante internationale chinoise, et moi-même avons organisé un rendez-vous avec notre représentant du Congrès. Ce rendez-vous avait été organisé avec un membre de son bureau qui avait été sympathisant du Falun Gong entre 1998 et 2001. J'étais curieuse de savoir pourquoi son soutien s'était interrompu en 2001. Je savais que le Maître l'avait, d'une certaine façon, placé sur notre chemin. Ma compagne de cultivation n'était aux États-Unis que depuis peu de temps et avait recours à mes connaissances du fonctionnement de notre gouvernement. Mais je n'avais jamais rencontré de membres du gouvernement. Vivant dans ma douce ignorance, je ne savais même pas comment adresser une requête à notre gouvernement, car je n'en avais jamais eu l'utilité. Les compagnons de cultivation chinois m'ont appris comment faire cela. C'était bien plus facile que je ne l'avais imaginé.
Après avoir fixé le rendez-vous, nous nous sommes rencontrées dans le parking, nos documents de clarification de la vérité en main ainsi que toutes les pétitions signées. Nous nous sommes rencontrées un peu à l'avance afin de pouvoir revoir notre organisation. Comme j'espérais un conseil de sa part sur la façon d'entamer la conversation avec notre interlocuteur, elle, naturellement, espérait aussi un conseil de ma part. En Occident, on compare cela à un aveugle guidant un autre aveugle. Elle m'a expliqué qu'en Chine on dit « le poulet parle au canard ». Nous avons réalisé à ce moment que nous n'avions aucune idée de ce à quoi nous attendre, mais nous savions que nous devions clarifier la vérité.
Le premier rendez-vous s'est très bien déroulé. Je connaissais les contradictions dans les chiffres concernant les prélèvements d'organes et les dates de certaines situations. J'avais étudié les tableaux et les statistiques et les faits d'autres choses que le gouvernement avait faites pour le Falun Gong. Je pensais que j'étais plutôt bien préparée pour cette rencontre, mais j'avais tort.
Il a posé quelques questions et a été véritablement horrifié par les allégations de prélèvements forcés d'organes. Il semblait qu'il voulait véritablement soutenir le Falun Gong mais qu'un conflit opérait en lui. Il avait été fort empoisonné par le Parti communiste chinois (PCC). Il a mentionné que notre première « erreur » était la façon dont le Falun Gong avait organisé une manifestation contre les autorités le 25 avril 1999. Heureusement, l'autre pratiquante était là pour rectifier son esprit avec la vérité. J'étais un peu embrouillée dans les faits parce que cela faisait si longtemps et que je ne m'étais pas préparée à cela.
Un pratiquant de Washington D.C. qui m'avait guidée et préparée autant que possible à cette rencontre, avait aussi suggéré que je lui demande s'il y avait une seule raison pour que le membre du Congrès ne soutienne pas la Résolution 281. Alors que nous allions mettre fin à notre rencontre, j'ai décidé de lui poser cette question. Sa réponse a été choquante mais honnête. Il a mentionné la mise en scène des auto-immolations du 23 janvier 2001, ce qui expliquait aussi la raison pour laquelle il avait arrêté de soutenir le Falun Gong en 2001.
Ma compagne de cultivation et moi nous sommes regardées étonnées et avons rapidement expliqué la situation pour laquelle, une fois de plus, je n'étais pas vraiment préparée, tandis qu'elle l'était. Nous ne connaissions pas tous les faits alors, mais nous pouvions au moins lui dire que c'était une mise en scène, que cela avait été manigancé par le PCC, que cela avait été réfuté et que nous lui donnerions tous les détails possibles et surtout que les pratiquants ne s'immolent pas par le feu.
À ce moment-là, il est devenu presque euphorique ! Il nous a dit que le PCC était venu dans leur bureau et leur avait expliqué que le Falun Gong était un « problème chinois » et de « laisser le régime chinois s'en occuper ». Il s'est alors levé et nous a emmené dans différentes parties du bureau. Il a clarifié la vérité à plusieurs personnes dans son bureau et quelques autres personnes ont passé la tête par la porte pour écouter. Il était très enthousiaste à ce sujet et a très bien clarifié la vérité ! La seule façon dont je puisse expliquer ce sentiment est qu'il semblait plus léger. Plus tard dans la semaine, le membre du Congrès a soutenu la Résolution 281.
Le Maître a enseigné :
« La cultivation dépend de soi et le gong dépend du maître. » (Zhuan Falun)
Je sens dans mon cœur que le Maître nous a offert celui-ci, tout ce que nous avions à faire était d'aller au rendez-vous. Cela a définitivement renforcé ma confiance dans la clarification de la vérité. Cela m'a fait prendre conscience que ces gens nous attendent vraiment. Cela m'a grandement motivée !
Les deux visites suivantes dans d'autres bureaux de membres du Congrès m'ont aussi donné une leçon d'humilité, car cela n'a pas été aussi facile. Je n'y ai pas rencontré le succès. J'ai réalisé que peu importe le nombre de fois où je me suis dit que je le faisais pour eux, j'avais un objectif caché de vouloir qu'ils fassent quelque chose pour nous. Mon cœur n'était pas pur.
Le Maître a enseigné :
« Vous êtes pratiquants, tous les changements se produisent dans votre Xiulian et la rectification de la loi ; tout ce que vous prouvez et comprenez avec le sens d'éveil par vous-mêmes, tout ce que vous allez obtenir, se produit dans le chemin sur lequel vous vous engagez. Il ne faut absolument pas penser que les forces anciennes pourraient nous donner de quelconques faveurs, ni que la société des gens ordinaires pourrait nous aider en quoi que ce soit. C'est vous qui êtes en train de sauver la société des gens ordinaires, c'est vous qui êtes en train de sauver les êtres ! » (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi à Philadelphie aux États-Unis 2002 »)
En regardant en arrière, j'ai vu que j'avais aussi des attachements à moi-même, à l'ego et à espérer l'aide des personnes ordinaires.
Maintenant que la Résolution 343 était sur la table, j'ai pensé qu'il serait facile d'amener les mêmes membres du Congrès qui avaient soutenu la Résolution 281 à soutenir la Résolution 343. J'avais complètement tort et cela ne s'est pas passé comme ça, mais de bonnes occasions se sont présentées de tout recommencer. À ce moment, je n'avais parlé qu'aux bureaux des membres du Congrès.
Cette année, je suis allée à Washington D.C. pour le rassemblement du 20 juillet et ai programmé des rendez-vous avec les bureaux des représentants. La plupart des employés de ces bureaux ont exprimé leur soutien sincère, mais aucun des représentants n'a accepté de soutenir la Résolution à ce moment-là. Puis nous sommes allés voir le bureau d'un sénateur. À ce moment-là, j'ai senti que comme la résolution concernait le Congrès et pas le Sénat, je n'avais aucune « faveur » à attendre de ce sénateur. La responsable du bureau que nous avons rencontrée n'était pas très informée au sujet de la persécution, mais elle a mentionné qu'elle avait reçu un dépliant du Falun Gong d'une personne dans le métro des années auparavant. La plupart du temps, nous rencontrons les employés des bureaux, pas les représentants eux-mêmes. Ils doivent aussi être informés de la vérité. De cette façon, nous leur clarifiions encore la vérité et les laissions choisir quoi faire des informations que nous leur donnions. Je n'attendais pas grand-chose d'elle. Je voulais simplement qu'elle connaisse la vérité. Elle était très réceptive et a même montré de l'intérêt pour pratiquer le Falun Gong.
La beauté du corps uni
Un de mes problèmes était que je me sentais complètement responsable envers le travail auprès du gouvernement dans ma région. Ne comprenant pas que ce n'était pas le travail d'une seule personne, mais un projet pour le corps entier, je me suis mis beaucoup de pression. Mais lorsque j'ai dit aux autres pratiquants de ma région que ce membre du Congrès était important pour faire avancer la Résolution 343, ils ont été plus qu'heureux d'aider.
Je me suis laissée envahir par les pensées sur la façon d'amener les neuf membres du Congrès à donner leur soutien alors que je n'arrivais même pas à ce qu'un membre qui avait déjà soutenu une résolution soutienne aussi celle-ci. Mais ma réflexion n'était pas bonne. Je ne m'en remettais pas au corps entier, car je pensais que c'était mon projet, mon problème et que je ne voulais pas déranger les autres. Je pense que cela était aussi dû à la mentalité de me faire valoir et à la fierté.
Dès que j'ai détecté cette conception, j'ai rapidement corrigé ma pensée et demandé de l'aide. Le corps entier s'est réuni et m'a aidé à organiser et à réfléchir, mais ils ont fait bien plus que cela. Nous avons lancé une pétition dans le quartier des membres du Congrès pour que les gens comprennent la vérité et pour qu'ils prennent position en signant ces pétitions. Peut-être n'y avait-il pas suffisamment de gens dans ce quartier qui avaient entendu la vérité et qu'aucune porte ne s'ouvrirait jusqu'à ce que suffisamment de gens soient informés. Cela semblait s'accorder à leur pensée aussi.
En deux semaines, le petit groupe que nous étions, dont la majorité ne parlait pas anglais, a rassemblé près de mille signatures dans ce seul quartier. Il aura fallu l'intervention du corps entier pour réaliser cela facilement et avec succès.
Une porte s'est alors ouverte. Quelques jours plus tard, ce membre du Congrès devait exceptionnellement se rendre à une assemblée municipale à quelques kilomètres de chez moi ! J'ai demandé à quelques pratiquants de m'accompagner, car ce serait l'occasion de lui parler directement.
Je n'avais jamais assisté à une assemblée municipale. Je me retrouvais de nouveau dans l'inconfort de l'inconnu. Comme je ne pouvais pas me préparer suffisamment sans expérience, nous n'avions qu'à y aller avec les pensées droites.
J'ai finalement eu l'occasion de me lever et de parler au membre du Congrès devant toute l'assistance, ce que je ne voulais pas du tout faire, n'appréciant pas de prendre la parole publiquement. Je sais que cela vient de la sentimentalité et doit être éliminé. Je me dirige vers cet endroit où cela finira par ne plus me déranger.
Lorsque j'ai demandé au membre du Congrès s'il soutiendrait la Résolution 343, il a répondu : « Ce jour-là fut un bien triste jour place Tiananmen. » Puis il a dit : « J'étais là lorsque les pratiquants de Falun Gong se sont immolés. » Je lui ai expliqué que c'était une mise en scène imaginée par le PCC, mais j'étais surprise que cela soit toujours présent à son esprit. J'ai pris conscience que je me reposais sur les personnes ordinaires pour faire mon travail. J'avais espéré que son assistante lui aurait rapporté les faits. Il en avait peut-être entendu parler sans vraiment écouter. Je pense que c'était à nous de lui parler directement puisqu'il avait été directement empoisonné par le PCC.
À la fin de la réunion, nous nous sommes dirigés vers lui pour lui parler davantage. Il a de nouveau demandé certains détails sur la mise en scène des auto-immolations. Nous lui avons expliqué davantage et dit que nous lui enverrions des informations. Après une brève conversation, il s'est montré heureux d'apporter son soutien.
À ce moment-là, il semblait que nous avions progressé. Mais quelques semaines plus tard, son nom n'est pas apparu parmi les co-signataires de la résolution. Son assistante a transmis quelques excuses, mais cela n'expliquait pas le changement de cœur. Ma première pensée a été que cela était peut-être une épreuve pour ma patience. J'avais remarqué l'autosatisfaction qui avait émergé après qu'il avait accepté de soutenir la résolution. Je m'étais relâchée dans le travail auprès du gouvernement pour me concentrer sur d'autres projets, mais en réalité, j'avais un problème de gestion de temps. La plus grosse erreur que j'avais faite était de n'avoir pas réalisé de nouveau que je demandais à une personne ordinaire de faire quelque chose pour nous et la rectification de Fa. J'avais même un peu paniqué en pensant que la résolution pourrait ne pas avancer sans lui. Après avoir pris du recul et considéré la situation sous un autre angle, j'ai remarqué que je considérais ce membre du Congrès comme le plus important pour la Résolution 343.
Les nombreuses leçons que j'ai tirées de cela étaient que ce travail doit être fait par des pratiquants, que le corps entier rassemblé est crucial et que toute conception sur les raisons pour lesquelles ils peuvent nous soutenir ou pas peut nous empêcher de les atteindre.
Je sais que nous avons beaucoup à faire dans ce domaine, huit membres du Congrès dans mon État n'ayant pas encore été contactés au sujet de cette Résolution. Mais je suis bien plus confiante sur la façon de les atteindre. Je pense qu'il est important de clarifier la vérité à ces personnes, car des milliers de personnes qu'ils représentent les ont élues. Leurs décisions peuvent affecter un grand nombre de gens.
Le Maître a dit :
« Mais les êtres capables de jouer un rôle représentatif ne sont pas des vies ordinaires. Ce sont assurément des rois de différents univers, qui représentent leurs mondes, leurs univers, leurs corps célestes [...] » (« Qu'est-ce qu'un disciple de Dafa ? »)
Quelles que soient leurs raison de ne pas nous soutenir, elles peuvent être résolues par la vérité.
Le Maître nous a dit dans son enseignement :
« Si les disciples de Dafa ne sont pas capables de défaire les nœuds dans l’esprit de ces gens lorsqu’ils clarifient la vérité, il est possible qu’ils soient encore dans le processus d’avancer pour comprendre Dafa, et pour le moment on ne peut pas les juger de façon probante. En ce moment, on ne peut pas dire qu’ils sont bons et on ne peut pas dire qu’ils sont mauvais. Il est possible que vous n’ayez pas suffisamment fait pour clarifier la vérité. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à Atlanta 2003 »)
De nombreuses portes se sont ouvertes pour moi depuis que je me suis jointe à l'équipe de travail auprès du gouvernement. J'ai eu des occasions de travailler dans de nombreux projets différents avec beaucoup de pratiquants différents, visant tous à sauver les êtres. Avec chaque projet de Dafa dans lequel je me suis impliquée, il semble que je prenne conscience de nouveaux attachements profondément ancrés que j'essaie de cultiver constamment. Des choses comme le confort, la mentalité de me faire valoir, les émotions, même la vanité, continuent de se montrer mais prennent de moins en moins d'importance.
Cela a été un grand honneur de travailler avec tous ces pratiquants et sur tous ces projets. Je pense qu'il y aura beaucoup d'autres occasions au sein des projets à venir. Je me prépare pour chacun d'eux, car ils m'aident à me cultiver et à remplir mes vœux de sauver les êtres.
Merci au Maître, merci à tous !
(Présenté lors de la Conférence de Fa 2015 de la côte Ouest des États-Unis)
Traduit de l'anglais en Belgique
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