(Minghui.org) Des officiers du poste de police de Zhoukoudian à Pékin sont allés chez le pratiquant de Falun Gong M. Yang Yang le 19 novembre 2015 et l'ont arrêté parce qu'il avait déposé une plainte pénale contre Jiang Zemin.

Jiang, l'ancien chef du régime communiste chinois, a lancé la persécution du Falun Gong en 1999.

Les mêmes officiers ont aussi arrêté sa mère, Mme Chen Yuzhen, qui était chez son frère.

M. Yang et sa mère ont déposé des plaintes auprès du Parquet populaire suprême et de la Cour populaire suprême. Ils ont décrit les bienfaits physiques et mentaux qu'ils ont reçus en pratiquant le Falun Gong et la persécution dont ils sont victimes depuis le début de la persécution du Falun Gong.

Ils ont été emmenés au centre de détention du district de Fangshan et sont détenus là-bas depuis deux semaines.

M. Yang et son frère sont chauffeurs de taxi et l'épouse de M. Yang est femme au foyer. Ils ont un fils de deux ans. La famille a perdu ses moyens financiers après l'arrestation de M. Yang.

Son frère n'a pas pu gagner sa vie depuis deux semaines non plus, comme il s'occupe de sauver sa mère et son frère.

Historique

En 1999, Jiang Zemin, à la tête du Parti communiste chinois, lançait la répression violente du Falun Gong sans tenir compte des autres membres du comité permanent du Politburo.

La persécution a conduit à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong au cours des 16 dernières années. Beaucoup plus auraient été torturés en raison de leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la mise en place et du maintien de la persécution brutale.

Sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a créé un organe de sécurité illégal, le « Bureau 610 », le 10 juin 1999. L'organisation supplante les forces de police et le système judiciaire dans l'exécution de la directive de Jiang concernant le Falun Gong : ruiner leur réputation, couper leurs ressources financières et les détruire physiquement.

La loi chinoise permet aux citoyens d'être plaignants dans les affaires pénales, et de nombreux pratiquants exercent maintenant ce droit de déposer des plaintes pénales contre l'ancien dictateur.

Traduit de l'anglais au Canada