(Minghui.org) Le Parti communiste chinois (PCC) s'est engagé dans les prélèvements d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants pour des profits. Ce scandale a motivé de nombreuses personnes indignées à demander ouvertement à y mettre fin et à punir les criminels.

Les pratiquants de Falun Gong de Zhangjiakou, dans la province du Hebei en Chine, ont récolté des signatures sur une pétition appelant à ce que les criminels - Jiang Zemin, Zeng Qinghong, Zhou Yongkang et Bo Xilai (hauts responsables du PCC) - soient traduits en justice et à la fin des prélèvements forcés d'organes. Fin 2014, 10 846 personnes avaient signé la pétition. Ce nombre n'inclut pas les 2 500 signatures récoltées de février à juillet 2014 qui ont déjà été rapportées.

La pétition appelant à la fin du crime des prélèvements forcés d'organes du PCC. Les signatures et les empreintes digitales sont à droite.

Commentaires de signataires

Après avoir lu la pétition décrivant les crimes du PCC, un retraité a déclaré : « Jiang Zemin n'a fait que mal faire. Je veux absolument signer ! » Il a également apposé son empreinte digitale et démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Après avoir écouté une explication sur les prélèvements d'organes à vif du PCC, une vieille dame s'est mise à pleurer : « Le Parti est si odieux ! Il tue tant de gens. Je veux signer la pétition. » Elle a pris le stylo, mais a réalisé qu'elle ne savait pas écrire et a demandé : « Pouvez-vous m'aider à la signer ? » Elle a apposé son empreinte sur le formulaire.

Chez un grossiste en alimentation, un pratiquant a demandé à une vendeuse : « Vous a-t-on parlé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées pour avoir un avenir sûr ? » La dame a répondu : « Oui et on m'a aidée à démissionner du Parti. Je sais que le Falun Gong est bon. Les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. »

Alors que le pratiquant lui montrait le formulaire de pétition, une cliente est entrée et a dit : « Ne vous inquiétez pas. Je veux moi aussi signer la pétition. »

En distribuant des calendriers avec des informations sur le Falun Gong, les pratiquants disaient aux gens : « Le PCC prélève des organes sur des personnes vivantes. Bo Xilai et Zhou Yongkang ont été arrêtés. Jiang Zemin a lui-même émis l'ordre de prélever les organes sur des pratiquants de Falun Gong. Maintenant l'Organisation Mondiale d'Investigation sur la Persécution du Falun Gong (WOIPFG) enquête sur Jiang. » Un homme a levé la main droite et a crié : « À bas Bo Xilai et Zhou Yongkang ! Faites une enquête approfondie. »

Dans un marché agricole, une dame âgée d'une quarantaine d'années a dit à un pratiquant : « Vous êtes venu dans mon village pour me conseiller de démissionner du PCC. J'ai vu votre pétition, mais ne l'ai pas signée. J'ai lu votre information une fois rentrée chez moi et maintenant je comprends. Je condamne les prélèvements d'organes à vif. Aujourd'hui, je vous vois à nouveau et je veux signer. » Elle a également apposé son empreinte digitale.

Un chauffeur de camion était au téléphone quand un pratiquant lui a donné les documents d'information. Il les a pris et les a posées à côté de lui et a demandé le formulaire de signatures. Il y a jeté un coup d’œil tout en parlant au téléphone. Il a pris un stylo, a signé et a apposé son empreinte digitale.

Historique

Le PCC a lancé la persécution du Falun Gong en 1999 et mène depuis sa politique impitoyable. Des centaines de milliers de pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés, détenus et emprisonnés dans des camps de travail, des centres de lavage de cerveau et des prisons. Le PCC continue à diaboliser le Falun Gong dans tous les médias du pays, et la propagande et la censure ont induit en erreur ceux qui n'ont pas accès aux faits.

Le crime orchestré par l'État des prélèvements d'organes sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants est perpétré par l'armée, les forces de police, les prisons et les professionnels de la santé, qui tirent tous profit de cette entreprise macabre. Les pratiquants constituent désormais une très grande banque d'organes.

Au moins 865 hôpitaux et 9 500 professionnels de la santé sont impliqués, d'après la WOIPFG. Selon des annonces sur les sites Internet des hôpitaux chinois et des articles publiés dans des revues médicales, ces hôpitaux ont transplanté pas moins de 176 267 reins, 40 170 foies et 137 294 cornées jusqu'en septembre 2014.

Malgré la persécution en cours et la censure en Chine, de plus en plus de gens apprennent les faits et sont prêts à aider à y mettre fin.

Traduit de l'anglais en Europe