(Minghui.org) M. Liu a arrêté de pratiquer Dafa quand la persécution a commencé, le 20 juillet 1999. Chaque fois que j'ai essayé de le convaincre de reprendre sa cultivation, il était d'accord mais n'arrivait pas à persévérer.
En septembre 2012, on a diagnostiqué chez M. Liu un cancer du foie à un stade avancé ainsi que de l'ascite. Son ventre distendu ressemblait à celui d'une femme au troisième trimestre de sa grossesse. Après avoir été hospitalisé un mois durant et avoir dépensé près de 10 000 yuans, il n'a constaté aucune amélioration. Les médecins ont dit à sa famille de le laisser « rentrer chez lui et manger tout ce qu'il voulait », ils lui donnaient trois mois à vivre.
Pourtant, quand il a de nouveau persévéré dans la pratique de Dafa, sa maladie au stade terminal a disparu en six mois.
Faire un effort particulier pour l'aider
Voyant son état déplorable, je lui ai dit de recommencer la pratique de Dafa. Il regrettait de ne pas m'avoir écouté par le passé, mais s'inquiétait du fait que le Maître puisse ne plus s'occuper de lui.
Je lui ai dit qu'aussi longtemps qu'il pratiquerait vraiment, le Maître s'occuperait de lui. Le Maître a dit :
« Je ne veux pas laisser tomber un seul disciple de Dafa... »
(« Dans la rectification de la loi il faut la pensée droite, pas le cœur humain » dans Points essentiels pour un avancement diligent Vol. III)
M. Liu a souri. Il a dit : « À partir d'aujourd'hui nous allons étudier le Fa et faire les exercices ensemble. »
Chaque soir après le travail, j'allais chez M. Liu. Il était très faible et ne pouvait pas faire les quatre exercices complètement, plus particulièrement le second. Je lui ai dit de s'efforcer de le faire, mais, après un petit moment, il s'est rassis sur le canapé. J'ai dit : « Vous devez continuer. Vous ne devriez pas vous asseoir quand vous vous sentez fatigué. » Il a répondu en larmes : « Vous n'êtes pas celui qui est malade. Je ne peux vraiment pas le faire. »
J'ai réalisé que mon ton était trop dur et je n'avais pas regardé la situation de son point de vue. J'ai regardé en moi et j'ai vu à quel point mon ton était dans le jugement et méchant. Par la suite, j'ai essayé d'être plus patient.
Ne pas abandonner
Au bout d'un mois, M. Liu pouvait à nouveau faire les quatre exercices debout, mais ses jambes enflées rendaient la méditation assise difficile. Quand j'avais d'autres engagements le soir, je lui disais de finir l'ensemble des cinq exercices tout seul.
Une fois, je ne suis pas allé à son domicile trois soirs de suite. Le quatrième soir, je l'ai trouvé en larmes dans son lit. Sa femme en pleurs m'a dit qu'il ne s'était pas levé depuis trois jours ni n'avait beaucoup mangé. J'ai partagé mes compréhensions des principes du Fa avec lui et je l'ai encouragé à se lever. Il s'est finalement levé dans la douleur et a terminé les quatre premiers exercices.
Après cela, je n'osais plus cesser d'aller chez lui. Avec le soutien du Maître, plus rien ne m'a empêché d'y aller à l'heure.
Survivre à la tempête
Après deux mois, M. Liu était capable de finir l'ensemble des cinq exercices.
Cet hiver-là était particulièrement froid. Une nuit, après que nous ayons fini les exercices, il était près de 23 h. Quand j'ai quitté sa maison, j'ai senti le froid, je ne pouvais même pas ouvrir les yeux à cause de la violence de la tempête de neige. J'ai dû pousser mon vélo au lieu de le conduire. Il faisait nuit noire. J'ai pensé : « Je n'ai rien à craindre avec l'aide du Maître », et j'ai continué en récitant « Livrer bataille », un poème du Maître dans Hong Yin II :
« Galopant sur dix mille lis, brisant la formation des démons
Tranchant complètement les mains noires, éliminant les divinités mauvaises
Peu importent le brouillard épais et le vent féroce qui tourbillonne
La pluie de la montagne le long du chemin nettoie la poussière de l’expédition »
Les routes étaient couvertes de neige et de glace, ce qui représentait un défi pour piloter mon vélo jusqu'à la maison de M. Liu. Quand je suis arrivé, à l'heure, le couple était agréablement surpris. J'ai dit : « C'est le Maître qui m'a aidé à venir ici. Nous devrions tous remercier notre bienveillant Maître ! » Sur le chemin du retour il neigeait encore plus fort et il était même difficile de marcher, encore plus de faire du vélo deux miles (environ 3 kilomètres). Pourtant, cela ne m'a pas demandé trop d'efforts pour rentrer chez moi.
Regarder en moi
Trois mois après que nous ayons commencé, M. Liu pouvait faire la méditation assise pendant 30 minutes. Son état et son appétit se sont tous deux améliorés. Cependant, mon anxiété et la validation de moi-même ont fait surface. Quand je l'ai vu revenir avec un tas de médicaments après un examen à l'hôpital, je l'ai immédiatement grondé : « Avez-vous déjà vu un médecin ou un médicament guérir ce genre de maladie ? » M. Liu a répondu maladroitement : « J'ai senti que j'élevais vraiment mon xinxing, mais avec une si mauvaise maladie, j'ai eu peur de ne pas pouvoir continuer sans médicaments... »
Un pratiquant a partagé dans l'Hebdomadaire Minghui que, chaque jour, ils ont simplement étudié le Fa et fait les exercices avec les compagnons de cultivation qui passaient par du karma de maladie. Ils ont échangé sur la compréhension de croire en le Maître et le Fa. Ils n'ont jamais mentionné les médicaments ou le fait d'aller voir des médecins pour éviter d'ajouter une pression supplémentaire.
J'ai compris que le Maître avait arrangé cette opportunité pour me permettre de m'élever. En regardant en arrière ce que M. Liu a traversé, j'ai senti qu'il avait élevé son xinxing de manière significative. Il a même clarifié la vérité à d'autres. Il a aussi partagé avec moi qu'il n'avait jamais vraiment cultivé par le passé, mais à présent il comprend effectivement ce qu'est Dafa et que le Maître est en train de sauver les êtres.
Guérison complète en six mois
Au printemps suivant, le ventre distendu de M. Liu était redevenu normal. Un examen a montré qu'il n'avait plus d'ascite. Le médecin lui a suggéré de demander un deuxième avis dans un autre hôpital, mais M. Liu a refusé.
Un jour, alors que M. Liu était en train de faire le deuxième exercice, il a pensé : « Beaucoup de pratiquants ont dit que quand le Maître purifiait nos corps, nous pouvions le sentir. Maître, pouvez-vous, s'il vous plaît, me laisser le sentir une fois ? » Avec cette pensée, il a immédiatement senti l'ensemble de ses pores s'ouvrir, à la façon dont le soleil brille dans les films. Cette fois-ci, M. Liu l'a vraiment senti lui-même.
Traduit de l'anglais en France
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