(Minghui.org) Des agents de la sécurité intérieure m'appelaient fréquemment car ils voulaient savoir où je me trouvais. J'ai demandé à ma famille de s'occuper de ces appels, mais ils ont insisté pour que j'aille parler à ces gens. J'ai pris conscience que le Maître voulait peut-être que je parle aux agents du Falun Gong.

J'avais encore des peurs et du ressentiment et je regardais les policiers de haut, mais j'ai abandonné mes conceptions. Je me suis bien habillé et je me suis senti entouré par l'énergie bienveillante du Maître.

Au bureau de la sécurité intérieure, j'ai rencontré le capitaine et plusieurs autres agents. Je n'avais pas peur et je n'étais pas nerveux, je me sentais calme au contraire.

Ils avaient fait du thé et on aurait dit qu'ils m'attendaient. J'ai compris que leurs côtés conscients avaient attendu cet instant.

Tous ont patiemment écouté ce que je disais au sujet du Falun Gong. Un agent en particulier, qui était connu pour avoir persécuté les pratiquants de Falun Gong, a posé beaucoup de questions au sujet d'une prophétie dans le Guizhou.

Dans le Guizhou, il y a un rocher portant six caractères chinois formés naturellement. Il est écrit : « Le Parti communiste chinois périt ». Le rocher, vieux d'environ 270 millions d'années, a été trouvé par un secrétaire de Parti du village en 2002. il a posé des questions au sujet de Shen Yun Performing Arts, qui fait revivre la culture traditionnelle chinoise pour le monde entier sous forme de danse, de chants et de musique.

Je leur ai dit : « Vous avez persécuté le Falun Gong pendant tant d'années, vous devrez faire face à la rétribution. » Lorsque l'agent a répondu que le Bouddha pourrait les sauver, j'ai dit : « Si vous voulez que le Bouddha vous sauve, vous devez écouter le Bouddha. »

Cet agent m'a ensuite donné un sac rempli de brochures du Falun Gong confisquées. Il y avait un petit mouchoir attaché au sac, que le pratiquant avait utilisé pour essuyer la sueur. Voir cela a suffi à me faire mal au cœur.

J'ai dit : « Je vous prie de me laisser garder les dépliants. Vous avez déjà commis un crime en les confisquant. Qui sait ce qui pourrait se passer si vous ne réparez pas les torts que vous avez causés ? Je suis réellement inquiet pour votre avenir. »

L'agent a dit que la police locale avait arrêté le pratiquant, pas eux. Je leur ai parlé pendant un long moment du Falun Gong et ils ont écouté patiemment et attentivement.

Finalement, j'ai dit à l'agent qu'il ressemblait à mon beau-frère et il a demandé s'il pouvait me considérer comme un ami. Je lui ai dit : « Non, vous avez persécuté des pratiquants et commis des crimes tellement énormes. Votre seule issue est de démissionner du PCC. » Il n'a pas répondu.

Je suis sorti du bureau et je suis resté debout dans l'entrée. L'agent m'a suivi et je lui ai à nouveau demandé s'il était membre du PCC. Il a fait signe que oui de la tête et j'ai dit que j'allais l'aider à démissionner du PCC et de toute organisation affiliée dont il était membre. Il a été tout de suite d'accord.

Avec l'aide du Maître, j'ai réussi quelque chose que je n'aurais jamais cru possible. C'est vraiment comme le Maître l'a dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître » (Zhuan Falun).

Traduit de l'anglais en Belgique