(Minghui.org) En raison de ma foi dans le Falun Dafa, j'ai un jour été torturé jusqu'au seuil de la mort. Mais je n'ai jamais perdu ma foi. Trois mois après être rentré chez moi, j'avais complètement guéri.

J'ai été arrêté et emmené au camp de travail après que j'ai été à Pékin faire appel pour le Falun Dafa en 2000. Les policiers m'ont fait subir de façon répétée des électrochocs avec des matraques électriques, m'ont privé de sommeil pendant toute une semaine et privé de nourriture. Je n'avais pas la permission de me laver ni de changer de vêtements.

Mes blessures ont vite commencé à suppurer et saigner. Ma tête était enflammée et mes mains étaient tellement gonflées que je ne pouvais pas plier les doigts. Mon urine était de couleur rouge foncé. Les policiers m'ont emmené dans un hôpital militaire où un médecin a dit : « Il n'y a rien que nous puissions faire pour cet homme. Il peut mourir à tout moment. » On m'a dit que je souffrais d'une néphrite aiguë et de l'hépatite B sévère. Sans me permettre aucun traitement médical, les policiers m'ont ramené au camp de travail.

Mais les policiers voulaient encore m'utiliser pour discréditer le Falun Dafa. Le lendemain matin, ils m'ont emmené à l'infirmerie du camp et m'ont couché dans un lit avec des draps blancs et une bouteille à perfusion vide accrochée à proximité, prétendant que j'étais soigné. Un cameraman était prêt à tout filmer. J'ai refusé de coopérer et dit qu'ils essayaient de tromper les gens en disant que j'étais malade parce que je pratiquais le Falun Dafa.

Les policiers m'ont finalement ramené à la maison. Ils ont demandé à deux médecins de nous accompagner dans la voiture de police. « Nous ne voulons pas que tu meures sur le chemin de retour chez toi. Ne laisse pas les gens savoir que tu as été torturé dans le camp de travail ou tu auras de graves problèmes » ont-ils déclaré.

Quand ils ont entendu dire que je mourais, beaucoup de mes amis et proches sont venus me rendre visite. Voyant le terrible état dans lequel je me trouvais, ils m'ont exhorté à aller à l'hôpital. J'ai refusé, car les médecins avaient déjà dit qu'il n'y avait rien qu'ils puissent faire. Mais je croyais fermement que le Falun Dafa pouvait me sauver, alors je me suis fié à ma pratique.

Un matin, ma sœur m'a rendu visite. En regardant une plaie sur ma cuisse qui s'était envenimée, elle a déploré : « Une noix pourrait tenir dans ce trou. » Après le dîner, quand elle a de nouveau vérifié mon état, elle a commencé à crier : « Tout le monde, venez, venez voir ! Le grand trou que j'ai vu ce matin a disparu ! » En effet, la nouvelle chair avait rempli la cavité en une seule journée. Ma sœur était tellement heureuse qu'elle m'a encouragé à continuer à pratiquer le Falun Dafa.

Trois mois après être rentré chez moi, j'avais complètement guéri de la néphrite aiguë et de l'hépatite B et des nombreuses blessures qui s'étaient envenimées. Je suis me suis rendu en vélo chez ma tante pour sa fête d'anniversaire. Ma tante a crié quand elle m'a vu arriver : « Mon neveu a guéri ! Il est vraiment rétabli ! » Tout le monde à la fête a été témoin du miracle du Falun Dafa.

Merci, Maître, de m'avoir donné une seconde vie ! Le Falun Dafa est l'espoir et l'avenir pour tous les êtres.

Traduit de l'anglais au Canada