(Minghui.org) Ma sœur aînée est venue nous rendre visite en août 1997 et nous a dit que notre mère était devenue une autre personne. En en parlant, elle a dit que nous devions remercier le Falun Gong pour sa transformation.

Elle m'a aussi dit que toutes les maladies de ma mère avaient disparu et que son humeur s'était améliorée.

Quand j'ai vu ma mère, j'ai remarqué qu'elle avait effectivement changé et qu'elle ressemblait et marchait comme une jeune femme. De quelqu'un qui dénigrait sa vie et disait souvent qu'elle préférerait mourir plutôt que de vivre, elle s'était transformée en cette personne dynamique.

À la conquête des interférences

Ma mère m'a donné le Zhuan Falun, le livre principal de la pratique, en mars 1998. Elle espérait, comme j'étais en mauvaise santé, que je voudrais profiter des bienfaits de la pratique du Falun Gong.

Après autant d'années d'athéisme dans l'éducation du Parti communiste chinois (PCC), je croyais que les êtres divins étaient des histoires de vieilles femmes. En conséquence, je ne pouvais pas reconnaître le caractère précieux de ce livre. Je voulais quand même, parfois, lire le livre, mais je rencontrais des interférences, sous forme d'envie de dormir, qui arrêtaient toutes tentatives d'en lire davantage.

Quand un lieu de pratique a été mis en place près de chez moi, je suis devenue plus curieuse et j'ai décidé d'y jeter un œil. J'ai étudié le Fa et appris les exercices ce jour-là.

Certains pratiquants m'ont dit que ma qualité innée était bonne car j'ai été capable de tenir la position en double-lotus pendant 30 minutes après trois jours. Sur ce chemin il semblait que le fondateur du Falun Gong, que les pratiquants appellent Maître, n'a pas renoncé à moi et m'a aidée à devenir une pratiquante.

Après avoir pratiqué le Falun Gong pendant quatre jours, je me suis réveillée dans la nuit et j'ai vu un grand Falun coloré devant moi, lui-même entouré par de nombreux petits Falun dorés et brillants. Quand je me suis réveillée, mon corps se sentait si bien, comme si toutes mes maladies avaient disparu. Pas étonnant que ma mère n'ait cessé de me dire d'étudier le Falun Gong.

C'est exactement comme le Maître a dit :

« ''Quand la nature de bouddha surgit chez quelqu’un, le Monde des Dix Directions en est ébranlé.'' Celui qui voit cela viendra l’aider et l’aidera inconditionnellement. Dans l’école de Bouddha, on ne pose aucune condition préalable, on ne demande rien en échange pour sauver quelqu’un, on peut l’aider inconditionnellement, c’est pourquoi nous pouvons accomplir beaucoup pour les élèves. » (Zhuan Falun)

Son mari battu

Mon mari a aussi rencontré des problèmes de santé, le pire étant une polyarthrite rhumatoïde qui était assez douloureuse. Ses symptômes se sont aggravés malgré un traitement médical.

Ayant vu les changements en moi, mon mari a lu le Zhuan Falun d'une traite. Après cela, il n'a plus ressenti ses symptômes de polyarthrite rhumatoïde.

Avant de lire le livre, à cause de ses problèmes de santé, les médecins avaient suggéré qu'il arrête de fumer et de boire. Cependant, il était trop dépendant et il ne pouvait simplement pas arrêter. Pourtant, après avoir lu le Zhuan Falun, il a pu arrêter instantanément.

Après que le PCC ait commencé la persécution du Falun Gong en 1999, mon mari est allé à Pékin pour faire appel pour le droit de le pratiquer. Il a été arrêté et condamné à des travaux forcés. La police l'a battu jusqu'à lui faire perdre conscience.

Peu importe combien de fois ils lui ont dit d'arrêter de pratiquer, il leur a dit qu'il n'en ferait rien. Ils ont continué à le battre mais se sont arrêtés quand ils ont pensé qu'il pouvait mourir. Ils l'ont relâché et il est rentré chez lui à bicyclette.

Rétribution karmique immédiate

Malgré la brutale persécution, mon mari et moi avons refusé d'abandonner le Falun Gong. Environ 20 pratiquants de la ville et des environs, moi compris, avons décidé de faire une présentation des exercices du Falun Gong lors d'une foire, en novembre 1999. Bien que nous ayons l'interdiction de faire les exercices, nous avons décidé de passer outre.

Plusieurs voitures de police sont apparues et se sont arrêtées sur un pont à environ 100 mètres. Nous avons discuté de la situation et avons décidé que Authenticité-Bienveillance-Tolérance est le plus grand bien et que nous n'avions rien fait de mal. Nous avons continué, alors la police nous a arrêtés. Nous avons réalisé plus tard que nous n'avions pas bien compris le Fa car nous aurions dû partir quand il était encore temps.

Deux pratiquantes avaient des enfants avec elles, âgés respectivement d'un an et de trois ans. La police a confisqué tout notre argent, et nous a alors torturés, essayant de découvrir qui nous avait conduits là. Finalement, ils nous ont divisés en petits groupes et nous ont mis dans plusieurs cours.

Un officier qui semblait être le chef s'est approché de moi le lendemain. Je lui ai dit que nous, y compris les enfants, n'avions pas eu de nourriture ni d'eau. J'ai demandé qu'ils nous rendent nos affaires et qu'ils nous laissent rentrer chez nous. Il est devenu sarcastique et m'a dit que nous n'avions qu'à demander à notre Maître de nous apporter de la nourriture.

En fait, il était complètement irrationnel, criant et gesticulant. Il a attrapé mes cheveux, m'a défoncé le visage et m'a rouée de coups de pieds. Je lui ai dit que j'avais dû l'offenser avec quelque chose que j'avais dit, et de laisser s'exprimer sa colère sur moi.

Immédiatement ses mains se sont immobilisées en l'air. Il se tenait là, comme pétrifié. J'ai vu ses mains qui semblaient plus sombres et longues, presque comme des mains de fantômes. Son visage était devenu plus noir aussi. Il a regardé, surpris, ses mains, puis m'a dit de le laisser tranquille.

« Le Maître t'a protégée ! » m'a dit un pratiquant. « Ce policier a frappé ton visage. Ton visage n'a pas été meurtri, mais cette partie de son visage a noirci. Il a reçu une rétribution karmique immédiate pour t'avoir battue. »

Il avait changé le temps que je le revois. « Quand vous serez sortie, pratiquez seulement chez vous si vous pensez que c'est bon. » a-t-il-dit. « Ne le faites pas en public. Vous savez comment est le PCC. Vous ne pouvez pas lutter contre lui. »

« Comme je vous l'ai dit hier, ma vie m'a été donnée par mon Maître » ai-je dit. « Sans le Falun Gong, je ne sais pas ce que je ferais maintenant. Vous ne savez pas combien il est bon puisque vous ne le pratiquez pas. Si vous le faisiez, vous pourriez être encore plus ferme que moi. »

Bienfaits suite à la lecture du Zhuan Falun

La petite-amie de mon fils, qui a fini par l'épouser le jour de l'anniversaire du Maître, avait eu des problèmes d'estomac. Elle avait de vives douleurs après chaque repas et elle pensait que c'était étrange que nous ne prenions aucun médicament dans notre maison. Elle disait que sa famille avait un tiroir plein de médicaments chez eux. Avant de pratiquer le Falun Gong, nous avions aussi pris des tas de médicaments.

J'ai pensé que c'était une occasion parfaite pour lui présenter le Falun Gong et pour lui dire combien j'en avais eu de bénéfices. Ainsi j'ai expliqué que les publications du PCC au sujet du Falun Gong étaient inexactes et qu'ils s'en servaient pour justifier sa persécution. Elle a été choquée par la malveillance du PCC et a aussi été d'accord pour en démissionner.

Après avoir lu le Zhuan Falun, elle n'a plus été incommodée par des maux d'estomac.

Mon fils et elle ont eu une petite fille au cours de l'été 2008. Notre petite-fille aimait regarder Shen Yun et restait assise devant le spectacle complet à l'âge d'un an. À deux ans et demi elle voyait souvent le Maître et un Falun en rotation avec son œil céleste et elle était capable de réciter plus de 50 poèmes de Hong Yin. Elle faisait aussi souvent la méditation assise pendant plus d'une demi heure.

Il y a tellement d'histoires à raconter. Mais, pour finir, nous savons que tout ce que nous avons nous a été donné par le Maître.

Traduit de l'anglais en France.