Lorsqu'on veut, on peut

(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996 et ai connu de nombreux événements miraculeux depuis. Grâce à ces événements, j'en suis venu à réaliser l'étendue du pouvoir extraordinaire de Dafa et le fait que si on a la pensée droite, lorsqu'on veut, il est certain qu'on peut.

Voici quelques anecdotes sur la façon dont Dafa m'a aidé à résoudre certaines situations difficiles.

Quand le Parti communiste chinois (PCC) a commencé la persécution en 1999, des centaines de banderoles étaient affichées au cours de la nuit pour diaboliser Dafa. Elles étaient placardées sur presque tous les murs de mon quartier. Donc, les pratiquants locaux et moi avons décidé que nous devrions prendre des mesures immédiatement. Nous avons détruit radicalement les banderoles avec des couteaux, peint dessus et les avons enlevés - tout pour éliminer les calomnies imprimées dessus.

Une fois, j'ai vu un panneau accroché trois mètres au-dessus du sol à une intersection achalandée. J’étais déterminé à enlever le panneau afin que les gens ne soient pas induits en erreur par son message.

La nuit, tout en émettant la pensée droite, j'ai roulé à vélo jusqu'à l'endroit où était le panneau et je me suis tenu debout sur mon vélo. Mais je ne pouvais toujours pas l'atteindre.

Une pensée m'est venue à l'esprit tout d'un coup : je devrais demander l'aide du Maître. Peu de temps après avoir eu cette pensée, j'ai tourné la tête et ai vu une échelle en bois gisant sur le sol, une échelle qui n'était pas là quand je m'y étais rendu la dernière fois. Le Maître avait répondu à ma demande d'aide.

J'étais ravi et j'ai rapidement enlevé le panneau à l'aide de l'échelle.

Voler sur une route glacée

Il y avait six éléments de propagande diffamant Dafa mis en place à une certaine distance de l'endroit où je vivais. Parce qu'ils étaient également en face du département de police, nous n'avons pas éliminé les panneaux pendant une longue période. J'ai parlé avec les autres pratiquants de la région et nous avons décidé que ce serait un travail que nous ferions à deux. Cependant, puisque nous vivions tous loin les uns des autres, il était difficile de trouver un moment qui convienne à tous nos horaires.

J'ai pensé en moi-même : « Je suis un disciple de Dafa. Le Maître me protège. Je peux le faire moi-même. »

C'était glacé et il avait neigé pendant plusieurs jours. Les routes étaient recouvertes de glace et même les gens en marchant glissaient souvent et tombaient. J'ai demandé au Maître de veiller sur moi et suis parti à vélo la nuit.

Mon vélo glissait sur la glace, mais ne s'est pas renversé - en fait, la glace m'a fait vraiment accélérer. J'avais la sensation de voler sur la glace.

Bientôt, je suis arrivé à ma destination et j'ai enlevé les six panneaux diffamatoires. J'ai remercié le Maître pour son aide.

Une rencontre fortuite avec un chauffeur de taxi

Afin d'aider les gens à apprendre la vérité à propos de Dafa et de la persécution, j'allais dans les zones rurales pour distribuer des informations expliquant les faits - quelque chose de bien différent de ce que la propagande du Parti les avait amenés à croire. Habituellement, les compagnons de cultivation m'y conduisaient, mais après un moment j'ai compris que je ne devrais pas compter sur les autres.

Un jour, j'ai pris le bus à 18 h et suis allé à un village situé à plus de 15 km de l'endroit où je vivais. Au moment où j'avais donné toutes mes brochures, il était passé 22 h du soir. J'avais manqué le dernier bus pour retourner en ville.

J'ai émis la pensée droite et ai supplié le Maître de m'aider, et une chose extraordinaire s'est produite. Un taxi s'est soudainement arrêté sur le côté de la route.

J'ai couru vers le conducteur et ai demandé : « Est-ce que vous allez en ville? »

Il m'a dit oui et m'a dit de monter à bord.

Le chauffeur de taxi m'a dit qu'il avait prévu ne pas conduire de longues distances après 18 h. Cependant, un client qui vivait dans le village avait insisté pour faire le trajet et le conducteur ne pouvait pas lui refuser.

Le conducteur a dit : « Vous ne trouvez pas que c'est un peu étrange ? C'est comme si on m'avait envoyé pour vous ramener à la maison. »

J'étais en larmes. Je savais que c'était encore l'arrangement du Maître.

Emprisonné et relâché

En novembre 2004, l'Epoch Times a publié les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Les pratiquants qui vivent dans ma ville ont commencé à distribuer des copies du livre au public. En raison de nos attachements et de notre incapacité à cultiver la parole, la perversité dans les autres dimensions a profité de nos lacunes. Trois pratiquants ont été arrêtés pour avoir distribué le livre.

On m'a aussi amené au poste de police. Lorsque les agents m'ont interrogé, je me suis rappelé que je suis un disciple de Dafa. J'ai refusé de coopérer avec eux et ne leur ai pas donné de noms. Même si j'avais des lacunes dans la cultivation, personne ne devrait l'utiliser pour me persécuter ni me condamner à la prison.

Un policier m'a dit que j'étais la première personne en Chine à répandre les Neuf commentaires et que j'avais commis un crime grave. Il m'a même montré un mandat de détention avec mon nom dessus.

Je n'étais pas dérouté par ses menaces et ai continué d'émettre la pensée droite tout en récitant le Fa à haute voix. J'ai été détenu de 9 h à 18 h.

J'étais ferme dans ma foi dans Dafa et ai demandé l'aide du Maître.

Bientôt, la porte s’est ouverte et le directeur du Bureau 610 local est entré.

J'ai dit : « Je n'ai commis aucun crime. Laissez-moi rentrer à la maison. »

Un policier a disparu de la salle, puis est revenu et m'a dit que j'étais libre de partir. Il m'a conduit à la maison dans une voiture de police, sain et sauf.

Traduit de l'anglais au Canada