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(Minghui.org) Comme les pratiquants de Falun Gong persistent sans cesse à sensibiliser le public chinois sur leur brutale persécution, de plus en plus de policiers refusent maintenant en silence de procéder à la directive de la répression. C'est qui est arrivé récemment dans ma ville.

Une pratiquante a été arrêtée et emmenée au poste de police alors qu'elle distribuait des documents d'information sur la persécution.

« Comment vous appelez-vous ? Où habitez-vous ? » a demandé le policier.

« Je ne peux pas vous le dire », a répliqué la pratiquante.

« Croyez-le ou non, je peux savoir qui vous êtes en seulement trois jours. »

Le policier est devenu inquiet.

« Ce n'est pas que je ne veuille pas vous le dire, mais c'est que je ne peux pas vous le dire. Pensez-y, la persécution est mauvaise. Je souhaite juste que les gens soient au courant. Si on regarde l'histoire, aucun des auteurs qui ont persécuté des personnes innocentes n’a eu une bonne fin. Je ne veux pas que vous deveniez un complice de la persécution. »

Ce policier a semblé reconsidérer la situation. Ses autres collègues ont hoché la tête en accord.

Après un moment, le policier est revenu et a demandé : « Avez-vous déjeuné ? »

« Non. »

« Vous pouvez sortir pour déjeuner maintenant » a-t-il dit.

La pratiquante est sortie déjeuner. Aucun policier ne l'a suivie.

Après le déjeuner, elle a pensé : « Devrais-je rentrer à la maison ou devrais-je retourner au poste de police ? Si je pars sans rien leur dire, leur superviseur leur donnera-t-il du fil à retordre ? »

Elle a décidé de retourner au poste de police.

Le policier l'a vue et a dit, « Sortez et allez déjeuner ! »

« Il sait que je viens d'aller déjeuner, pourquoi est-il en train de me demander à nouveau d'aller déjeuner ? » a pensé la pratiquante.

« Ne revenez pas ! » lui a chuchoté le policier.

Avec le sourire, la pratiquante s'est levée et est retournée chez elle.

Traduit de l'anglais au Canada