(Minghui.org) Les nombreuses choses merveilleuses qui sont arrivées à des pratiquants dans notre région au fil des ans ont validé la nature extraordinaire du Falun Dafa envers nous. Elles nous ont fait sentir que le Maître est avec nous en tout temps, nous enseignant avec beaucoup de soin, nous protégeant avec compassion. En tant que disciples de Dafa, peu importe les circonstances, tant que nous croyons dans le Maître et Dafa et restons sur le droit chemin, aucune difficulté ne peut nous arrêter !

Voici quelques exemples.

Fin 2000, un pratiquant âgé, nous l'appellerons M. Wang, est allé à Pékin faire appel pour le droit de pratiquer le Falun Dafa. Il a été arrêté et envoyé au camp de travaux forcés de Jiutai pendant deux ans. Les pratiquants là-bas étaient soumis au « lavage de cerveau forcé » pour tenter de leur faire abandonner le Falun Dafa.

M. Wang était l'aîné de cette équipe, alors il a été appelé « Premier ». Sur la table, se trouvaient une rangée de plus d'une dizaine de matraques électriques de grande capacité et plusieurs bâtons de plastique crantés. Il y avait aussi un fouet fabriqué de câbles électriques.

Les gardes ont dit à M. Wang : « Notre chef nous a donné des ordres stricts : 'Tout le monde doit renoncer au Falun Gong.' » M. Wang a refusé. Ils ont dit : « Regarde ces instruments de torture ; peux-tu les endurer ? La plupart des gens ne peuvent pas les endurer Si nous te lançons des coups de pied, nous pouvons t'arracher les yeux (ils avaient suivi une formation spéciale) Tu as trois minutes pour y penser. »

M. Wang a été stupéfait pendant un moment, mais a immédiatement pensé aux enseignements du Maître. Il leur a répondu : « Mon Maître dit :

« Je suis enraciné au plus profond de l’univers; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait et pour le dire carrément, il s’en prendrait à l’univers. » (Zhuan Falun)

Les gardes ont été surpris par ce qu'il a répondu. Un a finalement dit : « Eh bien, retourne donc à ta cellule. Je vais bien finir par t'avoir. » En retournant M. Wang a pensé que c'était la puissance de la vertu majestueuse de Dafa et l'immense vertu du Maître, que le Maître avait le dernier mot et que nous, disciples, pouvons passer toutes les difficultés quand nous sommes « dans le Fa ». À par M. Wang, presque tous les disciples de Dafa ont ensuite été torturés.

Une autre pratiquante, que nous appellerons Mme Jiang, était illégalement détenue dans un centre de détention pour la première fois. Au début, elle ne faisait qu'attendre passivement, mais elle s'est alors rendu compte qu'elle ne devrait pas être dans un centre de détention, alors elle a demandé au Maître de l'aider à rentrer à la maison.

Mme Jiang a clarifié la vérité aux prisonniers près d'elle et a ensuite déposé un recours pour se plaindre de sa détention illégale. Elle a saisi l'occasion présentée par son appel pour clarifier la vérité. L'appel avait été accepté, mais pas encore entendu.

Mme Jiang était presque endormie quand elle a vu un homme à côté d'elle. Elle ne savait pas qui c'était, il lui a simplement dit : « Dépêche-toi de sortir ! » Quand Mme Jiang s'est réveillée, elle a pensé que le Maître venait de lui donner un indice.

À ce moment, la cloche a sonné, et elle a pensé que c'était un autre indice. (Auparavant, Mme Jiang n'avait pas l'autorisation de sortir, probablement pour lui empêcher tout contact avec d'autres pratiquants.) Alors, elle s'est précipitée dehors. Les gardes étaient nerveux et sont sortis pour l'arrêter.

Mme Jiang leur a dit : « Tout le monde ici a le droit de sortir. Vous me privez de ce droit et violez la loi. » Moins de 10 minutes plus tard, tout le monde était rappelé à l'intérieur. Le chef de section a dit que c'était parce que Mme Jiang était sortie que tout le monde devait rentrer tôt.

Mme Jiang s'est demandé si oui ou non elle avait fait la bonne chose. Elle a réalisé qu'elle avait eu raison. À ce moment-là, le gardien a appelé son nom et lui a demandé de plier bagage et de retourner chez elle.

Lors de sa deuxième arrestation, Mme Jiang a été informée que la police avait dit que d'autres pratiquants avaient fourni des informations à son sujet. Comme elle n'obéissait pas à leurs ordres, la police avait prévu lui menotter les mains derrière le dos.

Mme Jiang a immédiatement émis une pensée : « Maître, veuillez aider. Je ne peux pas laisser leur conspiration perverse réussir ! » Les trois grands et forts gardes n'ont tout simplement pas réussi à la tenir pour lui mettre les menottes.

Les six fois suivantes où elle a été interpellée, ils n'avaient aucune preuve. Ils ne l'ont même plus torturée. Au fil du temps, cependant, Mme Jiang est devenue exaltée. C'était une lacune dont la perversité a tiré profit.

Bien qu'ils ne disposaient pas de preuves contre elle, elle a été envoyée au camp de travaux forcés. En chemin vers le camp, Mme Jiang savait qu'elle avait fait fausse route et a dit au Maître dans son cœur : « Maître, je suis désolée ! S'il vous plaît soyez assuré que même si je suis envoyée au camp de travail, je ne trahirai jamais Dafa. Mais si je ne le suis pas, je vais rentrer à la maison et je ferai ce que je dois faire. » Mme Jiang a passé l'examen médical administré aux nouveaux détenus mais les résultats n'étaient pas bons. Elle est rentrée chez elle ce jour-là, sachant que le Maître l'avait aidée à nouveau.

En 2002, une autre pratiquante, Mme Huang, a été saisie et emmenée au poste de police. Dans une tentative pour la contraindre à révéler la source de ses documents clarifiant la vérité, les policiers l'ont battue pendant 24 heures. Elle était couverte d'ecchymoses et ses pieds étaient si enflés qu'elle ne pouvait pas porter de chaussures. Ils ont fabriqué des preuves pour l'inculper.

Mme Huang a demandé silencieusement l'aide du Maître : « Maître, je ne peux pas être ici ; Je dois sortir. » Dans la salle où Mme Jiang était maintenue, il n'y avait qu'une seule petite fenêtre à environ un mètre du sol, protégée par des barres de fer. Elle ne pouvait pas les bouger.

Mme Huang s'est dit : « Je peux sortir d'ici. » Les policiers étaient endormis à côté et elle a demandé au Maître de ne pas leur permettre de se réveiller. En endurant la douleur dans ses pieds, elle a grimpé sur la petite corniche. Elle a poussé sur les barreaux à quelques reprises, mais chaque fois qu'elle le faisait, une moto à l'extérieur de la fenêtre faisait un bruit. Elle avait peur que les policiers se réveillent, elle a demandé au Maître d'aider à rendre la moto plus silencieuse, et cela a réussi.

Mme Huang a poussé les barreaux des dizaines de fois, mais sans effet. Elle a pensé à nouveau : « Maître peut certainement me laisser sortir ! » Elle a mis sa tête sur les barreaux, même s'ils n'étaient espacés que de 12 cm l'un de l'autre et que sa tête était trop large pour passer à travers.

Mais alors, tout à coup, sa tête a glissé à travers les barreaux ! Elle s'est dit : « Alors, que dire de mon corps ? » Mme Huang était un peu intimidée, mais tout de suite a pensé : « Ça n'a pas d'importance ; il peut passer. » Elle a bougé un peu, et il a été très facile de sortir. Elle s'est ensuite assise sur le rebord de la fenêtre.

En raison de ses pieds enflés, elle ne pouvait pas sauter. Tout d'un coup, elle a vu un écolier et l'a interpellé pour de l'aide. Alors, Mme Huang est descendue de la fenêtre et a appelé un taxi.

Lorsque les amis de Mme Huang ont entendu ce qui était arrivé, ils étaient stupéfaits. Mais les disciples de Dafa savent que Dafa est vraiment miraculeux !

Traduit de l'anglais au Canada