(Minghui.org) Quand ma belle-sœur et son mari rentraient d’une visite rendue à leur fils à la fin juin de cette année, un policier dans une gare de train les a fouillés. Il a trouvé un livre du Falun Gong, des DVD de Shen Yun Performing Arts et des logiciels pour contourner le pare-feu Internet de la Chine. Le couple a été arrêté et détenu au poste de police local.

Le mari, qui ne pratique pas le Falun Gong, a été libéré à 14 h et nous a informés de l’arrestation. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter et lui ai demandé de venir avec moi au poste de police pour demander la libération de sa femme.

Entretemps, j’ai demandé aux compagnons de cultivation d’émettre la pensée droite. Ma femme est allée avec nous au poste de police et elle et moi avons continué à émettre la pensée droite. J’ai pensé que le Maître était avec moi et que ma belle-sœur serait libérée.

Au poste de police, ma belle-sœur était assise tranquillement sur une chaise et semblait très calme.

J’ai trouvé le directeur et j'ai dit : « Vous êtes le directeur de police. Êtes-vous au courant que des centaines de milliers de personnes déposent des plaintes pénales à la Cour populaire suprême et au Parquet populaire suprême contre Jiang Zemin pour la persécution du Falun Gong ? »

« Jiang Zemin a foulé aux pieds la Constitution chinoise et les lois chinoises existantes pour diffamer le Falun Gong. C’est illégal d’arrêter, de détenir et de fouiller les pratiquants de Falun Gong. Les instigateurs de la persécution seront traduits en justice. La justice l’emportera. »

Il m’a dit qu’elle avait deux options : elle pourrait assister à une session de lavage de cerveau ou être détenue. C’était à moi de choisir. Je lui ai dit qu’aucune des deux options n’était acceptable, que la seule option était de la libérer, ce qui résoudrait le problème. Il est parti sans rien dire.

Le directeur de police adjoint est ensuite venu et a demandé à ma femme de partir. J’ai vu le directeur se préparer à quitter le poste de police, alors je l’ai stoppé et lui ai demandé ce qu’il ferait maintenant.

« Vous n’avez qu’à faire ce que vous voulez et emmener votre belle-sœur chez elle », a-t-il répondu.

Nous quatre avons quitté le poste de police. Ma belle-sœur a dit qu’elle avait émis la pensée droite sans arrêt. Elle a aussi demandé au Maître de lui donner du courage et de la force, elle n’avait pas peur et a parlé aux policiers des faits sur le Falun Gong.

De cette expérience, nous avons eu une véritable compréhension sur ce que le Maître a dit :

« Quand les pensées sont droites

la perversité s'écroule »

(« Qu'y a-t-il à craindre » dans Hong Yin (II))

Traduit de l’anglais au Canada