(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. Je ne pouvais pas lire avant que je pratique le Dafa, donc les pratiquants m'ont appris à lire le Zhuan Falun, mot par mot.

Le Maître m'a donné la sagesse. J'ai appris à lire rapidement les mots et bientôt, je pouvais reconnaître chacun d'eux. J'ai aussi essayé de lire d'autres livres du Maître avec l'aide des pratiquants. Je me sentais m'élever très rapidement dans ma cultivation, parce que je pouvais lire.

Après que j'ai pratiqué le Dafa, j'ai guéri de nombreuses maladies. Je pouvais marcher très vite et mon visage avait un éclat sain. Ma peau est devenue aussi délicate. J'avais l’air plus jeune que mon âge – les gens disaient que je ressemblais à une femme de cinquante, même si j'étais dans mes 70 ans.

Je dois remercier le Dafa pour mon amélioration physique et mentale.

Marcher plus de 32 km pour parler aux gens de Dafa dans les régions éloignées

Nous avons commencé à parler de Dafa aux gens dans les régions éloignées au début de 2013. Parfois, nous avons marché plus de 32 km par jour, ce qui signifie que nous avons marché jusqu'à aujourd’hui plusieurs milliers de kilomètres.

Il y a ceux qui nous ont insultés et il y en a d'autres qui étaient reconnaissants d’apprendre les faits au sujet de Dafa.

La police nous a recherchés, mais ils étaient incapables de nous rattraper à cause de la protection du Maître. Nous sommes reconnaissants que le Maître veille sur nous.

Le sarcasme de la femme est un bon rappel

Un autre pratiquant et moi sommes allés dans un village reculé pour clarifier les faits au sujet de Dafa le 25 août 2015. Quelqu'un nous a signalés à la police. Ils nous ont rattrapés et nous ont traînés de force vers la voiture de police. Nous avons immédiatement émis la pensée droite et leur avons demandé pourquoi nous étions arrêtés. Ils ont refusé d'écouter et ont confisqué nos documents de Dafa.

Une femme dans la foule a dit avec ironie : « Hé madame, n'avez-vous pas dit que vous sauvez les gens ? Que dites-vous de ces policiers ? Ne devriez-vous pas les sauver aussi ? »

Cela paraissait dur, mais j'ai immédiatement réalisé que c'était un signe pour nous de sauver ces policiers. Ils avaient l'air si jeune, encore plus jeune que mes petits-fils. Ils étaient tellement pitoyables. Si je ne leur parlais pas des faits de Dafa, qui le ferait ? J'ai commencé à pleurer, parce que je ne voulais pas que ces jeunes policiers commettent un crime contre le Dafa.

L'un d'eux pensait que je pleurais parce que j'avais peur.

« Jeune homme, je pleure pour toi », ai-je dit. « Nous deux avons environ 70 ans. Pourtant, pourquoi sommes-nous en si bonne santé ? C'est parce que nous pratiquons le Falun Dafa. Nous n’avons pas commis de crime, mais vous voulez nous emmener au poste de police. »

Alors, je leur ai dit que cet incident détruirait leur avenir et c'est pourquoi je me sentais triste et que j'avais pleuré. Les quatre policiers ne savaient pas quoi me dire.

Enseigner par l'exemple

Pour les aider à comprendre pourquoi ils ne devaient pas commettre de crime contre nous, j’ai expliqué davantage : « Après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de soldats et d'infirmières qui ont suivi les ordres de Hitler et assassiné le peuple juif, ont été exécutés.

« Le Parti communiste chinois (PCC) se débarrasse toujours de ceux qui font leur sale boulot. Beaucoup de gens ont été persécutés à mort pendant la Grande Révolution culturelle et des centaines de policiers ont été exécutés secrètement dans la province du Yuannan après la révolution culturelle. Leur famille a été informée qu'ils sont morts en service. Vous ne devriez pas devenir un bouc émissaire. »

Un policier nous a dit qu'il suivait seulement les ordres. Cela m'a montré quelle direction je devais prendre pour leur parler.

« Avant que le mur de Berlin soit démoli, un jeune soldat a tiré sur un jeune homme qui a tenté d'enjamber le mur », ai-je dit. « Le soldat a été plus tard déclaré coupable. Le PCC a tué tant de gens innocents et est corrompu. Il persécute le Falun Dafa et prélève les organes des pratiquants vivants. Ils vendent ensuite ces organes pour d'énormes profits. Un tel comportement ne restera pas impuni. Si le ciel élimine le PCC un jour, penses-tu que tu échapperas à la punition ? »

Ils ont gardé le silence.

L’interrogatoire

Nous avons été interrogés par deux policiers du poste de police local. Ils voulaient savoir la source de nos documents de Dafa. Nous avons dit que nous ne pouvions pas leur dire, parce que ce serait dangereux pour eux si nous le faisions. Ils ont dit qu'ils nous libéreraient, si nous écrivions une déclaration de garantie de ne plus pratiquer le Dafa.

Ma réponse était que nous étions des bonnes personnes et je leur ai demandé s’ils voulaient nous transformer en des mauvaises personnes.

J'ai dit qu'ils devraient démissionner du PCC et de ses affiliés. Cela protégerait leur famille. Après qu'ils ont compris, les deux étaient d'accord de démissionner du PCC.

Après qu'ils soient partis, deux autres policiers sont entrés dans la pièce, alors je leur ai parlé du coup monté de l'auto-immolation sur la place Tiananmen et leur ai conseillé de démissionner du PCC. Ils ont aussi été d'accord et sont partis.

Pendant que je parlais, l'autre pratiquant a émis la pensée droite.

Les deux policiers qui nous ont arrêtés, sont entrés dans la chambre et ont dit que nous pouvions partir, mais que nous ne pouvions pas prendre nos documents de Dafa. Nous leur avons dit qu'ils pouvaient les garder, mais qu'ils devraient les lire au lieu de les détruire.

Avant que nous partions, nous avons dit : « S'il vous plaît, n'oubliez pas que le Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Ils ont voulu nous ramener avec leur voiture, mais nous avons dit que nous ne voulions pas les déranger. Nous les avons remerciés et sommes partis.

Avec l'aide et la protection du Maître, nous avons été libérés en six heures. La droiture a gagné sur la perversité et nous sommes sortis du poste de police avec dignité.

Traduit de l’anglais au Canada