(Minghui.org) « Vous êtes si jeunes et faites des choses si significatives » a déclaré récemment un homme âgé à des pratiquants de Falun Gong dans le centre ville de Hanovre. « Vous me redonnez espoir dans l'avenir » a-t-il ajouté.

Le 17 septembre 2016, les pratiquants ont organisé des activités dans le centre ville de Hanovre pour sensibiliser les esprits à la persécution du Falun Gong par le régime communiste chinois. Quelques bénévoles du groupe y maintiennent une présence depuis plus de dix ans.

Les gens s’arrêtent au stand du Falun Gong dans le centre ville de Hanovre. À coté du stand se trouve un grand poster annonçant la diffusion d’un documentaire sur les prélèvements forcés d’organes, sur la chaine TV 3sat.

De nombreuses personnes se sont arrêtées pour condamner la persécution et le pillage d’organes approuvé par l’État sur des pratiquants de Falun Gong vivants. L’homme mentionné plus haut s’est approché des bénévoles et a déclaré : « Je suis passé voici un moment. Je suis revenu pour apprendre ce qui se passe ici. »

Un pratiquant lui a parlé de la persécution et des atrocités des prélèvements forcés d’organes. L’homme était stupéfait : « J’ai grandi dans l’ancienne Allemagne de l’Est. Je connais bien le Parti communiste. Je voulais apprendre la théologie lorsque j’étais à l’école, mais je n’en ai pas eu l’autorisation. J’ai été emprisonné pendant six ans juste pour avoir eu cette pensée. »

Sa propre expérience lui a permis de pleinement comprendre comment la persécution du Falun Gong avait pu arriver.

Une infirmière sud-coréenne vivant en Allemagne depuis quatorze ans a également condamné la brutalité du Parti après s'être arrêtée pour en savoir davantage. « C'est inhumain. Il est difficile d’imaginer que des médecins sont devenus de tels assassins. »

« C'est inhumain ! » a déclaré un homme avec émotion tout en signant la pétition contre les prélèvements d’organes en Chine.

Une femme d’âge mûr a dit qu’elle posterait l’information à propos de la diffusion TV du documentaire sur les prélèvements d’organes à vif, sur ses réseaux sociaux et le site internet de sa société.

Les gens signent la pétition contre les prélèvements d’organes à vif.

Traduit de l'anglais en Europe