(Minghui.org) Il y a 67 ans, le 1er octobre, le Parti communiste chinois prenait le contrôle de la nation. De nombreux Chinois considèrent cette date comme une journée de deuil national.

Samedi dernier, 1200 pratiquants de Falun Gong de Hong Kong et d'autres régions d'Asie ont organisé un rassemblement et une marche pour demander de mettre fin à la persécution du Falun Gong en Chine.

Plusieurs hommes politiques et des dirigeants communautaires ont pris la parole lors du rassemblement, condamnant le régime communiste pour ses crimes dans la persécution, en particulier les prélèvements d'organes sur des pratiquants emprisonnés dans un but lucratif.

La marche et le rassemblement ont attiré l'attention et le soutien des 250 millions de Chinois qui ont renoncé à leur adhésion du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Beaucoup de touristes chinois ont rejoint le mouvement, en décidant de démissionner du Parti lors de l'événement.

Les grandes banderoles au milieu portent les mots (de haut en bas) :

« Falun Dafa est bon » et « Traduire Jiang Zemin en justice ».

Jiang Zemin, en tant qu'ancien dirigeant communiste, a lancé la persécution du Falun Gong en 1999 et l'a personnellement dirigée.

Kan Hung-cheung, porte-parole de l'Association de Falun Dafa de Hong Kong, invite les Chinois à reconnaître la nature perverse du Parti communiste. Il a souligné dans son discours que les grands assassins de la persécution, y compris Jiang Zemin, seront bientôt traduits en justice.

Leung Kwok-Hung, membre du Conseil législatif, a condamné les 17 années de persécution du Falun Gong. Il a souligné que les prélèvements d'organes perpétrés par l'État sont contre l'humanité et que c'est le Parti communiste qui est en fait une secte.

Richard Tsoi, l'ancien vice-président du Parti démocratique de Hong Kong, a brièvement passé en revue l'histoire du Parti communiste qui tue ses propres citoyens. Il a demandé que les forces des militants démocratiques se joignent pour mettre fin à l'administration du Parti communiste.

Fung Chi-wood, un ancien membre du Conseil législatif et pasteur de l'Église anglicane, a salué l'esprit du Falun Gong, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, face à la persécution brutale. Il pense que la persécution échouera et que les assassins se heurteront à leur dû.

Tsang Kin-shing espère que les pratiquants de Falun Gong pourront bientôt pratiquer librement leur croyance en Chine continentale.

Après le rassemblement, une marche composée de 1200 participants a débuté à partir de North Point Ferry Pier à 14 h, puis s'est dirigée vers le centre-ville et a pris fin au Bureau de liaison du gouvernement central chinois quatre heures plus tard.

Des milliers de touristes et de résidents locaux regardent la marche du Falun Gong.

Des banderoles rendent public les poursuites judiciaires contre Jiang Zemin, qui ont été déposées par 200 000 pratiquants depuis mai 2015. Plus de 1,8 million de personnes de sept pays et régions asiatiques ont signé des pétitions pour soutenir le mouvement.

Des banderoles dénoncent les faits sur les prélèvements d'organes perpétrés par l'État en Chine et demandent la fin du régime du Parti communiste.

Beaucoup de Chinois qui visitaient Hong Kong pendant le long week-end ont vu la marche du Falun Gong et ont été consternés par la brutalité de la persécution. Certains ont décidé de renoncer à leur adhésion au Parti.

M. Zhang de Shenzhen, en Chine, était en visite à Hong Kong pour la première fois. Il a été étonné par la grande marche. Il a pris beaucoup de photos et de vidéos pour ses amis lors de son retour en Chine.

« Tout le monde devrait profiter de la liberté de croyance », a déclaré M. Zhang. Il a condamné les prélèvements d'organes et espère faire quelque chose pour l'arrêter. Il a accepté de démissionner du Parti communiste.

Des banderoles demandent aux Chinois de démissionner du Parti communiste afin de lutter contre ses atrocités.

Un étudiant en provenance de Chine, qui n'avait jamais entendu parler des prélèvements forcés d'organes, a été choqué. Il a dit : « C'est tellement dégoûtant et brutal. C'est contre l'humanité. Les prélèvements d'organes doivent être arrêtés. Comment un parti politique peut-il traiter ses propres gens comme ça ? Il prive les gens de leur dignité. »

Cet étudiant a également démissionné du Parti.

Traduit de l'anglais au Canada