(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa de 75 ans. Ma routine quotidienne inclut de clarifier la vérité dans mon voisinage et je tente aussi de convaincre les gens de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.

Signalée et emmenée au poste de police

Un jour, après le petit-déjeuner, je me suis dirigée vers un petit marché. Il y avait beaucoup de boutiques et d'étals ; j'entrais et sortais pour parler aux gens de la persécution du Falun Dafa. Tout le monde lisait attentivement les documents d'information de Dafa que je leur remettais et nombre d'entre eux ont démissionné de leur adhésion au Parti.

Dans un magasin de graines, j'ai rencontré le propriétaire du lieu. Comme les autres, il a accepté de démissionner du PCC après que je lui ai expliqué en quoi consistait le Falun Dafa et pourquoi les gens devaient démissionner. Cependant je n'avais pas remarqué qu'une cadre du village d'une quarantaine d'années m'avait suivie. Elle m'a signalée au poste de police local.

J'ai acheté quelques paquets de graines et j'ai quitté la boutique. Une voiture de police s'est alors garée derrière moi et près d'une demi-douzaine de policiers en sont sortis et ont commencé à me fouiller.

Ils ont arraché mon sac qui était plein de documents d'information. Les policiers semblaient contents d'eux-même parce que dans leur esprit ils avaient trouvé des preuves du « crime » que j'avais commis.

Pour finir, j'ai été traînée dans leur voiture malgré ma résistance. Dans la voiture, j'ai continué à émettre la pensée droite et j'ai demandé à Maître Li Hongzhi d'empêcher la police de me persécuter. Je voulais aussi qu'ils soient conscients qu'ils commettaient un crime en m'arrêtant et me persécutant.

Je savais que si je me rectifiais dans le Fa et faisais tout ce que les disciples de Dafa devaient faire, le Maître m'aiderait.

Le Ciel va bientôt punir les malfaiteurs

Quand nous sommes arrivés au poste, il était fermé pour l'heure du déjeuner. Alors, j'ai été emmenée dans une autre pièce. Ces mêmes policiers semblaient maintenant moins haineux qu'ils ne l'étaient auparavant. Ils m'ont même demandé si je voulais aller déjeuner avec eux.

J'ai gardé un visage impassible. « Je ne vais pas manger la nourriture offerte par vous », ai-je dit. « En tant que policiers, vous oubliez vos fonctions pour poursuivre ceux qui volent, dérobent, trompent et font de la corruption. Au lieu de ça, vous êtes seulement intéressés à poursuivre ceux d'entre nous qui croyons en Authenticité-Bienveillance-Tolérance, nous qui faisons de notre mieux pour être de bonnes personnes. »

J'ai haussé le ton de ma voix un peu plus. « Ne savez-vous pas que les monstres qui ont mis en place et qui poursuivent cette persécution, ceux qui ont donné les ordres illégaux de persécuter Dafa, vont rencontrer la rétribution karmique du Ciel très prochainement ? »

« Vous savez », ai-je ajouté, « Le bien est toujours récompensé et le mal rencontre toujours une rétribution. Ce n'est qu'une question de temps. Comment osez-vous encore aider la perversité a perpétrer de mauvaises actions ! Réveillez-vous maintenant, comme vous êtes têtus ! »

Ils ont décidé de me laisser seule dans la pièce. J'ai remarqué que la porte n'avait pas été fermée aussi je suis sortie de la pièce et je me suis dirigée vers la porte d'entrée du poste de police. Personne ne m'a arrêtée, j'ai donc décidé de continuer à marcher en direction de mon domicile.

Les policiers m'ont ramenée chez moi

Peu après cela, les policiers sont arrivés à côté de moi dans leur voiture. Ils ont insisté pour me raccompagner chez moi à cause de mon âge et parce que je n'avais pas mangé de repas. Je n'avais pas peur et je suis montée dans leur voiture tout en continuant à émettre la pensée droite. J'ai demandé au Maître de venir à mon secours pour que je puisse aider ces policiers à démissionner du PCC.

Quand nous sommes arrivés devant chez moi, je les ai invités à entrer et leur ai offert du thé et une collation. En même temps, je les ai avertis de ne pas agir de façon imprudente concernant la fouille de mon domicile. Ensuite, j'ai simplement parlé du Falun Dafa et de la persécution. Je les ai exhortés à considérer la question sous tous les angles et de tenir compte de comment leur choix affectait leur famille.

« Il n'y a pas de temps à perdre », ai-je dit, « Pourquoi ne pas démissionner du PCC et de ses organisations affiliées maintenant ? Ce n'est qu'en faisant cela que vous pouvez vous assurer un avenir sûr et merveilleux pour vous et votre famille. »

Les policiers démissionnent du PCC

Ils s'interrogeaient du regard les uns les autres, alors je me suis tournée vers eux, toujours plus précise. « Avec l'immense grâce de notre vénérable Maître, tous les êtres peuvent être sauvés », ai-je dit, « Ce que le Maître regarde c'est notre véritable cœur. Dans le but d'obtenir un avenir brillant et de vous éloigner du mal, voulez-vous que j'utilise des pseudonymes ou des surnoms à la place de votre véritable nom lorsque vous démissionnerez du PCC ? »

Quatre policiers ont démissionné du Parti en utilisant des pseudonymes et l'un d'entre eux a insisté pour démissionner avec son nom véritable. J'ai veillé à leur demander de ramener les documents et les amulettes de Dafa qu'ils avaient confisqués.

Merci pour la grâce infinie du Maître

Après qu'ils soient partis, je me suis agenouillée devant l'image du Maître les larmes aux yeux et les mains jointes fermement. J'ai remercié le Maître pour avoir résolu mes tribulations et pour avoir sauvé ces cinq êtres.

Bien qu'il n'y ait aucun moyen pour moi de rembourser la grâce infinie du Maître, la seule chose que je puisse faire est de continuer à avancer avec le même cœur que celui que j'avais au début de ma cultivation et pratique, d'étudier les livres du Falun Dafa avec diligence, de faire les exercices, d'émettre la pensée droite et de parler aux gens de Dafa et de cette persécution sans précédent.

Traduit de l'anglais en France