(Minghui.org) Mon premier mari était très coléreux et ne s'occupait pas de notre famille. J'ai beaucoup souffert durant ce mariage et finalement je me suis décidée à divorcer. Il m'a alors séparée de ma fille.

Mon père ne voulait pas de moi chez lui parce que j'étais divorcée. J'ai donc quitté ma ville natale, mais ma fille me manquait. Quand j'avais vingt-cinq ans, j'ai eu un problème au foie qui, sept ans plus tard, s'est transformé en cirrhose du foie à un stade avancé. J'étais très maigre et je m'évanouissais souvent.

Présentée au Falun Gong

En 1997, une amie m'a suggéré de pratiquer un qigong de nom de Falun Dafa. Bien que je ne pensais pas que cela pouvait m'aider, j'ai été touchée par l'intérêt que cette amie me portait et j'ai décidé de l'essayer.

Je suis allée sur un site de pratique et j'ai trouvé la musique attirante. On aurait dit de la musique céleste. On m'a dit qu'il s'agissait de la musique des exercices du Falun Dafa. Ce soir-là, j'ai pratiqué la méditation assise, j'ai pu croiser les deux jambes dans la position du double lotus et je suis restée assise pendant une heure. Je me sentais vraiment bien et j'ai très bien dormi.

Au troisième jour, je sentais que mon corps avait été totalement purifié. Mon corps est devenu léger et en bonne santé. Je suis profondément reconnaissante envers Maître Li (fondateur du Falun Dafa).

Informer les gens sur la persécution

Après que la persécution a commencé, j'ai vu de nombreux pratiquants, y compris des personnes âgées, qui parlaient du Falun Dafa au téléphone avec les gens. Je voulais donc moi aussi participer à ce projet. La première fois que j'ai utilisé mon téléphone portable pour appeler les gens, deux personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Des compagnons de cultivation m'ont félicitée et encouragée. Mais je savais que j'étais loin d'être une pratiquante diligente et que je devais m'élever.

Au téléphone, toutes sortes de gens répondaient et ils avaient toutes sortes de questions. Le Maître m'a donné la sagesse nécessaire pour les aider à comprendre la vérité sur le Falun Gong et la raison pour laquelle ils devaient quitter le PCC.

Quelques personnes m'ont invectivée et quelqu'un m'a même rappelé trois fois. Je ne les ai pas haïes même si leur conduite était agressive. Ils étaient trompés par la propagande du PCC et son endoctrinement.

Au moment du Nouvel An chinois de 2014, je suis allée au bord de la rivière pour faire des appels téléphoniques avec une autre pratiquante. Quand, au bout d'une heure, elle ne s'était toujours pas présentée, bien que j'étais très déçue, j'ai commencé à faire les appels.

Il faisait très froid ce jour-là. Au téléphone, les gens étaient grossiers et extrêmement désagréables. Finalement, je me suis effondrée et me suis plainte auprès du Maître disant à quel point c'était difficile de sauver les gens.

Ensuite, je me suis calmée et me suis rendu compte que j'avais la mission d'aider les gens à apprendre les faits sur Dafa et à démissionner du PCC. J'ai aidé une douzaine de personnes à démissionner du PCC, le même nombre de personnes que j'avais contactées un jour où j'avais travaillé en partenariat avec quelqu'un d'autre.

Surmonter les obstacles

Après mon retour à la maison, mon deuxième mari m'a frappée et maltraitée. Mon cœur n'était pas touché. J'ai pensé que j'étais une disciple de Dafa qui pouvait toute endurer. J'ai pris conscience que le Maître se servait de cela pour élever mon xinxing.

Le PCC s'est servi de beaucoup de méthodes différentes pour interférer. Acheter des cartes téléphoniques était difficile. J'ai dû payer plus cher que le prix du marché pour une carte. Le Maître a vu ma sincérité et il a élargi ma pensée droite. J'ai parlé à plus de soixante personnes et les ai convaincus de démissionner du PCC.

La famille accepte Dafa

J'ai été persécutée par le PCC parce que je pratiquais Dafa. Ma famille se tenait éloignée de moi à cause de la politique de culpabilité par association instaurée par le régime communiste chinois. Mon mari était également opposé à ma pratique

J'ai quitté chez moi avec en tête la pensée que personne ne pouvait m'empêcher de pratiquer Dafa. Ensuite je me suis rendu compte que le Maître donne des chances d'être sauvés [à tout le monde] tant que la rectification de Fa n'est pas terminée. Je suis donc retournée à la maison.

J'ai soigné mon mari malade et j'ai fait aussi tout ce qu'un pratiquant est censé faire. Mon mari a beaucoup changé. Quand je rentrais tard, il souriait en disant « Bien, tu es rentrée. »

Mon père pratiquait Dafa autrefois mais plus tard il s'est arrêté parce qu'il avait peur. Il avait plus de quatre-vingt-dix ans quand il est mort. Il avait dit que sa maison reviendrait à la personne qui se serait occupée de lui.

Mes frères et sœurs avaient refusé de prendre soin de mon père quand il était très malade et sale. Je me suis occupée de lui jusqu'à sa mort. J'ai emprunté de l'argent pour recevoir la parenté venue aux funérailles de mon père.

J'ai donné la maison à mon plus jeune frère afin de garder intacts les liens familiaux.

Mon plus jeune frère était aussi très malade et proche de la mort. J'ai pris soin de lui et lui ai fait écouter les enseignements du Maître. Il a été touché et a pleuré. Il disait être préoccupé pour ma sécurité.

Les membres de la famille ont été témoins de mon altruisme et ont commencé à accepter la vérité sur Dafa. Mes nièces ont emprunté le Zhuan Falun, le livre principal de Dafa, et elles l'ont lu.

Ma fille est venue vivre avec moi et m'a soutenue financièrement. J'ai reçu aussi ma pension de retraite. Je n'ai pas à me faire du souci pour des questions d'argent et j'ai pu mettre tout mes efforts à informer les gens sur le Falun Dafa et la persécution. En me rappelant mon expérience de cultivation et pratique, j'ai réalisé qu'en marchant sur le chemin juste, tout s'améliorait.

Traduit de l'anglais en France