(Minghui.org) Partout en Chine, il est connu que les pratiquants de Falun Gong doivent vivre leur vie en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. En conséquence, les critères moraux de la société chinoise et le comportement des gens les uns envers les autres s’améliorent.

Les deux histoires suivantes sont des exemples de la compassion et de la bienveillance que les pratiquants de Falun Gong démontrent envers autrui.

Rendre les cadeaux

Loin de chez moi, de l’autre côté du village, vit une femme dont les jambes sont blessées, et elle doit utiliser une canne pour marcher. Je la vois rarement et je ne lui ai jamais parlé, cependant un jour elle est venue chez moi.

Elle a demandé à ma mère si je pouvais l’aider à obtenir un certificat d’invalidité. Bien entendu, je l’ai aidée à remplir les formulaires et lorsqu’elle a reçu le certificat, elle est revenue nous voir et nous a remis, à ma mère et moi, un panier d’œufs et plusieurs paires de bas. C’était des cadeaux en échange du simple service que je lui avais rendu.

Cette femme et son mari vendaient des souliers et des bas au marché pour vivre. Leur situation financière était précaire. À mon retour, lorsque j’ai vu les cadeaux qu’elle nous avait laissés, j’ai dit à ma mère : « Nous ne pouvons pas les garder, nous devons les rendre. »

« Je sais que je n’aurais pas dû les prendre », a dit ma mère. « Toutefois, elle a presque pleuré alors qu’elle se tenait là, appuyée sur sa cane. Je sentais que je n’avais pas d’autre choix que de les accepter. Ç'aurait été impoli de refuser. »

J’ai dit : « Que faire. Je ne peux pas accepter ces cadeaux. Je dois les rendre. » Ma mère a réfléchi et m’a suggéré : la grande sœur de cette femme vit dans notre village, nous pourrions les lui donner.

Ma mère a trouvé sa grande sœur et lui a remis les bas et les œufs. Sa grande sœur et son mari étaient tous deux très surpris et nous ont demandé pourquoi. Ma mère a expliqué que nous sommes des pratiquants de Falun Gong et que nous devons suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle leur a dit que je ne pouvais pas accepter les cadeaux de sa sœur simplement pour l’avoir aidée à obtenir son certificat d’invalidité.

Ils étaient très impressionnés qu’un pratiquant de Falun Gong puisse être bienveillant au point d’aider quelqu’un sans même accepter quoi que ce soit en retour. Par conséquent, ils ont voulu apprendre le Falun Gong et sont devenus pratiquants depuis. Ils participent également souvent aux sessions d'étude du Fa hebdomadaires chez moi.

Un jour, sa sœur qui vendait des souliers au marché avait besoin de trouver du travail, mais elle ne trouvait plus sa canne. Un compagnon de cultivation a suggéré que peut-être Maître Li (le fondateur du Falun Gong) lui donnait un indice comme quoi elle n’en avait plus besoin. Elle a aussi pensé que peut-être elle n’en avait plus besoin pour marcher. Maintenant, elle n’a plus besoin de canne et marche aussi bien qu’une personne en parfaite santé. Sa sœur et elle ont expérimenté directement les bienfaits du Falun Gong.

Heurtées par une motocyclette

Mon mari, ma fille et moi vivons dans un appartement loué en ville. Un jour, j’étais en vélo pour aller chercher ma fille à l’école. Elle était en première année à cette époque et je la mettais sur le siège enfant à l’arrière de mon vélo. Je l’ai aidée à monter sur son siège, j’ai regardé le trafic, puis j’ai commencé à traverser la rue.

Nous étions environ à la moitié de la rue lorsque j’ai entendu un bruit étrange derrière moi. Je me suis retournée et j’ai vu une motocyclette étendue sur le sol. Quelqu’un m’a demandé : « Ta fille est-elle blessée ? »

J’étais sous le choc lorsque j’ai réalisé que nous avions été heurtées par cette motocyclette. J’ai regardé ma fille, pratiquante de Falun Gong, et je lui ai demandé si ça allait. Elle m’a dit que tout allait bien. Le conducteur de la motocyclette criait et les gens ont commencé à se rassembler autour de lui. Alors j’ai crié : « Ma fille n’a rien… Ma fille n’a rien. »

J’ai demandé au conducteur de la motocyclette s’il était blessé, mais il ne m’a pas répondu. Il avait un peu de sang sur le bras et au front, mais il ne semblait pas être sérieusement blessé.

J’ai poussé mon vélo jusqu’au trottoir. Le conducteur m’a crié d’attendre. Il m’a rejointe et m’a demandé de l’argent pour sa motocyclette. Il a dit que j’avais bloqué son passage et que j’étais responsable.

J’ai lui ai dit : « Je n’ai pas d’argent pour t’aider. » « Si tu me donnes ton adresse, je t’enverrai de l’argent aussitôt que j’en aurai. » Il a dit que c’était la motocyclette de son employeur et qu’il devait la réparer tout de suite pour pouvoir la lui rendre.

Je lui ai offert ce que j’avais : 12 yuans. Il a pointé la motocyclette et m’a dit qu’il aurait besoin d’au moins 20 yuans pour la réparer. Il a dit qu’il allait venir chez moi pour avoir le reste de l’argent. Je venais de trouver un travail alors je lui ai dit que je pourrais lui donner l’argent bientôt, mais pas immédiatement.

J’ai compris que cette personne avait l'affinité prédestinée pour apprendre la vérité sur le Falun Gong, alors aussitôt que j’ai pu, j’ai commencé à lui dire les faits à propos du Falun Gong et de la persécution. Je lui ai dit que j’avais été persécutée par le Parti communiste chinois à cause de ma croyance dans le Falun Gong. Je lui ai dit que les pratiquants veulent uniquement être de bonnes personnes et qu’il devrait répéter : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Il a étiré son cou, m’a regardée et m’a dit : « Qu'avez-vous dit ? » Alors je lui ai répété.

Il n’a rien dit. Il a rembarqué sur la motocyclette de son employeur et est parti. Une femme qui avait été témoin a dit : « Cet homme a de la chance que vous soyez pratiquante de Falun Gong. »

De retour à la maison, ma fille m’a dit qu’elle avait l’impression que sa cheville était cassée. Elle ne me l’avait pas dit lors de l’accident, car elle sait que les pratiquants de Falun Gong doivent être de bonnes personnes et ne doivent pas ajouter des problèmes aux autres.

Rapidement, j’ai réalisé à quel point nous avions été protégées par Maître Li lors de l’accident. Autrement, nous aurions pu être gravement blessées, ou pire. Notre vélo aurait pu facilement être détruit, mais nous n’avons rien eu.

Ma fille est maintenant à l’école secondaire. Souvent, je lui mentionne cet incident pour lui rappeler la compassion infinie du Maître.

Traduit de l’anglais au Canada