(Minghui.org) Le 1er mai 1998 est un jour que je n'oublierai jamais. C'est le jour où j'ai commencé la pratique du Falun Dafa.
J'ai 64 ans. Il y a six ans, j'ai appris à conduire. Depuis, j'ai souvent conduit des compagnons de cultivation à travers les rues et routes de chaque village et ville dans mon canton et aux alentours.
Au départ, je ne savais pas lire et ma vue n'était pas bonne. Avant de pratiquer le Falun Dafa, je souffrais de toutes sortes de maladies ainsi que de douleurs dans les jambes et dans le dos, de maux de dents et de problèmes de la vue.
Après avoir écouté les conférences enregistrées du Maître et avoir fait les exercices pendant six mois, j’ai pu bien voir. C’est en étudiant le Fa que j'ai commencé à apprendre à lire. Maintenant, je peux lire presque tout ce qui a trait à Dafa. Durant les soirées où j'étudiais le Zhuan Falun, les mots apparaissaient gros et foncés et je n'avais donc pas de problèmes à les reconnaître.
J'ai alors commencé à mémoriser Lunyu. Après cela, j'ai mémorisé tout ce que le Maître a écrit.
Du lait de soja bouillant m'éclabousse le visage
Tôt dans la matinée du 8 août 2010, j'ai préparé une marmite bouillante de lait de soja. Il pleuvait. Je portais mes chaussons et j'ai glissé sur le sol mouillé avec la marmite bouillante entre mes mains. Le lait bouillant a éclaboussé tout mon visage.
Mon mari était très inquiet. Il voulait m'emmener à l'hôpital. Je lui ai dit que j'allais bien. Je me suis assise et j'ai commencé à méditer et à demander l'aide du Maître.
En à peu près une heure, mon visage ne faisait plus aussi mal, même s'il continuait à m'élancer.
Je suis allée à la salle de bain pour me laver. Mon mari a dit : « Ton visage est encroûté par le lait de soja. Soit prudente en le nettoyant. N'utilise pas la force. »
Après m'être lavée j'ai mis des vêtements propres. Je me suis regardée dans le miroir. Je ne pouvais pas voir de mon œil gauche et mon œil droit se réduisait à une fente. J'ai vu des cloques sur tout mon visage.
Je me suis assise pour écouter les conférences du Maître et émettre la pensée droite. Ce soir-là, mes deux yeux étaient si enflés que je n'ai pas été capable de voir quoi que ce soit.
Durant la nuit, mon mari m'a dit : « Pourquoi ne dormirais-tu pas dans ma chambre. C'est plus facile pour toi d'utiliser la salle de bain de là. »
Mais j'ai pensé : « Je suis une disciple de Dafa. J'ai le Maître et je n'aurai pas de problème. »
J’ai réussi à regagner ma chambre.
Quand je me suis levée plus tard dans la nuit pour émettre la pensée droite à l'heure désignée, j’ai pu ouvrir un peu mon œil gauche. À 3 h 30 du matin, je me suis levée comme d'habitude pour faire les exercices.
Le troisième jour, du pus sombre continuait à suinter de mes cloques.
La troisième nuit, notre groupe avait notre réunion habituelle, mon mari m'y a donc amenée. Les compagnons de cultivation ne m'ont même pas reconnue. Ils ont émis la pensée droite pour moi.
J'ai dit : « Tant que je peux voir, j'irai parler aux gens [à propos de la persécution du Falun Dafa]. »
Les autres avaient une opinion différente : « Ton visage est horrible. Comment peux-tu penser à aller parler à qui que ce soit ? »
Quand je suis rentrée à la maison, j'ai brûlé de l'encens et imploré le Maître de rétablir mon visage, car je voulais sortir le plus vite possible.
Le quatrième jour, de la peau morte sombre a commencé à peler et mon visage a graduellement commencé à reprendre sa teinte normale. Le septième jour, tous les morceaux de peau morte étaient partis.
Le neuvième jour, avec mon visage redevenu pratiquement normal, je suis sortie parler aux gens du Falun Dafa.
J'ai vraiment senti que mon côté divin s’était manifesté. J'ai réalisé que je n'avais jamais conduit ma voiture aussi loin.
Certaines personnes m'ont demandé : « Qu'est-il arrivé à ton visage ? »
Je leur ai dit qu'il avait été aspergé de lait de soja bouillant neuf jours plus tôt.
Ils voulaient savoir ce que l'hôpital avait fait pour que je sois guérie si vite.
Je leur ai dit que je n'étais pas allée à l’hôpital. Je suis juste restée à la maison et j'ai lu le texte principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun, et j'ai récité les neufs mots d'or « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
Je leur ai dit : « Le Falun Dafa est vraiment très bon. Je n'ai pas pris de médicaments depuis 12 ans maintenant et je ne suis jamais tombée malade. »
Je leur ai fait savoir que les auto-immolations sur la place Tiananmen étaient un canular fabriqué de toute pièce par l'ancien dictateur chinois Jiang Zemin et le régime communiste et que le Falun Dafa était injustement et illégalement persécuté.
J'ai dit : « De 1992, quand le Falun Dafa a été présenté au public par Maître Li Hongzhi, à 1999, cent millions de personnes ont commencé à le pratiquer. En sept ans, le nombre de pratiquants avait déjà dépassé le nombre de membres du Parti communiste chinois. C'est la jalousie mesquine de Jiang Zemin qui lui a fait décider de réprimer et d'éradiquer le Falun Dafa. »
Les gens ont écouté et ont dit : « Le Parti communiste n’en a plus pour longtemps. »
Je leur ai alors recommandé de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées pour assurer leur sécurité.
Beaucoup ont compris, ont été d'accord et se sont retirés du Parti communiste.
Je leur ai donné à chacun une amulette de Dafa. Je leur ai aussi appris à réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Je leur ai dit : « Répétez souvent ces mots de tout votre cœur et vous recevrez de grandes bénédictions. »
Quand ils ont voulu me remercier, je leur ai dit : « Vous devriez plutôt remercier le Maître du Falun Dafa. »
Cet incident s'est avéré une bénédiction déguisée. Mon visage paraissait beaucoup mieux. Non seulement j’avais l’air plus jeune, mais mes anciennes tâches avaient disparu.
Mon mari a remarqué, impressionné : « Si tu étais allée à l'hôpital, cela aurait pu prendre trois mois pour guérir et l'issue n'aurait pas été aussi bonne. Tu aurais même pu être défigurée. Dafa est vraiment impressionnant. Ton Maître est vraiment grandiose ! »
Un accident de voiture potentiellement fatal
Le 19 mars 2014, j'ai eu un accident de voiture potentiellement fatal.
Vers 8 h du matin, une autre pratiquante et moi sommes sorties clarifier la vérité. Les choses ne se sont pas bien passées. J'ai dû déposer la pratiquante vers 11 h. À ce moment, ma voiture avait des problèmes et j'ai dû m'arrêter à une petite station essence proche pour ajouter de l'éthanol.
Sur le chemin de retour, ma voiture s'est arrêtée trois fois.
À un croisement, j'ai vu une grande station essence et j'ai décidé de remettre de l'éthanol. Un grand camion est arrivé par derrière et m'a heurtée brutalement. J'ai perdu connaissance.
Le camion a freiné pour finalement s’arrêter plus de 25 mètres plus loin. Le conducteur a appelé une ambulance, puis il m’a ramassée. Il m'a secouée et m'a demandé : « Est-ce que ça va ? »
J'ai répondu : « Oh, ça va tout à fait bien. »
La femme du conducteur est venue et a dit : « Votre main est toute égratignée. Votre tête saigne. Vos vêtements sont déchirés. »
J'ai dit : « Ce n’est pas grave. Ce ne sont que des blessures de chair. Ne vous faites pas de reproches et continuez votre route. »
À ce moment, une camionnette transportant des élèves s'est arrêtée. Certains des parents sont sortis et m'ont entourée. Quelqu'un a appelé mon mari. Après un temps, mon mari est arrivé avec notre fille et notre beau-fils.
Mon beau-fils, voyant que j'étais couverte de sang et que ma veste était déchirée, a bondi et est allé trouver le chauffeur.
Je l'ai arrêté : « Ne frappe personne ! Ne blâme pas le chauffeur. C'était ma propre faute. L'éthanol que j'ai mis dans la voiture l'a faite s'arrêter en plein milieu de la route. »
Je me suis alors retournée et j'ai dit au chauffeur : « Vous pouvez partir. Je pratique le Falun Dafa. Mon Maître va prendre soin de moi. Je vais bien. »
Le chauffeur et sa femme étaient inquiets. « Nous avons déjà appelé une ambulance. Pourquoi cela prend-il si longtemps ? »
À ce moment, l'ambulance est arrivée.
J'ai dit : « Je ne vais pas monter dedans. »
Mais ils m'ont prise et m'ont mise dans l'ambulance malgré mes protestations.
J'étais parfaitement lucide. J'ai répété : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » tout du long jusqu’à l'hôpital. J'ai senti que ma tête s’arrêtait de saigner.
À l'hôpital, le docteur a dit : « Cette entaille est vraiment longue. Il faut des points de sutures. »
J'ai dit au docteur : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Vous n'avez pas besoin de me recoudre. L'entaille va guérir d’elle-même. »
Le chauffeur m'a suppliée : « S'il vous plaît, bonne dame, laissez faire le docteur. Je payerai quel que soit le prix. »
Mais j'étais résolue.
Ma fille a dit : « Puisque que ma mère ne veut pas de traitement médical, je vais juste la ramener à la maison. »
Le chauffeur a aidé ma fille à me mettre dans sa voiture. J'ai dit au chauffeur : « Vous n'avez pas à être inquiet. Je pratique le Falun Dafa. Je ne vais pas prendre votre argent. Je vais bien. S'il vous plait détendez-vous. »
Sur le chemin de retour, je lui ai clarifié la vérité : « Le Falun Dafa est persécuté. Ce que vous voyez à la télévision sont des mensonges. Notre Maître nous apprend à être de bonnes personnes. »
Je lui ai dit de se rappeler de « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et de réciter ces mots souvent. Il m'a remerciée et m'a dit qu'il le ferait.
Dans le peu de temps que nous avons eu, je lui ai parlé de démissionner du Parti communiste pour sa propre tranquillité et sécurité. Il a accepté avec reconnaissance.
J'ai aussi dit à ma fille de ne pas accepter d'argent, car chercher une compensation serait une mauvaise action.
Ils m'ont ramenée à la maison et sont retournés sur la scène de l'accident. Le chauffeur a tendu 2 000 yuans à ma fille. Ma fille a fermement refusé de les prendre.
Plus tard, ma fille m'a dit que le chauffeur et sa femme ont dit en repartant : « Aujourd'hui, nous avons eu de la chance de rencontrer une bonne personne qui pratique le Falun Dafa. N'importe qui d'autre aurait demandé beaucoup d'argent. Nous aurions même pu perdre notre camion, dont nous dépendons pour vivre. »
Ils ont remercié ma famille encore et encore.
Trois jours plus tard, quelqu'un qui était sur la scène de l'accident a demandé à mon mari : « Comment va votre femme ? »
Mon mari a répondu : « Elle va bien. Si elle était restée à l'hôpital et avait eu sa tête recousue, elle aurait dû y retourner pour faire enlever les points de sutures. Elle pratique le Falun Dafa et le trou béant dans sa tête s’est refermé tout seul en un rien de temps. Ce Falun Dafa est absolument merveilleux et miraculeux. »
Quand je suis rentrée à la maison de l'hôpital, j'ai lavé le sang de mes cheveux avec trois bassines d'eau. L'entaille faisait huit centimètres de long. Il y avait aussi une contusion de la taille d'une petite balle, mais cela ne faisait pas mal et a disparu durant la nuit.
Le matin suivant, j'ai fait les exercices de Falun Gong sans problème. Trois jours plus tard, j'ai fait seulement les quatre premiers exercices et n'ait pas pu faire le cinquième. Ma poitrine me faisait mal. J'avais des difficultés à respirer. Les jours passant, je suis allée de plus en plus mal, j'ai développé une toux. Ma toux est devenue douloureuse. J'ai alors commencé à cracher d'épais mucus sanguinolents.
Cela a duré pendant cinq ou six jours.
J'ai étudié le Fa et regardé à l'intérieur.
J'ai pensé en moi-même : « Je serais morte sans la protection du Maître. »
Quelques jours plus tard, j’avais complètement récupéré. Je suis promptement retournée clarifier la vérité aux gens.
Traduit de l'anglais en Europe
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