(Minghui.org) Je suis relativement nouvelle dans la pratique du Falun Gong, j’ai commencé la pratique en 2009 seulement. Durant ces quelques courtes années, je me suis débarrassée de toutes sortes de problèmes de santé et j’ai pu faire l’expérience de comment on se sent sans maladie, pour la première fois de ma vie.

Un cancer du rein disparaît

Pour dire les choses clairement, j’allais vers une mort précoce avant de rencontrer le Falun Gong. Mon rein gauche avait été enlevé chirurgicalement à cause d’un cancer. Après l'opération, j’étais dans un mauvais état.

J’avais mal partout et je ne pouvais pas respirer ni m'endormir à moins de m’asseoir. J’ai été hospitalisée mais mon docteur ne voulait pas perdre du temps avec moi. C'est allé jusqu'au point où mes amis discutaient déjà de mes funérailles.

Un ami m’a présenté le Falun Gong en 2009 et ainsi j’ai eu une deuxième chance dans la vie. Tous mes maux – incluant des rhumatismes, des douleurs aux jambes, une hernie discale lombaire, une névrose, un foie enflé, une maladie cardiaque, de la sécheresse dans les yeux et une inflammation gastro-intestinale – ont disparu comme par magie sans laisser de trace.

À ce jour, ils ne sont pas revenus.

Répercussions sur ma famille

Le Falun Gong m’a sauvée de tant de douleurs physiques et de dépenses médicales exorbitantes. Grâce à la pratique, une femme dans la soixantaine comme moi peut travailler dur et gagner sa vie.

J’ai gagné assez pour aider mon fils à payer le prêt qui avait servi à couvrir le paiement initial pour sa maison. J’ai toujours été inquiète de l’emploi de mon fils et de l’avancement de sa carrière, et lui enlever ce fardeau financier de ses épaules l’a grandement aidé.

Il a commencé à avoir des promotions, les unes après les autres, après que j’aie commencé à pratiquer. Il est maintenant en charge de son unité de travail. Je crois vraiment que ma pratique l’a aussi aidé.

Devenir une personne plus calme et plus heureuse

À part des bénéfices à la santé, je suis aussi devenue une personne plus calme et plus heureuse grâce à mes compagnons de cultivation.

Pendant mes premiers jours en tant que pratiquante, des conflits ont surgi entre d’autres pratiquants et moi. Je les jugeais et je ne savais pas comment regarder à l’intérieur pour chercher mes propres fautes.

Même si ces pratiquants étaient lésés, ils ne se sont jamais obstinés avec moi. Ils m’ont graduellement influencée pour le mieux et j’ai commencé à voir leurs précieuses qualités.

J’ai appris des choses que je n’aurais pas pu apprendre avec des gens ordinaires. J’ai décidé de contrôler mon caractère et mes émotions et j’ai mis beaucoup d’effort à vivre selon le principe du Falun Gong Authenticité–Bienveillance–Tolérance.

Avec le temps qui a passé, j’ai graduellement appris à regarder à l’intérieur pour voir où je pourrais mieux faire.

Presser les gens à démissionner du PCC

Même si je suis une pratiquante arrivée tardivement qui n’a pas été directement persécutée par le Parti communiste chinois (PCC), je suis déterminée à partager mon histoire avec les autres et à les presser de briser leurs liens avec le PCC. Après tout, je ne veux voir personne accusé d'être un accessoire du PCC lorsqu’il sera jugé pour les fautes commises envers les pratiquants de Falun Gong.

Par un jour de pluie en juillet 2013, je me suis abritée sous une cabane en métal avec deux hommes. J’ai décidé de profiter de cette occasion et j’ai tenté de leur parler du Falun Gong et de la persécution tandis que la tempête nous gardait à l’intérieur.

L’homme plus âgé m’a dit qu’il était membre stagiaire du PCC. Je l’ai averti que personne ne veut être un membre du PCC à ce moment de l’histoire.

« Des millions de personnes sont impatientes de démissionner », ai-je dit.

Il a rapidement été d’accord pour me laisser l’aider à démissionner du PCC.

L’autre homme a dit qu’il ne s’était jamais joint aux organisations affiliées du PCC. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, un éclair a frappé juste derrière l’homme qui venait de démissionner du PCC.

J’étais d’abord surprise, mais après avoir repris mes sens, j’ai vu que l’homme était encore assis là sans aucune égratignure.

« Vite, remerciez le Maître » lui ai-je dit. « Sans lui, vous auriez été frappé par l’éclair. »

Traduit de l’anglais au Canada